Feb. 22, 2022
Quand j'ai décidé d'aller étudier au États-Unis à l'âge de 17 ans, le conseil que j'ai reçu le plus était la suite: tu n'auras qu'à profiter des jours là-bas et tu seras arrivée à maîtriser l'anglais à la fin du séjour. Dans environ 3 mois après l'arrivée, on commencerit à rêver en anglais, et à se faire des amis. C'est ce que j'avais entendu.
Mais les choses ne se sont pas déroulées comme dit. À l'origine, la vie américaine ne me convenait pas dans touses sens, au niveau alimentaire, culturelle, sanitaire, ainsi de suite, mais la principale raison reposait sur mon ignorance sur moi-même.
Au Japon, j'allais au lycée où les élèves continuaient de rester depuis le collège en dépit de progrès des années scolaires. De plus, toutes étaient d'origine japonaises, ce qui a crée une ambuance passablement homogène. Dans ces conditions, on ne se remettait en cause ni notre identité ni notre caractère. Je ne savais pas du tout de quel type de personne j'étais, et cela ne m'avais jamais provoqué de problème.
Au contraire du Japon, ni ce que j'aimais faire ni ce dont j'aimais parler n'existaient quasiment aux États-Unis. Je garde un évèment choqant en souvenir. Une fois, ma famille d'accueil m'a emmenée au siège de Starbucks, mais je me souviens très bien que je n'ai pas éprouvé de la joie. Mes sentiments se trahissent très facilement (ce fait aussi, je l'ai appris après l'université), mon père d'accueil les a aperçus. Il m'a dit sur un ton étoné que je ne ressemblais pas aux autres élèves étant venus chez eux auparavant, car ils avaient l'air tout heureux à leurs tours. Cela m'a choquée d'apprendre ma particularité comparé aux autres lycéennes.
Maintenant que j'y pense, je ne m'y connaissais pas bien en moi-même dans cette période. Si je avais su cela davantage, j'aurais expliqué ce qui me plairait et me serais orientés vers les choses que j'aimais plus vite. Pourtant, l'environnement dans lequel j'avais vécu seulement ne m'a pas pousser à réfléchir à mes différences avec les autres, à quelles identités consistaient moi.
Notamment lorsqu'on est différent des autres, en raison de la culture ou des caractères innés, se connaître aide tant à identifier nos préférences qu'à renoncer à des choses qui ne nous conviennent pas. Le dernier est très important à mon sens, car cela permettra de consacrer plus de temps à approfondir les connaissances dans le domaine qui est fait pour chacun. À mon avis, ce ne s'apparente à la rétrécissement du point de vue.
Se connaître
Quand j'ai décidé d'aller étudier au États-Unis à l'âge de 17 ans, le conseil que j'ai reçu le plus était lae suivante: tu n'auras qu'à profiter des jours là-bas et tu seras arrivée à maîtriser l'anglais à la fin du séjour.
Dans eEnviron 3 mois après l'arrivée, on commencerait à rêver en anglais, et à se faire des amis.
C'est ce que j'avais entendu.
Mais les choses ne se sont pas déroulées comme ditprévu.
À l'origine, la vie américaine ne me convenait pas dans toust les sens, : au niveau alimentaire, culturelle, sanitaire, et ainsi de suite, m. Mais la principale raison reposait sur mon ignorance surde moi-même.
Au Japon, j'allais audans un lycée où les élèves continuaient de rester depuis le collège en dépit de progrès des années scolaires.
Je n'ai pas compris la fin de la phrase "En dépit de progrès des années scolaires" :/
De plus, touteils étaient tous d'origine japonaises, ce qui a crée une ambuiance passablement homogène.
Dans ces conditions, on ne se remettait en cause ni notre identité ni notre caractère.
Je ne savais pas du tout de quel type de personne j'étais, et cela ne m'avais jamais provoqué de problème.
Au contrair l'inverse du Japon, niquasiment tout ce que j'aimais faire niou ce dont j'aimais parler n'existaient quasimentt pas aux États-Unis.
Je'en garde un évènement choquant en souvenir.
Une fois, ma famille d'accueil m'a emmenée au siège de Starbucks, mais je me souviens très bien que je n'ai pasne pas avoir éprouvé de la joie.
Mes sentiments se trahissent très facilement (ce faitça aussi, je l'ai appris après l'université), mon père d'accueil les a aperçus.
Il m'a dit sur un ton étonné que je ne ressemblais pas aux autres élèves étant venus chez eux auparavant, car ils avaient tous l'air tout heureux à leurs tours.
