Feb. 10, 2022
Il y a une queston qui me reste toujours en tête. Hier je l'ai vecu encore une fois, je vais donc le décrire.
Dans une compréhension écrite, une question qui nous demande de vérifier si les phrases dans cette question sont vraies ou fausses en fait souvent partie. Quand j'était au Japon et que j'en croisais, les réponses cleares la accompagniaient dans les pages derrière sans aucune exception. Les explications pour lequelles les phrases étaient censées considérées correctes ou pas étaient souvent écrites en dessous des réponses.
Mais, depuis que je suis arrivée en France et j'ai commencé à suivre des cours de français, les profs me ditent toujours « ça dépend des logiques ou des interpretations de chacun » quand on doit gèrer ce genre de question. Et ce phénomène s'est répété hier.
D'une part, je pense qu'ils ont raison. Les phrases peuvent avoir plusieurs interprétations selon le contexte. Même si j'écrit une phrase « j'aime les gâteaux », le fait que j'aime les gâteaux ou pas en réalité change en fonction du contexte. Néanmoins, d'une autre part, à mon sens, c'est une résponsabilité des personnes qui ont rédigé les phrases de la question. Autrement dit, il ne faut pas laisser la place que les autres interpretations interviennent autant que ce soient les questions dans le manuel d'excercises pour les examens. Ils auraient dû exprimer leur point de vue ou leur réponse de modéle pour que les étudients puissent se faire une idée sur la manière de penser à la française.
Malheusement, tous les professeurs de français ne sont pas doués pour décortiquer ce qui est écrit dans le texte. Je peux l'affirmer car j'ai vu beaucoups de fois des fautes assez claires de la part des professeurs. Cette situation doit être plus ou moins semblable dans tous les apprentissages des langues. Afin d'éviter les malentendus et des erreurs et d'apprendre des langues efficacement, je pense qu'il est nécessaire, au moins, de mettre les réponses types pour les questions demandent vrai ou faux.
Ou, peut-être, je suis trop intrasigeante...
Vrai ou faux
Il y a une question qui me restrotte toujours endans la tête.
«trotter» veut littéralement dire 小走りする; ici cela signifie qu'une question tourne dans votre tête, sans cesse
Hier je l'ai vecume la suis posée encore une fois, je vais donc le décrire de quoi il s'agit.
On ne peut pas vraiment «vivre» une question, voilà pourquoi j'ai modifié la phrase
Dans uneEn compréhension écrite, on a toujours une question qui nous demande de vérifier si les phrases dans cett'une question sont vraies ou fausses en fait souvent partie.
Plus simple et mieux construit grammaticalement
Quand j'était au Japon et que j'en croisaie tombais sur de telles questions, ldes réponses cleaires laes accompagniaient dans les pages derrièreerrière la page, sans aucune exception.
«croiser» s'emploie plus pour des humains (bien qu'il y ait des exceptions): «tomber sur» peut s'appliquer à des objets ou des êtres animés. Cela se dit particulièrement lorsque la rencontre est soudaine, ou imprévue (mais pas uniquement)
Si ces explications se situaient en bas de la page, vous ne pouvez pas utiliser «derrière» : avez-vous voulu dire «aux pages suivantes» ?
Les explications concernant les raisons pour lesquelles les phrases étaient censées considérées correctes ou pas étaient souvent écrites en dessous des réponses.
Mais, depuis que je suis arrivée en France et que j'ai commencé à suivre des cours de français, les profs me ditsent toujours « ça dépend des logiques ou des interpreétations de chacun » quand on doit gèérer ce genre de question(s).
La relative «j'ai commencé» dépend de «depuis que», il faut donc marquer la relation entre les deux par un «que»
Si vous voulez mettre l'accent sur le fait que vous devez trouver une solution qui n'est pas forcément évidente (car vous n'avez pas d'aide) => quand on doit se débrouiller avec ce genre de question(s)
Et ce phénomène s'est répétéla s'est à nouveau produit hier.
Formulation plus simple
D'une part côté, je pense qu'ils ont raison.
