anouk's avatar
anouk

Jan. 18, 2023

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# VII

La lecture. La lecture est pour elle le moyen meilleur pour vivre ses émotions et pour connaître personnes qui sont plus intéressantes des celles réelles.
Le problème se pose quand elle commence à mettre l'or littéraire dans le boue réel puis s'amuser à le trouver, à jeter sa couronne dans une porcherie; hélas, non, cher lecteur qui doit supporter ces délires de stylo, il n'y a jamais rien de métaphysique dans ce que j'ai dit: son cerveau jete toujours dans l'âme des autres des valeurs que les yeux puis remarquent. Mais la bonté, la sensibilité, et la liste est trop longe, sont choses qu'ils n'ont pas; elle les voit parce qu'elle les doit voir, parce qu'elle doit retrouver les personnages littéraires autour de lui. D'ailleurs elle doit colorier le monde, et si par hasard le violet de l'orgueil est assez belle quand elle en lit, le cerveau est prêt à jeter à l'âme de quiconque l'orgueil le plus beau du monde, afin que les yeux le remarquent et le coeur peut finalmenet battre.
Mais écrire d'elle est déjà un blasphème: celles-ci sont personnes à voir, à vivre; il n'y a pas de temps pour les comprendre ou pour les critiquer rationnellement; Dieu sait qu'elle penserait en lisant ces mots...

Corrections

# VII

La lecture.

La lecture est pour elle le moyen meilleur moyen pour vivre ses émotions et pour connaître des personnages imaginaires qui sont plus intéressantes des celles réellesque dans la réalité.

Pour des êtres qui font partie de l'imagination (surtout dans un contexte littéraire), « personnage » serait mieux

Le problème se pose quand elle commence à jeter sa couronne dans une porcherie, à mettre l'or littéraire dans le boue du réel puis qu'elle s'amuser à le retrouver, à jeter sa couronne dans une porcherie ; hélas, non, cher lecteur, toi qui doits supporter ces délires de stylo, il n'y a jamais rien de métaphysique dans ce que j'aie dits : son cerveau projette toujours dans l'âme des autres des valeurs que les yeux [puis ?] remarquent.

Pure question de style ici, mais je mettrais le complément le plus court (« à jeter la couronne [...] ») en premier
« pour s'amuser à la retrouver ensuite » serait bien meilleur stylistiquement, mais la phrase ci-dessus n'est pas fausse
Je n'ai pas compris la fin avec « puis »: des valeurs que ses yeux remarquent ensuite (après avoir projeté les valeurs) ? Que ses yeux « Y » ("ci") remarquent ?

Mais la bonté, la sensibilité, et la liste est trop longed'autres qualités trop longues pour être énumérées ici, sont des choses qu'ils n'ont pas ; elle les voit parce qu'elle les doit les voir, parce qu'elle doit retrouver les personnages littéraires autour de lui'[elle ?].

« elle les doit voir » est parfaitement juste, mais sonnerait très vieilli
« lui » ne renverrait à rien à la fin : il n'y a que des valeurs (féminin pluriel), une femme dont tu parles, les autres (masculin pluriel) et ses yeux (masculin pluriel) donc je ne vois pas à qui renverrait ce « lui »
Je suppose que tu voulais dire « la femme » => autour d'ELLE

D'ailleurs, elle doit colorier le monde, et si par hasard le violet de l'orgueil est assez belleau quand elle len lit, le cerveau [est/sera ?] prêt à jeter à l'âme de quiconque l'orgueil le plus beaue plus bel orgueil du monde, afin que les yeux le remarquent et que le coeœur peutuisse finalemenet battre.

L'orgueil (masculin) => BEAU (ou « bel » lorsqu'un adjectif le précède car le mot commence par une voyelle)

quand A se produit, B suit comme conséquence => quand le violet est/le cerveau est
Si A se produit (on ne sait pas si ça va arriver), alors la conséquence B arrivera => Si le violet est/le cerveau SERA
J'avoue ne pas avoir saisi lequel tu voulais utiliser, car même si la grammaire est à peu près correcte, j'ai du mal à saisir le sens de la phrase (particulièrement le « violet de l'orgueil »)

afin que + subjonctif => puisse

Mais écrire d'sur elle est déjà un blasphème : celles-ci sonts personnes-ci sont à voir, à vivre;, il n'y a pas dle temps pourde les comprendre ou pourde les critiquer rationnellement;. Dieu sait ce qu'elle penserait en lisant ces mots...

pas le temps DE faire quelque chose (« pour » est parfois utilisé mais je ne recommanderais pas l'emploi systématique de cette dernière préposition
« celles-ci » est très défini est très déictique en français. À l'oral, cela s'emploie quand on montre des choses ; à l'écrit, quand les choses auxquelles on fait référence sont très déterminées (souvent dans la même phrase)
Tu peux traduire « queste » (choses proches de moi) en ajoutant « -ci » au nom, pour créer un contraste « ceux-ci vs d'autres plus éloignés »

anouk's avatar
anouk

Jan. 21, 2023

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Le problème se pose quand elle commence à jeter sa couronne dans une porcherie, à mettre l'or littéraire dans le boue du réel puis qu'elle s'amuser à le retrouver, à jeter sa couronne dans une porcherie ; hélas, non, cher lecteur, toi qui doits supporter ces délires de stylo, il n'y a jamais rien de métaphysique dans ce que j'aie dits : son cerveau projette toujours dans l'âme des autres des valeurs que les yeux [puis ?] remarquent.