Cela m'a choquée d'apprendre ma particularité comparé aux autres lycéennes.
Après l'auxiliaire "avoir" (m'a), le participe passé ne s'accorde pas
Maintenant que j'y pense, je ne m'ye connaissais pas bien en moi-même dans cette période.
Si je 'avais su cela davantage, j'aurais expliqué ce qui me plairsait et me serais orientése vers les choses que j'aimais plus vite.
Pourtant, l'environnement dans lequel j'avaisi vécu seulement ne m'a pas seulement pousseré à réfléchir à mes différences avec les autres, à quelles identités consistaient moi.mais aussi à mon identité propre.
Propre dans le sens "qui m'appartient"
Notamment lorsqu'on est différent des autres, en raison de la culture ou des caractères innés, se connaître aide autant à identifier nos préférences qu'à renoncer à des choses qui ne nous conviennent pas.
Le dernier est très important à mon sens, car cela permettra de consacrer plus de temps à approfondir les connaissances dans le domaine qui est fait pour chacun.
À mon avis, ce ne s'apparente à la rétrécissement du point de vue.
Je n'ai pas compris ! Qu'est ce que le rétrécissement du point de vue ?
Se connaître
Quand j'ai décidé d'aller étudier aux États-Unis à l'âge de 17 ans, le conseil que j'ai reçu le plus étaitsouvent a été lae suitevant : tu n'auras qu'à profiter des ton séjours là-bas, et à la fin, et tu seras arrivée à maîtriser l'anglais à la fin du séjour.
« la suite » est ce qui vient après : la suite d'une phrase, d'une série, d'un livre
« le suivant » veut dire l'élément suivant, donc ici, « le conseil suivant »
Dans eEnviron 3 mois après l'être arrivée, on commencerait à rêver en anglais, et à se faire des amis.
Vous avez déjà «après», vous n'avez pas besoin de «environ»
C'est ce que j'avais entendu.
Mais les choses ne se sont pas déroulées comme on me l'avait dit.
À l'origine, la vie américaine ne me convenait pas dans, à tous les sens,niveaux : au niveau alimentaire, culturelle, sanitaire, ainsi de suite, mais la principale raison reposprovenait surde mon ignorance surde moi-même.
Il est mieux de commencer par « niveau » puisque ce sont les niveaux en question que vous détaillez après. Cela étant dit, « en tout sens » pour éviter une répétition est aussi un choix stylistique compréhensible
Au Japon, j'allais auà un lycée où les élèves continuaient de restertraînaient ensemble/se fréquentaient depuis le collège, en dépit de progrès des années scolaires qui passaient.
Je suppose que vous voulez parler d'élèves qui restent ensemble ?
Dans ce cas, il faut préciser
« traîner ensemble » veut dire la même chose que "to hang out" en anglais (passer du temps ensemble, sortir). Dans ce contexte, le mot est très adapté.
De plus, toutes étaient d'origine japonaises, ce qui a créeait une ambuiance passablement homogène.
Dans ces conditions, on ne se remettait en cause ni notre identité ni notre caractère.
Vous avez un objet dans cette phrase (identité et caractère), donc vous ne pouvez pas avoir un verbe pronominal. Quand on « se remet » en question, c'est toujours soi-même
Je ne savais pas du tout de quel type de personne j'étais, et cela ne m'avaist jamais provoqucausé/posé de problème.
Au cContraire dment au Japon, niquasiment rien de ce que j'aimais faire niou de ce dont j'aimais parler n'existaient quasiment aux États-Unis.
Si vous voulez employer « quasiment », mieux vaut le formuler comme ça: quasiment modifie « rien » (c'est l'équivalent de "nothing from")
Je garde un évèénement choquant en souvenmémoire.
Une fois, ma famille d'accueil m'a emmenée au siège de Starbucks, mais je me souviens très bien que je n'ai pas éprouvé de la joie.
Cette formulation est plus générale
Mes sentiments se trahissent très facilement (ce fait aussi, je l'aiça, je l'ai également appris après l'université), et mon père d'accueil les a aperçus'a remarqué.
l'a remarqué => a remarqué le fait qu'ils se trahissaient facilement
Il m'a dit sur un ton étonné que je ne ressemblais pas aux autres élèves qui étaient venus chez eux auparavant, car ilseux avaient l'air tout heureux à en voyant les/leurs tours.
Cela m'a choquée d'apprendre ma particularité, comparée aux autres lycéennes.
La phrase est juste grammaticalement (à l'exception de ma petite correction orthographique) mais une phrase comme « cela m'a choquée d'apprendre que j'étais différente » serait honnêtement plus naturelle
Maintenant que j'y pense, je ne m'ye connaissais pas bien en moi-même dans, à cette période.