«d'une part/d'autre part» sont des termes formels qui expriment deux arguments différents, mais qui tendent à aller dans le même sens
Exemple rapide «d'une part, le Japon a peu de terrains constructibles; d'autre part, sa population est importante : voilà pourquoi les loyers sont chers » (deux arguments démontrant une même chose)
LCertaines phrases peuvent avoir plusieurs interprétations selon le contexte.
Cela ne concerne pas toutes les phrases, dans l'absolu, alors je trouverais «certaines» meilleur, mais il s'agit d'une subtilité
Même si j'écrits une phrase du type « j'aime les gâteaux », le fait que j'aime réellement les gâteaux ou pas en réalité change en fonction du contexte.
Néanmoins, d'une autre part, à mon sens,côté, je pense que c'est une réesponsabilité des personnes qui ont rédigé les phrases de la/gens qui rédigent les questions.
Comme vous affirmez une vérité générale, le présent («rédigent») est plus adapté
J'ai mis «je pense que» pour éviter la répétition d'incises (morceaux de phrases séparés par des virgules qui tendent à «hacher» la phrase)
Autrement dit, il ne faut pas laisser la place que les autresautant de place aux interpreétations interviennent autant que ce soientde chacun dans les questions dans leu manuel d'excercisces pour les examens.
Grâce au contexte, je pense avoir saisi ce que vous avez voulu dire, et cela pouvait se dire aussi simplement que cela !
Ils audevraient dû exprimer leur point de vue ou leur réponse de modéldonner leur une réponse-type pour que les étudieants puissent se faire une idée sur la manière de penser à laéthodologie attendue pour ce type d'examen française.
Pour des raisons de clarté, je préciserais clairement le sujet ici, même s'il est assez clair grâce au contexte
Même remarque que précédemment sur le présent de vérité générale
«la manière de pensée à la française» serait un terme très général; ce que j'ai mis concerne spécialement les examens
La méthodologie = la manière de faire, de procéder (et l'idée sous-jacente)
Malheusement, tous les professeurs de français ne sont pas doués pour décortiquer ce qui est écrit dans le texte.
Je peux l'affirmer car j'ai vu beaucoups de fois des fautes assez clairévidentes de la part des professeurs.
CettIl doit y avoir une situation doit être plus ou moins semblable dans tous les apprentissages des langues.
Afin d'éviter les malentendus et dles erreurs et afin d'apprendre des langues efficacement, je pense qu'il est nécessaire, au moins, de mettre les réponses -types pour les questions demandent« vrai ou faux ».
Cela sonne mieux en répétant deux fois «afin»; je ne saurais vous dire pourquoi, la locution ne peut pas tellement être séparée de sa préposition «de»
Ou,Mais peut-être, que je suis trop intransigeante...
«peut-être» en tête de subordonnée nécessite un «que»
Variante beaucoup plus littéraire: «peut-être suis-je trop intransigeante»
Feedback
Non, vous avez entièrement raison. Un professeur ou un correcteur doit justifier ses choix. C'est pour cela que j'essaie autant que possible d'expliquer mes corrections, car à part les fautes de grammaire (qui sont objectives, car inacceptables pour n'importe quel locuteur maîtrisant la langue), je suis bien conscient que de nombreuses petites subtilités d'usage ou de style peuvent se discuter, et qu'un autre natif pourrait venir avec des arguments différents des miens, mais tout aussi recevables.
Ou alors, il faut accorder le point à l'étudiant si on considère que ses choix (de style, de formulation, de n'importe quoi) sont pertinents ! :-D
Vrai ou faux This sentence has been marked as perfect! |
Il y a une queston qui me reste toujours en tête. Il y a une question qui me «trotter» veut littéralement dire 小走りする; ici cela signifie qu'une question tourne dans votre tête, sans cesse |
Hier je l'ai vecu encore une fois, je vais donc le décrire. Hier je On ne peut pas vraiment «vivre» une question, voilà pourquoi j'ai modifié la phrase |
Dans une compréhension écrite, une question qui nous demande de vérifier si les phrases dans cette question sont vraies ou fausses en fait souvent partie.
