May 21, 2024
Écrivez une nouvelle située en Argentine en 1932, dans laquelle une tasse de thé joue un rôle essentiel.
Quelle est la différence entre le meurtre et l’amour ?
---
Quand Mme. Rodriguez est entrée dans mon bureau, il était évident qu’elle avait beaucoup pleuré. « Bonjour, dis-je, puis-je vous aider ?
--Mon mari, dit-elle en sanglotant, mon mari, il est mort ! »
Je ne savais pas ce qui convenait de lui dire. « Comment votre mari est-il mort, dis-je.
--Je ne sais pas du tout, dit-elle en essuyant ses yeux avec un mouchoir, hier matin, quand je me suis réveillée, je me suis rendu compte que mon mari n’était pas là, ce que j’ai trouvé assez bizarre, puisque je savais qu’il faisait d’habitude la grasse matinée. Mais je me suis dit, peut-être qu’il avait eu une nuit blanche, mais c’est normal, ça arrive à chacun de temps en temps. Sa mère était morte il y a deux semaines, et il avait beaucoup disputé avec son frère de l’héritage, alors peut-être qu'il ne pouvait pas dormir à cause du stress. De toute façon, je me suis descendue pour manger un petit quelque chose pour le petit-déjeuner, mais mon mari n’était ni dans la cuisine ni dans la salle à manger. Je l’ai cherché, et en passant j’ai vu que la porte de la bibliothèque était tout ouverte. J’allais fermer la porte, quand j’ai vu mon mari assis sur son fauteuil préféré, mort, mort ! dit-elle en sanglotant, il me paraissait qu’on lui a tiré une balle dans la tête. J’ai hurlé, puis j’ai appelé la police, mais franchement les policiers ne servent à rien, ils discutaient toute la matinée s’il agissait d’un meurtre ou d’un suicide. Je leur ai dit plusieurs fois que mon mari n’était pas dépressif, il était très évident que quelqu’un l’avait tué, mais ils ne m’écoutaient pas. C’est pour ça que je suis allée chez vous, on m’a dit que vous étiez le meilleur détective à Buenos Aires.
-Merci, dis-je, vous êtes très gentille. Alors, pour résoudre la question de la mort de votre mari, faudra qu’on aille chez vous. » On est sorti donc du bureau ensemble vers un mystère que je n’oublierai jamais.
Un meurtre à Buenos Aires, première partie 1
Il est mieux d'utiliser les nombres ordinaux pour les parties
Écrivez une nouvelle située en Argentine en 1932, dans laquelle une tasse de thé joue un rôle essentiel.
Quelle est la différence entre le meurtre et l’amour ?
--- Quand Mme.
Rodriguez est entréea dans mon bureau, il était évident qu’elle avait beaucoup pleuré.
Vous avez commencé la narration elle-même dans un style formel (« dis-je », avec passé simple), il faut donc continuer comme ça (les personnages eux-mêmes en revanche peuvent très bien utiliser un français oral/familier)
« Bonjour, dis-je, puis-je vous aider ?
--— Mon mari, dit-elle en sanglotant, mon mari, il est mort !
Tiret après le tiret cadratin indiquant un changement de personnage dans un dialogue
»
¶
Je ne savais pas ce qui'il convenait de lui dire.
Ici on répète le pronom explétif qui se trouve dans « IL convient de... »
« Comment votre mari est-il mort ?, demandais-je.
« demander » est un bien meilleur choix quand quelqu'un pose une question (et en l'occurrence, cela évite également de répéter « dire »)
--— Je ne sais pas du tout, dit-elle en s'essuyant sles yeux avec un mouchoir, ; hier matin, quand je me suis réveillée, je me suis rendu compte que mon mari n’était pas là, ce que j’ai trouvé assez bizarre, puisque je savais qu’il faisait d’habitude la grasse matinée d'habitude.
« s'essuyer les yeux », même logique syntaxique que « se laver les mains »
On mettrait minimum un point-virgule (;) entre des phrases avec des idées/propos si différent(e)s
Mais je me suis dit, peut-être qu’il avait eu passé une nuit blanche, mais c’est normal, ça arrive à chacuntout le monde de temps en temps.
