Aug. 27, 2021
Quand j'étais en train de résoudre des questions du DELF B1, il y'en a eu qui me demandait de trouver des informations sur cinq critères dans quatre articles et de répondre oui ou non. Dans l'une des exercices du ce type de question, je ne savais pas vraiment ce qui était correct, donc j'ai vérifié la réponse, ce qui figurait « ? ». Ça m'a frappé, parce qu'au Japon ça ne m'était jamais arrivée de voir une réponse pareille. Il y avait toujours des réponses uniques à chaque question, et il y avait toujours des explication assez claires.
En y réponsant, beaucoup de professeurs français ont dit les choses comme « cette question a deux réponses » ou « tous les choix ne me paraissent pas corrects, je ne pense pas il y ait une réponse pour celle-là ». L'un des professeurs m'a dit que les Français accordent plus d'importance sur le parcours et la façon de réfléchir que sur la réponse soi-même, et je pense que son pensée est assez raisonable étant donné la différence du DELF et « futsuken », l'examen de la langue française pour les Japonais : le dernier a plus de réponses figée que le premier.
Peut-être, les Français ont des optiques plus souples envers le monde que les Japonais à cause de cette différence. Dans la réalité, bien sûr il n'y a pas qu'une seule réponse à toutes les questions, et j'ai l'impression que les questions française répresentent cette vue.
Vue enversFaçon de voir le monde
On pourrait dire "vue sur le monde" mais ça aurait plus le sens de "réflexion sur le monde".
Quand j'étais en train de résoudre des questions du DELF B1, il y'en a eu qui me demandait dee passais l'examen du DELF B1, il y'avait des questions pour lesquelles je devais trouver des informations sur cinq critères dans quatre articles et de répondre par oui ou par non.
Dans l'une des exercices due ce type de question, je ne savais pas vraiment ce qui était correct, donc j'ai vérifié la réponse, ce qui figur. En l'occurence, c'était « ?
Ça m'a frappée, parce qu'au Japon ça ne m'était jamais arrivée de voir une réponse pareille.
Il y avait toujours des réponses unspécifiques à chaque question, et il y avait toujours des explications assez claires.
En y réponsdant, beaucoup de professeurs de français ont dit les choses comme « cette question a deux réponses » ou « tous lesaucun choix ne me paraissent past corrects, je ne pense pas il y ait une réponse pour celle-là ».
"tous les choix ne me paraissent pas corrects". Ca veut dire que sur quatre réponses, trois sont fausses par exemple. Ce serait plutôt logique, ça permet de procéder par élimination. Donc, je suppose que vous vouliez dire "aucun choix ne me parait correct".
L'un des professeurs m'a dit que les Français accordent plus d'importance sur le parcours et la façon de réfléchir que sur la réponse soielle-même, et je pense que son penséeraisonnement est assez raisonablecorrect étant donnée la différence duentre le DELF et le « futsuken », l'examen de la langue française pour les Japonais : le dernier a plus de réponses figées que le premier.
Peut-être, lLes Français ont des optiquespeut-être une vision plus souples envers le du monde que les Japonais à cause de cette différence.
"Optique" peut s'utliser dans le sens de "point de vue", mais au singulier, et ici, ça ne fonctionne pas vraiment.
Dans la réalité, bien sûr il n'y a pas qu'une seule réponse à toutes les questions, et j'ai l'impression que les questions françaises réepreésentent cette vuefaçon de voir les choses/cette vision des choses.
Feedback
Je n'ai jamais passé de JLPT officiel, mais j'en ai fait sur internet, c'est vrai qu'il n'y a qu'une réponse correcte sur les quatre proposées. Ce qui veut dire que quand on ne connaît pas la réponse, on a une chance sur quatre de tomber juste quand même. La probabilité d'obtenir le JLPT 1 pour un débutant est peut-être très très faible, mais pour les candidats qui sont limites, ça peut quand même fausser les résultats. Je suppose que les questions de l'examen français réduisent le facteur chance.
Vue envers le monde
On pourrait dire "vue sur le monde" mais ça aurait plus le sens de "réflexion sur le monde". |
Quand j'étais en train de résoudre des questions du DELF B1, il y'en a eu qui me demandait de trouver des informations sur cinq critères dans quatre articles et de répondre oui ou non. Quand j |
Dans l'une des exercices du ce type de question, je ne savais pas vraiment ce qui était correct, et j'ai vérifié la réponse, ce qui figure « ? |
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Ça m'a frappé,parce qu'au Japon ça ne m'était jamais arrivée de trouve une réponse pareille. |
Il y avait toujours des réponses uniques, et il y avait toujours des explication assez clairs. |
En y réponsant, beaucoup de professeurs français ont dit les choses comme « cette question a deux réponses » ou « tous les choix ne me paraissent pas correct, et je ne pense pas il y ait une réponse pour celle-là ». |
L'un des professeurs m'a dit que les Français accordent plus d'importance sur la parcours et la façon de réfléchir que sur la réponse soi-même, et je pense que son pensée est assez raisonable étant donné la différence du DELF et « futsuken », l'examen de la langue française pour les Japonais : le dernier a plus de réponses figée que le premier. |
Peut-être, les Français ont des optiques plus souples envers le monde que les Japonais à cause de cette différence.
"Optique" peut s'utliser dans le sens de "point de vue", mais au singulier, et ici, ça ne fonctionne pas vraiment. |
Dans la réalité, bien sûr il n'y a pas qu'une seule réponse à toutes les questions, et j'ai l'impression que les questions française répresentent cette vue. Dans la réalité, bien sûr il n'y a pas qu'une seule réponse à toutes les questions, et j'ai l'impression que les questions françaises r |
Dans l'une des exercices du ce type de question, je ne savais pas vraiment ce qui était correct, donc j'ai vérifié la réponse, ce qui figurait « ? Dans l'un |
Ça m'a frappé, parce qu'au Japon ça ne m'était jamais arrivée de voir une réponse pareille. Ça m'a frappée, parce qu'au Japon ça ne m'était jamais arrivé |
Il y avait toujours des réponses uniques à chaque question, et il y avait toujours des explication assez claires. Il y avait toujours des réponses |
En y réponsant, beaucoup de professeurs français ont dit les choses comme « cette question a deux réponses » ou « tous les choix ne me paraissent pas corrects, je ne pense pas il y ait une réponse pour celle-là ». En y répon "tous les choix ne me paraissent pas corrects". Ca veut dire que sur quatre réponses, trois sont fausses par exemple. Ce serait plutôt logique, ça permet de procéder par élimination. Donc, je suppose que vous vouliez dire "aucun choix ne me parait correct". |
L'un des professeurs m'a dit que les Français accordent plus d'importance sur le parcours et la façon de réfléchir que sur la réponse soi-même, et je pense que son pensée est assez raisonable étant donné la différence du DELF et « futsuken », l'examen de la langue française pour les Japonais : le dernier a plus de réponses figée que le premier. L'un des professeurs m'a dit que les Français accordent plus d'importance sur le parcours et la façon de réfléchir que sur la réponse |
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