yesterday
Hier, j’ai rencontré une amie japonaise que j’ai connue ici, à la nouvelle bibliothèque qui vient d’ouvrir. Montréal possède de nombreuses bibliothèques magnifiques, et celle-ci comprend également un café ; c'est là que nous avons parlé. Le long des fenêtres vitrées, de nombreux pothos étaient suspendus au plafond, et l’ensemble formé par les tables en bois, la verdure extérieure et l’espace intérieur se fondait harmonieusement.
Je n’avais pas eu l’occasion de revoir cette amie depuis la fin de l’année dernière, car nous étions toutes deux très occupées.
Alors que nous échangions des nouvelles en japonais, un homme d’un certain âge nous a adressé la parole : « Do you speak English? » Nous avons répondu que « Yes », et j’ai ajouté en français : « Je parle aussi français. » À ces mots, il a poursuivi la conversation en français. Il nous a raconté qu’il était à la fois architecte et écrivain, qu’il enseignait le camping en plein air, et qu’il avait même traversé le fleuve Saint-Laurent en canoë sur une distance de 500 kilomètres.
Nous avons parlé avec lui pendant environ une heure. Après son départ, mon amie m’a regardée avec étonnement et m’a dit : « Ton français s’est énormément amélioré ! »
Lorsque je l’ai vue pour la dernière fois à la fin de l’année, j’étudiais encore principalement avec des cahiers de grammaire et des listes de vocabulaire, et je communiquais avec les locaux en anglais.
Grâce à ce journal, j’ai vraiment l’impression que la structure des phrases commence à s’ancrer dans mon esprit.
Six mois...c’est, je pense, une durée suffisante pour qu’une personne puisse vraiment changer.
Hier, j’ai rencontré une amie japonaise que j’ai connue ici, à la nouvelle bibliothèque qui vient d’ouvrir.
Une petite ambiguïté dans la fin de phrase : "que j’ai connue ici, à la nouvelle bibliothèque qui vient d’ouvrir."
l'avez vous rencontrée à la bibliothèque hier, ou l'avez vous "connue" (rencontrée pour la première fois) à la bibliothèque. Dans le contexte on comprend, mais il peut y avoir un moment de flottement.
Ce n'est pas très joli mais on peut résoudre l'ambiguïté en changeant l'ordre des éléments :
"Hier, à la nouvelle bibliothèque qui vient d’ouvrir, j’ai rencontré une amie japonaise que j’ai connue ici."
Montréal possède de nombreuses bibliothèques magnifiques, et celle-ci comprend également un café ; c'est là que nous avons parlé.
Le long des fenêtres vitrées, de nombreux pothos étaient suspendus au plafond, et l’ensemble formé par les tables en bois, la verdure extérieure et l’espace intérieur se fondait harmonieusement.
"Pothos" comme la plante ? Je pense que beaucoup de gens (à commencer par moi, je l'avoues) ne connaissent pas ce nom et penseront que vous pensiez à "photo" :)
Peut-être qu'en ajoutant
"Le long des fenêtres vitrées, de nombreux pots de pothos "
on permettra aux non botanistes de comprendre qu'il s'agit de plantes.
Sinon vous pourriez sacrifier à la précision pour les besoins de la compréhension :
"Le long des fenêtres vitrées, de nombreuses plantes"
Je n’avais pas eu l’occasion de revoir cette amie depuis la fin de l’année dernière, car nous étions toutes deux très occupées.
Alors que nous échangions des nouvelles en japonais, un homme d’un certain âge nous a adressé la parole : « Do you speak English?
» Nous avons répondu que « Yes », et j’ai ajouté en français : « Je parle aussi français.
» À ces mots, il a poursuivi la conversation en français.
Il nous a raconté qu’il était à la fois architecte et écrivain, qu’il enseignait le camping en plein air, et qu’il avait même traversé le fleuve Saint-Laurent en canoë sur une distance de 500 kilomètres.
Nous avons parlé avec lui pendant environ une heure.
Après son départ, mon amie m’a regardée avec étonnement et m’a dit : « Ton français s’est énormément amélioré !
» Lorsque je l’ai vue pour la dernière fois à la fin de l’année, j’étudiais encore principalement avec des cahiers de grammaire et des listes de vocabulaire, et je communiquais avec les locaux en anglais.
Grâce à ce journal, j’ai vraiment l’impression que la structure des phrases commence à s’ancrer dans mon esprit.
Six mois... c’est, je pense, une durée suffisante pour qu’une personne puisse vraiment changer.