Je voulais dire que le cerveau projette des "valeurs" dans leur âmes, et ensuite les yeux les remarquent.
Autrement dit, elle voit des choses qui n'existent pas parce que le cerveau la trompe.

anouk's avatar
anouk

Jan. 21, 2023

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Merci beaucoup pour les corrections

Monsieur_Elephant's avatar
Monsieur_Elephant

Jan. 21, 2023

37

Ah dans ce cas, ce serait « que les yeux remarquent ENSUITE »
« ensuite » est un adverbe qui peut se comporter comme une conjonction de coordination ou comme un simple complément de temps, plaçable n'importe où dans une proposition. « Puis », en revanche, se comporte seulement comme une conjonction de coordination, en français moderne. Donc dans ta phrase là, il faudrait « ensuite ».
Et de rien, c'est toujours un plaisir ;-)

# VII


This sentence has been marked as perfect!

La lecture.


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La lecture est pour elle le moyen meilleur pour vivre ses émotions et pour connaître personnes qui sont plus intéressantes des celles réelles.


La lecture est pour elle le moyen meilleur moyen pour vivre ses émotions et pour connaître des personnages imaginaires qui sont plus intéressantes des celles réellesque dans la réalité.

Pour des êtres qui font partie de l'imagination (surtout dans un contexte littéraire), « personnage » serait mieux

Le problème se pose quand elle commence à mettre l'or littéraire dans le boue réel puis s'amuser à le trouver, à jeter sa couronne dans une porcherie; hélas, non, cher lecteur qui doit supporter ces délires de stylo, il n'y a jamais rien de métaphysique dans ce que j'ai dit: son cerveau jete toujours dans l'âme des autres des valeurs que les yeux puis remarquent.


Le problème se pose quand elle commence à jeter sa couronne dans une porcherie, à mettre l'or littéraire dans le boue du réel puis qu'elle s'amuser à le retrouver, à jeter sa couronne dans une porcherie ; hélas, non, cher lecteur, toi qui doits supporter ces délires de stylo, il n'y a jamais rien de métaphysique dans ce que j'aie dits : son cerveau projette toujours dans l'âme des autres des valeurs que les yeux [puis ?] remarquent.

Pure question de style ici, mais je mettrais le complément le plus court (« à jeter la couronne [...] ») en premier « pour s'amuser à la retrouver ensuite » serait bien meilleur stylistiquement, mais la phrase ci-dessus n'est pas fausse Je n'ai pas compris la fin avec « puis »: des valeurs que ses yeux remarquent ensuite (après avoir projeté les valeurs) ? Que ses yeux « Y » ("ci") remarquent ?

Mais la bonté, la sensibilité, et la liste est trop longe, sont choses qu'ils n'ont pas; elle les voit parce qu'elle les doit voir, parce qu'elle doit retrouver les personnages littéraires autour de lui.


Mais la bonté, la sensibilité, et la liste est trop longed'autres qualités trop longues pour être énumérées ici, sont des choses qu'ils n'ont pas ; elle les voit parce qu'elle les doit les voir, parce qu'elle doit retrouver les personnages littéraires autour de lui'[elle ?].

« elle les doit voir » est parfaitement juste, mais sonnerait très vieilli « lui » ne renverrait à rien à la fin : il n'y a que des valeurs (féminin pluriel), une femme dont tu parles, les autres (masculin pluriel) et ses yeux (masculin pluriel) donc je ne vois pas à qui renverrait ce « lui » Je suppose que tu voulais dire « la femme » => autour d'ELLE

D'ailleurs elle doit colorier le monde, et si par hasard le violet de l'orgueil est assez belle quand elle en lit, le cerveau est prêt à jeter à l'âme de quiconque l'orgueil le plus beau du monde, afin que les yeux le remarquent et le coeur peut finalmenet battre.


D'ailleurs, elle doit colorier le monde, et si par hasard le violet de l'orgueil est assez belleau quand elle len lit, le cerveau [est/sera ?] prêt à jeter à l'âme de quiconque l'orgueil le plus beaue plus bel orgueil du monde, afin que les yeux le remarquent et que le coeœur peutuisse finalemenet battre.

L'orgueil (masculin) => BEAU (ou « bel » lorsqu'un adjectif le précède car le mot commence par une voyelle) quand A se produit, B suit comme conséquence => quand le violet est/le cerveau est Si A se produit (on ne sait pas si ça va arriver), alors la conséquence B arrivera => Si le violet est/le cerveau SERA J'avoue ne pas avoir saisi lequel tu voulais utiliser, car même si la grammaire est à peu près correcte, j'ai du mal à saisir le sens de la phrase (particulièrement le « violet de l'orgueil ») afin que + subjonctif => puisse

Mais écrire d'elle est déjà un blasphème: celles-ci sont personnes à voir, à vivre; il n'y a pas de temps pour les comprendre ou pour les critiquer rationnellement; Dieu sait qu'elle penserait en lisant ces mots...


Mais écrire d'sur elle est déjà un blasphème : celles-ci sonts personnes-ci sont à voir, à vivre;, il n'y a pas dle temps pourde les comprendre ou pourde les critiquer rationnellement;. Dieu sait ce qu'elle penserait en lisant ces mots...

pas le temps DE faire quelque chose (« pour » est parfois utilisé mais je ne recommanderais pas l'emploi systématique de cette dernière préposition « celles-ci » est très défini est très déictique en français. À l'oral, cela s'emploie quand on montre des choses ; à l'écrit, quand les choses auxquelles on fait référence sont très déterminées (souvent dans la même phrase) Tu peux traduire « queste » (choses proches de moi) en ajoutant « -ci » au nom, pour créer un contraste « ceux-ci vs d'autres plus éloignés »

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