On « passe » une nuit blanche comme on passe du temps en général
Le « mais » me semble hors de propos ici, puisque cette dame considère que passer une nuit blanche est précisément une chose normale
« chacun » au sens de « tout le monde » est très peu employé, surtout dans ce contexte, on dit toujours « ça arrive à tout le monde ». Le « chacun » français ressemble au « each » anglais, il insiste vraiment sur chaque membre du groupe pris individuellement
Sa mère était morte il y a deux semaines, et il avs'était beaucoup disputé avec son frère au sujet de l’héritage, alors peut-être qu'il ne pouvait pas dormir à cause du stress.
se disputer avec quelqu'un = to quarrel about something
disputer à quelqu'un quelque chose = to fight over something, to challenge someone's right to have something
Ici, vous devez indiquer la chose dont on parle (=> au sujet de, en ce qui concerne, à propose de, etc) ou au minimum la cause (=> à cause de) car « son frère de l'héritage » serait un complément du nom, du genre « his legacy brother »
De toute façon, je me suis descendue pour manger un petit quelque chose pour le petit-déjeuner, mais mon mari n’était ni dans la cuisine ni dans la salle à manger.
De manière générale, les verbes de mouvement sont intransitifs par essence, ils ne sont donc jamais pronominaux. Il n'y a guère que « s'en aller » et « s'en venir » (surtout présent au Canada) qui échappent à cette règle
Je l’ai cherché, et en passant j’ai vu que la porte de la bibliothèque était tout ouverte.
J’allais fermer la porte, quand j’ai vu mon mari assis sur son fauteuil préféré, mort, mort !
dit-elle en sanglotant, il me'a paraissaitu/il m'a semblé qu’on lui avait tiré une balle dans la tête.
Les deux sont justes, mais « sembler » est nettement plus courant que « paraître » avec un COI ; dans tous les cas, c'est le passé composé qui convient ici (action principale de la narration, insistance sur les conséquences)
J’ai hurlé, puis j’ai appelé la police, mais franchement les policiers ne servent à rien, ils ont discutaienté toute la matinée (pour savoir) s’il agissait d’un meurtre ou d’un suicide.
Même chose ici, « ont discuté » pour la même raison que « j'ai hurlé », « j'ai appelé »
Je leur ai dit plusieurs fois que mon mari n’était pas dépressif, il était trèsbien évident que quelqu’un l’avait tué, mais ils ne m’écoutaient pas/ils ne m'ont pas écoutée.
« très évident » est extrêmement rare, voire inexistant
Les deux temps sont possibles pour le verbe de la fin, car l'action peut être prise en insistant sur le processus ("they weren't listening")
C’est pour ça que je suis allée chez vous, on m’a dit que vous étiez le meilleur détective à Buenos Aires.
-— Merci, dis-je, vous êtes très gentille.
Style plus courtois et galant => vous êtes bien aimable
Alors, pour résoudre la question de la mort de votre mari, faudra qu’on aille chez vous.
» On estNous sortiîmes donc du bureau ensemble, en route vers un mystère que je n’oublierai jamais.
Feedback
J'ai fait les corrections en français cette fois-ci, car je pense que vous êtes tout à fait apte à les comprendre.
« Bonjour, dis-je, puis-je vous aider ? This sentence has been marked as perfect! |
Un meurtre à Buenos Aires, partie 1 Un meurtre à Buenos Aires, première partie Il est mieux d'utiliser les nombres ordinaux pour les parties |
Écrivez une nouvelle située en Argentine en 1932, dans laquelle une tasse de thé joue un rôle essentiel. This sentence has been marked as perfect! |
Quelle est la différence entre le meurtre et l’amour ? This sentence has been marked as perfect! |
--- Quand Mme. This sentence has been marked as perfect! |
Rodriguez est entrée dans mon bureau, il était évident qu’elle avait beaucoup pleuré. Rodriguez Vous avez commencé la narration elle-même dans un style formel (« dis-je », avec passé simple), il faut donc continuer comme ça (les personnages eux-mêmes en revanche peuvent très bien utiliser un français oral/familier) |
--Mon mari, dit-elle en sanglotant, mon mari, il est mort !
