Aug. 4, 2020
Le français est la deuxième langue étrangère, après l’anglais, que j’ai réussie à bien comprendre. Ce n’était pas cependant la deuxième langue dans laquelle j’ai essayé de me plonger. Je me suis appliqué à « conquérir » d’autres langues comme le néerlandais, le japonais, et l’allemand, toutes avec différents, mais considérables niveaux d’effort. Pourtant, j’y ai échoué. Alors, qu’est-ce qui distingue mon apprentissage de français ? Il y a plein de facteurs, mais le grand soutien de mes parents fait partie des choses qui ont fait avancer mon apprentissage de manière remarquable. Tout d’abord, il peut être coûteux d’apprendre une langue qui n’est pas très populaire. Le français n’est jamais le premier choix pour un Indonésien qui compte apprendre une nouvelle langue car personne ne le parle. En outre, beaucoup ont l’impression qu’il est trop différent à appréhender, sans compter sa prononciation infâme. Donc, un investissement dans cette langue méconnue s’avère très risqué, pour ne pas dire imprudent. Mes parents et moi, nous ne sommes pas d’accord sur beaucoup de choses, y compris mon idée de m’inscrire aux cours proposé par l’Institut français de ma ville. Mon père m’encourageait toujours à reprendre mon allemand. Un de ses vieux rêves était de faire ses études en Allemagne. «L’éducation y est gratuite ! » dit-a-t-il. C’était différent pour ma mère. Pour rendre hommage à nos ancêtres chinois, elle préférait que j’apprenne le mandarin. Face à ces intérêts contradictoires, j’ai pris le taureau par les cornes en leur en parlant. Malgré quelques petits débats, mes parents ont décidé de me procurer l’argent pour suivre les cours de français. Oui, à ma grande surprise, ils m’ont donné le feu vert. Même si cette décision continue de les faire froncer les sourcils encore maintenant, mes parents me soutiennent quand même. J’en les remercie amplement. Ils ne sont pas à bord avec moi, mais c’était eux qui m’ont donné le bateau pour naviguer dans ces eaux inconnues.
UN SOUTIEN IMPORTANT DANS MON APPRENTISSAGE DEU FRANÇAIS
Le français est la deuxième langue étrangère, après l’anglais, que j’ai réussie à bien comprendre.
Ici, on considère que l'objet de la phrase est "une deuxième langue À COMPRENDRE", donc il est traité comme un infinitif, ce qui entraîne l'accord au masculin
Ce n’était pas cependant pas la deuxième langue dans laquelle j’ai essayé de me plonger.
Je me suis appliqué à « conquérir » d’autres langues comme le néerlandais, le japonais, et l’allemand, toutes avec différents, mais considérables niveaux d’efforten investissant des efforts variables mais toujours considérables.
Pourtant, j’y 'ai échoué.
Mettre "y" était tout à fait juste, mais ici tout le monde dirait naturellement "j'ai échoué".
Alors, qu’est-ce qui distingue mon apprentissage de français des autres ?
Il y a plein de facteurs, mais le grand soutien de mes parents fait partie des choses qui ont fait avancer mon apprentissage de manière remarquable.
Alternative: "le soutien inébranlable"
Tout d’abord, il peut être coûteux d’apprendre une langue qui n’est pas très populaire.
Le français n’est jamais le premier choix pour un Indonésien qui compte apprendre une nouvelle langue car personne ne le parle.
En outre, beaucoup ont l’impression qu’il est trop différent à appréhender, sans compter sa prononciation infâme.
Donc, un investissement dans cette langue méconnue s’avère très risqué, pour ne pas dire imprudent.
Mes parents et moi, nous ne sommes pas d’accord sur beaucoup de choses, y compris mon idée de m’inscrire aux cours proposés par l’Institut français de ma ville.
Mon père m’encourageait toujours à reprendre mon allemand.
Un de ses vieux rêves était de faire ses études en Allemagne.
«L’éducation y est gratuite !
» dit-a-sait-il.
C’était différent pour ma mère.
Pour rendre hommage à nos ancêtres chinois, elle préférait que j’apprenne le mandarin.
Face à ces intérêts contradictoires, j’ai pris le taureau par les cornes en leur en parlant de mon choix.
Le sujet est peut-être un peu trop éloigné dans le texte pour le remplacer par "en".
Malgré quelques petits débats, mes parents ont décidé de me procurer l’argent pour suivre lmes cours de français.
Oui, à ma grande surprise, ils m’ont donné le feu vert.
