April 4, 2023
! (VIII)
Le passage de ce texte est un des ces délires qui nous montrent le début de cette averse de sentiments où il va être piégé.
« Désormais je ne suis plus. Je ne veux rien et tout ce que m'entoure est vide. Et non, ce n'est pas l'énième délire dans lequel je te dis que j'aime la couleur du ciel et blablabla, pas du tout. Mon essence, d'ailleurs la seule chose qui semble m'appartenir, n'est suffisant pour faire ou éprouver rien. Il n'y a pas des beaux mots: même ceux que je viens d'utiliser et ceux que je vais utiliser sont vides; tout est bavardage. Même la langue des yeux et de la Nature, que je jugeais comme haute et sublime, est maintenant vide: même les yeux de maman, ou de quiconque veut mon bien, semblent bavarder. Et la flânerie, même celle dans laquelle je pourrais oublier le monde physique ( c'est-à-dire cette flânerie que j'ai souvent montré comme la sublimation de l'intelligence ).
Le seul être est tellement lourd que supporter cette feuille-ci ou la main de cette femme-là est trop difficile. Et je voudrais saisir l'essence de cette feuille, se fondre avec sa couleur et me perdre dans les lignes qui la séparent de son arbre, mais c'est impossible ! Et la susdite main ? Mais je ne peut pas supporter la plus petite feuille ! Comment pourrais-je supporter l'essence d'un autre homme ( l'analyser est hors de question ) si même une feuille m'effraye ?
Hélas ! »
! (VIII)
Le passage de ce texte est un des ces délires qui nous montrent le début de cette averse de sentiments où il va être piégé.
« Désormais je ne suis plus.
Je ne veux rien et tout ce quei m'entoure est vide.
Et non, ce n'est pas l'énième délire dans lequel je te dis que j'aime la couleur du ciel et blablabla, pas du tout.
Mon essence, d'ailleurs la seule chose qui semble m'appartenir, n'est suffisante pour ne faire ou n'éprouver rien.
Il n'y a pas des beaux mots: même ceux que je viens d'utiliser et ceux que je vais utiliser sont vides; tout est bavardage.
Même la langue des yeux et de la Nature, que je jugeais comme haute et sublime, est maintenant vide: même les yeux de maman mère, ou de quiconque veut mon bien, semblent bavarder.
Et la flânerie, même celle dans laquelle je pourrais oublier le monde physique ( c'est-à-dire cette flânerie que j'ai souvent montrée comme la sublimation de l'intelligence ).
Et la flânerie, [même celle dans laquelle je pourrais oublier le monde physique ( c'est-à-dire cette flânerie que j'ai souvent montrée comme la sublimation de l'intelligence )]... ? -> la flânerie est ... ? (il manque le verbe dans ta phrase principale)
L'être seul être est tellement lourd que supporter cette feuille-ci ou la main de cette femme-là est trop difficile.
Et je voudrais saisir l'essence de cette feuille, sme fondre avec sa couleur et me perdre dans les lignes qui la séparent de son arbre, mais c'est impossible !
Et la susdite main ?
Mais je ne peutx pas supporter la plus petite feuille !
Comment pourrais-je supporter l'essence d'un autre homme ( l'analyser est hors de question ) si même une feuille m'effraye ?
Hélas !
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Je ne veux rien et tout ce que m'entoure est vide. Je ne veux rien et tout ce qu |
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Et non, ce n'est pas l'énième délire dans lequel je te dis que j'aime la couleur du ciel et blablabla, pas du tout. This sentence has been marked as perfect! |
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Mon essence, d'ailleurs la seule chose qui semble m'appartenir, n'est suffisant pour faire ou éprouver rien. Mon essence, d'ailleurs la seule chose qui semble m'appartenir, n'est suffisante pour ne faire ou n'éprouver rien. |
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Il n'y a pas des beaux mots: même ceux que je viens d'utiliser et ceux que je vais utiliser sont vides; tout est bavardage. Il n'y a pas de |
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Même la langue des yeux et de la Nature, que je jugeais comme haute et sublime, est maintenant vide: même les yeux de maman, ou de quiconque veut mon bien, semblent bavarder. Même la langue des yeux et de la Nature, que je jugeais comme haute et sublime, est maintenant vide: même les yeux de ma |
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Et la flânerie, même celle dans laquelle je pourrais oublier le monde physique ( c'est-à-dire cette flânerie que j'ai souvent montré comme la sublimation de l'intelligence ). Et la flânerie, même celle dans laquelle je pourrais oublier le monde physique ( c'est-à-dire cette flânerie que j'ai souvent montrée comme la sublimation de l'intelligence ). Et la flânerie, [même celle dans laquelle je pourrais oublier le monde physique ( c'est-à-dire cette flânerie que j'ai souvent montrée comme la sublimation de l'intelligence )]... ? -> la flânerie est ... ? (il manque le verbe dans ta phrase principale) |
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Le seul être est tellement lourd que supporter cette feuille-ci ou la main de cette femme-là est trop difficile. L'être seul |
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Et je voudrais saisir l'essence de cette feuille, se fondre avec sa couleur et me perdre dans les lignes qui la séparent de son arbre, mais c'est impossible ! Et je voudrais saisir l'essence de cette feuille, |
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Et la susdite main ? This sentence has been marked as perfect! |
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Mais je ne peut pas supporter la plus petite feuille ! Mais je ne peu |
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Comment pourrais-je supporter l'essence d'un autre homme ( l'analyser est hors de question ) si même une feuille m'effraye ? This sentence has been marked as perfect! |
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