Le verbe pronominal est suffisant pour exprimer 私自身を
Avec un verbe pronominal, le sujet de la phrase est également son objet
Si je avais su celam'étais davantage connue, j'aurais expliqué ce qui me plairsait et me serais orientése/dirigée plus vite vers les choses que j'aimais plus vite.
Pourtant, l'environnement dans lequel j'avais vécu seulement ne m'ane m'avait tout simplement pas pousséer à réfléchir à mes différences avec les autres, à quelles identités consfaistaient partie de moi.
Notamment lorsqu'on est différent des autres, en raison de lsa culture ou des caractères innés sa nature/sa personnalité propre, se connaître aide tant à identifier noses préférences qu'à renoncer à des choses qui ne nous conviennent pas.
Ici, la phrase ayant un caractère de vérité générale, on utiliserait on-se-nous (comme pronom objet)
La nature (de quelqu'un) = ce qu'il est au fond de lui, sa personnalité, sa tendance naturelle
Le dernier point est très important à mon sens, car cela permettra de consacrer plus de temps à approfondir lses connaissances dans le domaine qui est fait pnours chacunonvient.
À mon avis, [ce ne s'apparente à la rétrécissement dula permet d'élargir ses perspectives/d'élargir son point de vue. ?]
J'espère avoir saisi ce que vous avez voulu dire
Feedback
J'ai eu le même souci avec mon correspondant allemand. Nous étions encore plus jeunes (13 ans), et peu préparés à passer tant de temps loin de notre pays et de notre famille, et il ne me communiquait jamais le fond de ses pensées ou de ses émotions.
Mais devant la tour Starbucks, j'aurais eu la même réaction que vous^^ enfin, si un étranger visitait la France, je n'aurais pas le réflexe de l'emmener voir des sièges sociaux... J'aimerais beaucoup visiter le Japon et j'adore Nintendo, pourtant voir le siège social de Nintendo ne me rendrait pas spécialement heureux je pense. J'aimerais beaucoup mieux avoir une occasion de discuter avec Shigeru Miyamoto ou Hideki Kamiya...!
Se connaître This sentence has been marked as perfect! This sentence has been marked as perfect! |
Quand j'ai décidé d'aller étudier au États-Unis à l'âge de 17 ans, le conseil que j'ai reçu le plus était la suite: tu n'auras qu'à profiter des jours là-bas et tu seras arrivée à maîtriser l'anglais à la fin du séjour. Quand j'ai décidé d'aller étudier aux États-Unis à l'âge de 17 ans, le conseil que j'ai reçu le plus « la suite » est ce qui vient après : la suite d'une phrase, d'une série, d'un livre « le suivant » veut dire l'élément suivant, donc ici, « le conseil suivant » Quand j'ai décidé d'aller étudier au États-Unis à l'âge de 17 ans, le conseil que j'ai reçu le plus était l |
Dans environ 3 mois après l'arrivée, on commencerit à rêver en anglais, et à se faire des amis.
Vous avez déjà «après», vous n'avez pas besoin de «environ»
|
C'est ce que j'avais entendu. This sentence has been marked as perfect! This sentence has been marked as perfect! |
Mais les choses ne se sont pas déroulées comme dit. Mais les choses ne se sont pas déroulées comme on me l'avait dit. Mais les choses ne se sont pas déroulées comme |
À l'origine, la vie américaine ne me convenait pas dans touses sens, au niveau alimentaire, culturelle, sanitaire, ainsi de suite, mais la principale raison reposait sur mon ignorance sur moi-même. À l'origine, la vie américaine ne me convenait pas Il est mieux de commencer par « niveau » puisque ce sont les niveaux en question que vous détaillez après. Cela étant dit, « en tout sens » pour éviter une répétition est aussi un choix stylistique compréhensible À l'origine, la vie américaine ne me convenait pas dans tou |
Au Japon, j'allais au lycée où les élèves continuaient de rester depuis le collège en dépit de progrès des années scolaires. Au Japon, j'allais Je suppose que vous voulez parler d'élèves qui restent ensemble ? Dans ce cas, il faut préciser « traîner ensemble » veut dire la même chose que "to hang out" en anglais (passer du temps ensemble, sortir). Dans ce contexte, le mot est très adapté. Au Japon, j'allais Je n'ai pas compris la fin de la phrase "En dépit de progrès des années scolaires" :/ |
De plus, toutes étaient d'origine japonaises, ce qui a crée une ambuance passablement homogène. De plus, toutes étaient d'origine japonaise De plus, |
Dans ces conditions, on ne se remettait en cause ni notre identité ni notre caractère. Dans ces conditions, on ne Vous avez un objet dans cette phrase (identité et caractère), donc vous ne pouvez pas avoir un verbe pronominal. Quand on « se remet » en question, c'est toujours soi-même This sentence has been marked as perfect! |
Je ne savais pas du tout de quel type de personne j'étais, et cela ne m'avais jamais provoqué de problème. Je ne savais pas du tout Je ne savais pas du tout |
Au contraire du Japon, ni ce que j'aimais faire ni ce dont j'aimais parler n'existaient quasiment aux États-Unis.