Tiret après le tiret cadratin indiquant un changement de personnage dans un dialogue |
» Je ne savais pas ce qui convenait de lui dire. » Ici on répète le pronom explétif qui se trouve dans « IL convient de... » |
« Comment votre mari est-il mort, dis-je. « Comment votre mari est-il mort ?, demandai « demander » est un bien meilleur choix quand quelqu'un pose une question (et en l'occurrence, cela évite également de répéter « dire ») |
--Je ne sais pas du tout, dit-elle en essuyant ses yeux avec un mouchoir, hier matin, quand je me suis réveillée, je me suis rendu compte que mon mari n’était pas là, ce que j’ai trouvé assez bizarre, puisque je savais qu’il faisait d’habitude la grasse matinée.
« s'essuyer les yeux », même logique syntaxique que « se laver les mains » On mettrait minimum un point-virgule (;) entre des phrases avec des idées/propos si différent(e)s |
Mais je me suis dit, peut-être qu’il avait eu une nuit blanche, mais c’est normal, ça arrive à chacun de temps en temps. Mais je me suis dit, peut-être qu’il a On « passe » une nuit blanche comme on passe du temps en général Le « mais » me semble hors de propos ici, puisque cette dame considère que passer une nuit blanche est précisément une chose normale « chacun » au sens de « tout le monde » est très peu employé, surtout dans ce contexte, on dit toujours « ça arrive à tout le monde ». Le « chacun » français ressemble au « each » anglais, il insiste vraiment sur chaque membre du groupe pris individuellement |
Sa mère était morte il y a deux semaines, et il avait beaucoup disputé avec son frère de l’héritage, alors peut-être qu'il ne pouvait pas dormir à cause du stress. Sa mère était morte il y a deux semaines, et il se disputer avec quelqu'un = to quarrel about something disputer à quelqu'un quelque chose = to fight over something, to challenge someone's right to have something Ici, vous devez indiquer la chose dont on parle (=> au sujet de, en ce qui concerne, à propose de, etc) ou au minimum la cause (=> à cause de) car « son frère de l'héritage » serait un complément du nom, du genre « his legacy brother » |
De toute façon, je me suis descendue pour manger un petit quelque chose pour le petit-déjeuner, mais mon mari n’était ni dans la cuisine ni dans la salle à manger. De toute façon, je De manière générale, les verbes de mouvement sont intransitifs par essence, ils ne sont donc jamais pronominaux. Il n'y a guère que « s'en aller » et « s'en venir » (surtout présent au Canada) qui échappent à cette règle |
Je l’ai cherché, et en passant j’ai vu que la porte de la bibliothèque était tout ouverte. This sentence has been marked as perfect! |
J’allais fermer la porte, quand j’ai vu mon mari assis sur son fauteuil préféré, mort, mort ! This sentence has been marked as perfect! |
dit-elle en sanglotant, il me paraissait qu’on lui a tiré une balle dans la tête. dit-elle en sanglotant, il m Les deux sont justes, mais « sembler » est nettement plus courant que « paraître » avec un COI ; dans tous les cas, c'est le passé composé qui convient ici (action principale de la narration, insistance sur les conséquences) |
J’ai hurlé, puis j’ai appelé la police, mais franchement les policiers ne servent à rien, ils discutaient toute la matinée s’il agissait d’un meurtre ou d’un suicide. J’ai hurlé, puis j’ai appelé la police, mais franchement les policiers ne servent à rien, ils ont discut Même chose ici, « ont discuté » pour la même raison que « j'ai hurlé », « j'ai appelé » |
C’est pour ça que je suis allée chez vous, on m’a dit que vous étiez le meilleur détective à Buenos Aires. This sentence has been marked as perfect! |
Je leur ai dit plusieurs fois que mon mari n’était pas dépressif, il était très évident que quelqu’un l’avait tué, mais ils ne m’écoutaient pas. Je leur ai dit plusieurs fois que mon mari n’était pas dépressif, il était « très évident » est extrêmement rare, voire inexistant Les deux temps sont possibles pour le verbe de la fin, car l'action peut être prise en insistant sur le processus ("they weren't listening") |
-Merci, dis-je, vous êtes très gentille.
Style plus courtois et galant => vous êtes bien aimable |
Alors, pour résoudre la question de la mort de votre mari, faudra qu’on aille chez vous. This sentence has been marked as perfect! |
» On est sorti donc du bureau ensemble vers un mystère que je n’oublierai jamais. » |
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