Changer me semble un peu fort. A moins que vous n'estimiez que cette connaissance de la langue française n'ait aussi eu un impact sur votre personnalité ?
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Avec ce texte, grâce à vous j'ai appris quelques règles de typographie concernant le point virgule et les points de suspension.
Je vous le répète, je suis réellement impressionné et envieux de la rapidité de votre progression !
Prise de conscience |
Hier, j’ai rencontré une amie japonaise que j’ai connue ici, à la nouvelle bibliothèque qui vient d’ouvrir. Hier, j’ai rencontré une amie japonaise que j’ai connue ici, à la nouvelle bibliothèque qui vient d’ouvrir. Une petite ambiguïté dans la fin de phrase : "que j’ai connue ici, à la nouvelle bibliothèque qui vient d’ouvrir." l'avez vous rencontrée à la bibliothèque hier, ou l'avez vous "connue" (rencontrée pour la première fois) à la bibliothèque. Dans le contexte on comprend, mais il peut y avoir un moment de flottement. Ce n'est pas très joli mais on peut résoudre l'ambiguïté en changeant l'ordre des éléments : "Hier, à la nouvelle bibliothèque qui vient d’ouvrir, j’ai rencontré une amie japonaise que j’ai connue ici." |
» Nous avons répondu que « Yes », et j’ai ajouté en français : « Je parle aussi français. This sentence has been marked as perfect! |
Le long des fenêtres vitrées, de nombreux pothos étaient suspendus au plafond, et l’ensemble formé par les tables en bois, la verdure extérieure et l’espace intérieur se fondait harmonieusement. Le long des fenêtres vitrées, de nombreux pothos étaient suspendus au plafond, et l’ensemble formé par les tables en bois, la verdure extérieure et l’espace intérieur se fondait harmonieusement. "Pothos" comme la plante ? Je pense que beaucoup de gens (à commencer par moi, je l'avoues) ne connaissent pas ce nom et penseront que vous pensiez à "photo" :) Peut-être qu'en ajoutant "Le long des fenêtres vitrées, de nombreux pots de pothos " on permettra aux non botanistes de comprendre qu'il s'agit de plantes. Sinon vous pourriez sacrifier à la précision pour les besoins de la compréhension : "Le long des fenêtres vitrées, de nombreuses plantes" |
Je n’avais pas eu l’occasion de revoir cette amie depuis la fin de l’année dernière, car nous étions toutes deux très occupées. This sentence has been marked as perfect! |
Alors que nous échangions des nouvelles en japonais, un homme d’un certain âge nous a adressé la parole : « Do you speak English? This sentence has been marked as perfect! |
» À ces mots, il a poursuivi la conversation en français. This sentence has been marked as perfect! |
Il nous a raconté qu’il était à la fois architecte et écrivain, qu’il enseignait le camping en plein air, et qu’il avait même traversé le fleuve Saint-Laurent en canoë sur une distance de 500 kilomètres. This sentence has been marked as perfect! |
Nous avons parlé avec lui pendant environ une heure. This sentence has been marked as perfect! |
Après son départ, mon amie m’a regardée avec étonnement et m’a dit : « Ton français s’est énormément amélioré ! This sentence has been marked as perfect! |
Grâce à ce journal, j’ai vraiment l’impression que la structure des phrases commence à s’ancrer dans mon esprit. This sentence has been marked as perfect! |
Six mois, c’est, je pense, une durée suffisante pour qu’une personne puisse vraiment changer. |
Montréal possède de nombreuses bibliothèques magnifiques, et celle-ci comprend également un café. |
C’est là que nous avons parlé. |
Montréal possède de nombreuses bibliothèques magnifiques, et celle-ci comprend également un café ; c'est là que nous avons parlé. This sentence has been marked as perfect! |
» Lorsque je l’ai vue pour la dernière fois à la fin de l’année, j’étudiais encore principalement avec des cahiers de grammaire et des listes de vocabulaire, et je communiquais avec les locaux en anglais. This sentence has been marked as perfect! |
Montréal possède de nombreuses bibliothèques magnifiques, et celle-ci comprend également un café, c'est là que nous avons parlé. |
Six mois...c’est, je pense, une durée suffisante pour qu’une personne puisse vraiment changer. Six mois... c’est, je pense, une durée suffisante pour qu’une personne puisse vraiment changer. Changer me semble un peu fort. A moins que vous n'estimiez que cette connaissance de la langue française n'ait aussi eu un impact sur votre personnalité ? |
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