Si vous voulez employer « quasiment », mieux vaut le formuler comme ça: quasiment modifie « rien » (c'est l'équivalent de "nothing from") A |
Je garde un évèment choqant en souvenir. Je garde un év J |
Une fois, ma famille d'accueil m'a emmenée au siège de Starbucks, mais je me souviens très bien que je n'ai pas éprouvé de la joie. Une fois, ma famille d'accueil m'a emmenée au siège de Starbucks, mais je me souviens très bien que je n'ai pas éprouvé de Cette formulation est plus générale Une fois, ma famille d'accueil m'a emmené |
Mes sentiments se trahissent très facilement (ce fait aussi, je l'ai appris après l'université), mon père d'accueil les a aperçus. Mes sentiments se trahissent très facilement ( l'a remarqué => a remarqué le fait qu'ils se trahissaient facilement Mes sentiments se trahissent très facilement ( |
Il m'a dit sur un ton étoné que je ne ressemblais pas aux autres élèves étant venus chez eux auparavant, car ils avaient l'air tout heureux à leurs tours. Il m'a dit sur un ton étonné que je ne ressemblais pas aux autres élèves qui étaient venus chez eux auparavant, car Il m'a dit sur un ton étonné que je ne ressemblais pas aux autres élèves étant venus chez eux auparavant, car ils avaient tous l'air |
Cela m'a choquée d'apprendre ma particularité comparé aux autres lycéennes. Cela m'a choquée d'apprendre ma particularité, comparée aux autres lycéennes. La phrase est juste grammaticalement (à l'exception de ma petite correction orthographique) mais une phrase comme « cela m'a choquée d'apprendre que j'étais différente » serait honnêtement plus naturelle Cela m'a choqué Après l'auxiliaire "avoir" (m'a), le participe passé ne s'accorde pas |
Maintenant que j'y pense, je ne m'y connaissais pas bien en moi-même dans cette période. Maintenant que j'y pense, je ne m Le verbe pronominal est suffisant pour exprimer 私自身を Avec un verbe pronominal, le sujet de la phrase est également son objet Maintenant que j'y pense, je ne m |
Si je avais su cela davantage, j'aurais expliqué ce qui me plairait et me serais orientés vers les choses que j'aimais plus vite. Si je Si j |
Pourtant, l'environnement dans lequel j'avais vécu seulement ne m'a pas pousser à réfléchir à mes différences avec les autres, à quelles identités consistaient moi. Pourtant, l'environnement dans lequel j'avais vécu Pourtant, l'environnement dans lequel j'a Propre dans le sens "qui m'appartient" |
Notamment lorsqu'on est différent des autres, en raison de la culture ou des caractères innés, se connaître aide tant à identifier nos préférences qu'à renoncer à des choses qui ne nous conviennent pas. Notamment lorsqu'on est différent des autres, en raison de Ici, la phrase ayant un caractère de vérité générale, on utiliserait on-se-nous (comme pronom objet) La nature (de quelqu'un) = ce qu'il est au fond de lui, sa personnalité, sa tendance naturelle Notamment lorsqu'on est différent des autres, en raison de la culture ou des caractères innés, se connaître aide autant à identifier nos préférences qu'à renoncer à des choses qui ne nous conviennent pas. |
Le dernier est très important à mon sens, car cela permettra de consacrer plus de temps à approfondir les connaissances dans le domaine qui est fait pour chacun. Le dernier point est très important à mon sens, car cela permet This sentence has been marked as perfect! |
À mon avis, ce ne s'apparente à la rétrécissement du point de vue. À mon avis, [ce J'espère avoir saisi ce que vous avez voulu dire À mon avis, ce ne s'apparente à la rétrécissement du point de vue. Je n'ai pas compris ! Qu'est ce que le rétrécissement du point de vue ? |
You need LangCorrect Premium to access this feature.
Go Premium