Plus simple et mieux construit grammaticalement |
Quand j'était au Japon et que j'en croisais, les réponses cleares la accompagniaient dans les pages derrière sans aucune exception. Quand j'était au Japon et que j «croiser» s'emploie plus pour des humains (bien qu'il y ait des exceptions): «tomber sur» peut s'appliquer à des objets ou des êtres animés. Cela se dit particulièrement lorsque la rencontre est soudaine, ou imprévue (mais pas uniquement) Si ces explications se situaient en bas de la page, vous ne pouvez pas utiliser «derrière» : avez-vous voulu dire «aux pages suivantes» ? |
Les explications pour lequelles les phrases étaient censées considérées correctes ou pas étaient souvent écrites en dessous des réponses. Les explications concernant les raisons pour lesquelles les phrases étaient |
Mais, depuis que je suis arrivée en France et j'ai commencé à suivre des cours de français, les profs me ditent toujours « ça dépend des logiques ou des interpretations de chacun » quand on doit gèrer ce genre de question. Mais La relative «j'ai commencé» dépend de «depuis que», il faut donc marquer la relation entre les deux par un «que» Si vous voulez mettre l'accent sur le fait que vous devez trouver une solution qui n'est pas forcément évidente (car vous n'avez pas d'aide) => quand on doit se débrouiller avec ce genre de question(s) |
Et ce phénomène s'est répété hier. Et ce Formulation plus simple |
D'une part, je pense qu'ils ont raison. D'un «d'une part/d'autre part» sont des termes formels qui expriment deux arguments différents, mais qui tendent à aller dans le même sens Exemple rapide «d'une part, le Japon a peu de terrains constructibles; d'autre part, sa population est importante : voilà pourquoi les loyers sont chers » (deux arguments démontrant une même chose) |
Les phrases peuvent avoir plusieurs interprétations selon le contexte.
Cela ne concerne pas toutes les phrases, dans l'absolu, alors je trouverais «certaines» meilleur, mais il s'agit d'une subtilité |
Même si j'écrit une phrase « j'aime les gâteaux », le fait que j'aime les gâteaux ou pas en réalité change en fonction du contexte. Même si j'écri |
Néanmoins, d'une autre part, à mon sens, c'est une résponsabilité des personnes qui ont rédigé les phrases de la question. Néanmoins, d'un Comme vous affirmez une vérité générale, le présent («rédigent») est plus adapté J'ai mis «je pense que» pour éviter la répétition d'incises (morceaux de phrases séparés par des virgules qui tendent à «hacher» la phrase) |
Autrement dit, il ne faut pas laisser la place que les autres interpretations interviennent autant que ce soient les questions dans le manuel d'excercises pour les examens. Autrement dit, il ne faut pas laisser Grâce au contexte, je pense avoir saisi ce que vous avez voulu dire, et cela pouvait se dire aussi simplement que cela ! |
Ils auraient dû exprimer leur point de vue ou leur réponse de modéle pour que les étudients puissent se faire une idée sur la manière de penser à la française. Ils Pour des raisons de clarté, je préciserais clairement le sujet ici, même s'il est assez clair grâce au contexte Même remarque que précédemment sur le présent de vérité générale «la manière de pensée à la française» serait un terme très général; ce que j'ai mis concerne spécialement les examens La méthodologie = la manière de faire, de procéder (et l'idée sous-jacente) |
Malheusement, tous les professeurs de français ne sont pas doués pour décortiquer ce qui est écrit dans le texte. This sentence has been marked as perfect! |
Je peux l'affirmer car j'ai vu beaucoups de fois des fautes assez claires de la part des professeurs. Je peux l'affirmer car j'ai vu beaucoup |
Cette situation doit être plus ou moins semblable dans tous les apprentissages des langues.
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Afin d'éviter les malentendus et des erreurs et d'apprendre des langues efficacement, je pense qu'il est nécessaire, au moins, de mettre les réponses types pour les questions demandent vrai ou faux. Afin d'éviter les malentendus et Cela sonne mieux en répétant deux fois «afin»; je ne saurais vous dire pourquoi, la locution ne peut pas tellement être séparée de sa préposition «de» |
Ou, peut-être, je suis trop intrasigeante...
«peut-être» en tête de subordonnée nécessite un «que» Variante beaucoup plus littéraire: «peut-être suis-je trop intransigeante» |
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