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anouk

March 30, 2023

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! (VII)

Le passage que j'ai choisi de rapporter est d'après moi parmi les plus beaux, car on peut tout de suite remarquer la complexité d'une intériorité si tourmentée.
« Ô mon cher cahier, j'ai besoin de te parler. Je hais quand mon cerveau se plonge dans une flânerie que je peux seulement subir silencieusement ! Peux-tu te souvenir celle fois où j'ai te parlé du déjeuner avec mon ami, peut-être il y a deux ou trois jours ? Hélas, je dessinais et, je ne suis pas sûr comment, je me suis souvenu de ce jour... Et j'ai commencé à penser que mon ami a peut-être remarqué mes épaules étroites, mes grandes oreilles et aussi le ridicule avec lequel j'ai indiqué une chose sur le menù ou expliqué mieux une idée en gesticulant. Et s'il a considéré ces idées ridicules, fausses ou même sottes ?!
Ô mon cher cahier, je te prie d'arracher l'idée qui s'est formée en moi ! C'est la chose qui me pousse à t'écrire, à mettre de côté l'orgueil ! Et cette idée est que maintenant même ma main, mes yeux et tout ce que je fais, tout est ridicule ! Tout à fait ridicule ! Je ne peux pas même hausser les épaules, mouvoir les yeux ou les doigts sans me sentir coupable, sans me sentir ridicule ! Et la vérité est que je voudrais seulement me mettre au lit et pleurer : les larmes vont couler le long de ma joue, et pour un moment tout va bien; parceque je vais me fondre à mes larmes, et mes sanglots vont sembler la plus douce musique. Mais tout ce que je viens de décrire sera une idée de quand je vais regarder le halo sur l'oreiller : en pleurant il n'y a que des larmes et des émotions qu'on ne peut pas comprendre et dont on ne peut pas se rendre compte. »

Corrections

! (VII)

Le passage que j'ai choisi de rapporter est, d'après moi, parmi les plus beaux, car on peut tout de suite remarquer la complexité d'une intériorité si tourmentée.

« Ô mon cher cahier, j'ai besoin de te parler.

Je hais quand mon cerveauesprit se plonge dans une flânerie que je peux seulement subir silencieusement !

Peux-tu te souvenir celltte fois où je t'ai te parlé du déjeuner avec mon ami, peut-être il y a deux ou trois jours ?

Hélas, je dessinais et, je ne suis pas sûr de comment, je me suis souvenu de ce jour... Et j'ai commencé à penser que mon ami a peut-être remarqué mes épaules étroites, mes grandes oreilles et aussi le ridicule avec lequel j'ai indiqué une chose sur le menùu, ou mieux expliqué mieux une idée en gesticulant.

Et s'il a considéré ces idées ridicules, fausses ou même sottes ?

!

Ô mon cher cahier, je te prie d'arracher l'idée qui s'est formée en moi !

C'est la chose qui me pousse à t'écrire, à mettre de côté l'orgueil !

Et cette idée est que maintenant même ma main, mes yeux et tout ce que je fais, tout est ridicule !

Tout à fait ridicule !

Je ne peux pas même hausser les épaules, mouvoir les yeux ou lmes doigts sans me sentir coupable, sans me sentir ridicule !

Et la vérité est que je voudrais seulement me mettre au lit et pleurer : les larmes vont couler le long de ma joue, et pour un moment tout vira bien; parce que je vais me fondre àdans mes larmes, et mes sanglots vont me sembler être la plus douce des musiques.

Mais tout ce que je viens de décrire sera une idée de quand je vais regarder le halo sur l'oreiller : en pleurant il n'y a que des larmes et des émotions qu'on ne peut pas comprendre et dont on ne peut pas se rendre compte.

»

! (VII)


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Le passage que j'ai choisi de rapporter est d'après moi parmi les plus beaux, car on peut tout de suite remarquer la complexité d'une intériorité si tourmentée.


Le passage que j'ai choisi de rapporter est, d'après moi, parmi les plus beaux, car on peut tout de suite remarquer la complexité d'une intériorité si tourmentée.

« Ô mon cher cahier, j'ai besoin de te parler.


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Je hais quand mon cerveau se plonge dans une flânerie que je peux seulement subir silencieusement !


Je hais quand mon cerveauesprit se plonge dans une flânerie que je peux seulement subir silencieusement !

Peux-tu te souvenir celle fois où j'ai te parlé du déjeuner avec mon ami, peut-être il y a deux ou trois jours ?


Peux-tu te souvenir celltte fois où je t'ai te parlé du déjeuner avec mon ami, peut-être il y a deux ou trois jours ?

Hélas, je dessinais et, je ne suis pas sûr comment, je me suis souvenu de ce jour... Et j'ai commencé à penser que mon ami a peut-être remarqué mes épaules étroites, mes grandes oreilles et aussi le ridicule avec lequel j'ai indiqué une chose sur le menù ou expliqué mieux une idée en gesticulant.


Hélas, je dessinais et, je ne suis pas sûr de comment, je me suis souvenu de ce jour... Et j'ai commencé à penser que mon ami a peut-être remarqué mes épaules étroites, mes grandes oreilles et aussi le ridicule avec lequel j'ai indiqué une chose sur le menùu, ou mieux expliqué mieux une idée en gesticulant.

Et s'il a considéré ces idées ridicules, fausses ou même sottes ?


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!


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Ô mon cher cahier, je te prie d'arracher l'idée qui s'est formée en moi !


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C'est la chose qui me pousse à t'écrire, à mettre de côté l'orgueil !


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Et cette idée est que maintenant même ma main, mes yeux et tout ce que je fais, tout est ridicule !


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Tout à fait ridicule !


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Je ne peux pas même hausser les épaules, mouvoir les yeux ou les doigts sans me sentir coupable, sans me sentir ridicule !


Je ne peux pas même hausser les épaules, mouvoir les yeux ou lmes doigts sans me sentir coupable, sans me sentir ridicule !

Et la vérité est que je voudrais seulement me mettre au lit et pleurer : les larmes vont couler le long de ma joue, et pour un moment tout va bien; parceque je vais me fondre à mes larmes, et mes sanglots vont sembler la plus douce musique.


Et la vérité est que je voudrais seulement me mettre au lit et pleurer : les larmes vont couler le long de ma joue, et pour un moment tout vira bien; parce que je vais me fondre àdans mes larmes, et mes sanglots vont me sembler être la plus douce des musiques.

Mais tout ce que je viens de décrire sera une idée de quand je vais regarder le halo sur l'oreiller : en pleurant il n'y a que des larmes et des émotions qu'on ne peut pas comprendre et dont on ne peut pas se rendre compte.


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»


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Je hais quand mon cerveau se plonge dans une flânerie que je peut seulement subit silencieusement !


Et s'il a considéré ces idées ridicules, fausses ou même sottes.


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