Même si cette décision continue de lesur faire froncer les sourcils encore maintenant, mes parentaujourd'hui, ils me soutiennent quand même.
faire froncer les sourcils à eux => LEUR faire froncer
J’ene les en remercie amplement.
Ils ne sont pas à bord avec moi, mais c’étaie sont eux qui m’ont donné le bateau pour naviguer dans ces eaux inconnues.
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Un très bon texte, comme d'habitude
J'attends vos petites questions !
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Ce n’était pas cependant la deuxième langue dans laquelle j’ai essayé de me plonger. Ce n’était |
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Je me suis appliqué à « conquérir » d’autres langues comme le néerlandais, le japonais, et l’allemand, toutes avec différents, mais considérables niveaux d’effort. Je me suis appliqué à « conquérir » d’autres langues comme le néerlandais, le japonais, et l’allemand, toutes |
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Pourtant, j’y ai échoué. Pourtant, j Mettre "y" était tout à fait juste, mais ici tout le monde dirait naturellement "j'ai échoué". |
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Alors, qu’est-ce qui distingue mon apprentissage de français ? Alors, qu’est-ce qui distingue mon apprentissage de français des autres ? |
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Mon père m’encourageait toujours à reprendre mon allemand. This sentence has been marked as perfect! |
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UN SOUTIEN IMPORTANT DANS MON APPRENTISSAGE DE FRANÇAIS UN SOUTIEN IMPORTANT DANS MON APPRENTISSAGE D |
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Le français est la deuxième langue étrangère, après l’anglais, que j’ai réussie à bien comprendre. Le français est la deuxième langue étrangère Ici, on considère que l'objet de la phrase est "une deuxième langue À COMPRENDRE", donc il est traité comme un infinitif, ce qui entraîne l'accord au masculin |
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Il y a plein de facteurs, mais le grand soutien de mes parents fait partie des choses qui ont fait avancer mon apprentissage de manière remarquable. Il y a plein de facteurs, mais le grand soutien de mes parents fait partie des choses qui ont fait avancer mon apprentissage de manière remarquable. Alternative: "le soutien inébranlable" |
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Tout d’abord, il peut être coûteux d’apprendre une langue qui n’est pas très populaire. This sentence has been marked as perfect! |
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Le français n’est jamais le premier choix pour un Indonésien qui compte apprendre une nouvelle langue car personne ne le parle. This sentence has been marked as perfect! |
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En outre, beaucoup ont l’impression qu’il est trop différent à appréhender, sans compter sa prononciation infâme. This sentence has been marked as perfect! |
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Donc, un investissement dans cette langue méconnue s’avère très risqué, pour ne pas dire imprudent. This sentence has been marked as perfect! |
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Mes parents et moi, nous ne sommes pas d’accord sur beaucoup de choses, y compris mon idée de m’inscrire aux cours proposé par l’Institut français de ma ville. Mes parents et moi, nous ne sommes pas d’accord sur beaucoup de choses, y compris mon idée de m’inscrire aux cours proposés par l’Institut français de ma ville. |
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Un de ses vieux rêves était de faire ses études en Allemagne. This sentence has been marked as perfect! |
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«L’éducation y est gratuite ! This sentence has been marked as perfect! |
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» dit-a-t-il. » di |
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C’était différent pour ma mère. This sentence has been marked as perfect! |
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Pour rendre hommage à nos ancêtres chinois, elle préférait que j’apprenne le mandarin. This sentence has been marked as perfect! |
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Face à ces intérêts contradictoires, j’ai pris le taureau par les cornes en leur en parlant. Face à ces intérêts contradictoires, j’ai pris le taureau par les cornes en leur Le sujet est peut-être un peu trop éloigné dans le texte pour le remplacer par "en". |
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Malgré quelques petits débats, mes parents ont décidé de me procurer l’argent pour suivre les cours de français. Malgré quelques petits débats, mes parents ont décidé de me procurer l’argent pour suivre |
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Oui, à ma grande surprise, ils m’ont donné le feu vert. This sentence has been marked as perfect! |
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Même si cette décision continue de les faire froncer les sourcils encore maintenant, mes parents me soutiennent quand même. Même si cette décision continue de le faire froncer les sourcils à eux => LEUR faire froncer |
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J’en les remercie amplement. J |
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Ils ne sont pas à bord avec moi, mais c’était eux qui m’ont donné le bateau pour naviguer dans ces eaux inconnues. Ils ne sont pas à bord avec moi, mais c |
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