May 20, 2021
(Ça n'a rien à voir avec le billet d'aujourd'hui mais j'aime bien le fait que le sujet contient aussi beaucoup de "é"...)
À mon avis, le meilleur jour férié est absolument le premier janvier au Japon, «oshogatsu» en japonais. Au Japon, le Noël n'est pas très important, enfin si il l'est, mais c'est juste un événement pour s'amuser et n'est pas vraiment ancré dans nos esprits (ou peut-être ce n'est pas le cas pour les adolescents).
Le premier janvier, on manger «osechi» , le repas traditionnel de Japon. Il se compose de beaucoup de plats, dont les ingrédients ont le nom qui sont censé apporter du bonheur au ceux qui en mangent. Par example, on mange des haricots noirs japonais qui se sont fait cuire avec du sucre. On appelle les haricots «kuromame(黒豆)». En japonais, il y a une expression «mamemame-shiku-hataraku(まめまめしく働く)», qui veut dire «travailler assidûment». Donc on en mange pour pouvoir travailler assidûment cette année-là (peut-être on ne devrait pas le faire vu que la misérable situation de travail au Japon...). Comme vous le voyez, il s'agit de jeux de mots. Ce repas n'est pas forcement un délice que tout le monde a hâte de goûter, mais on est habitué à en manger chaque année, donc le geste d'en manger soi-même nous permet de se sentir frais pour la nouvel an.
De nos jours, de moins en moins des gens en dégoûtent pour ce jour-là : on doit mettre beaucoup de temps à le préparer et comme je l'ai dit ce n'est pas quelque chose qu'on se régale. Beaucoup d'ênterprise prennent compte de ce changement et essaient de ajuster leurs produits : mettre des menus moins traditionnels, vendre des osechi tout fait, préparer des osechi haut de gamme, etc. J'aime bien cette tradition de se réunir en famille, manger des osechi et se chauffer dans «kotatsu» (table basse recouverte d'une couverture et chauffée par-déssous). J'espère qu'elle passera à la postérité.
Mon jour férié préféré
( Ça n'a rien à voir avec le billet d'aujourd'hui mais j'aime bien le fait que le sujet contient aussine beaucoup de "é"... )
À mon avis, le meilleur jour férié est absolument le premile 1er janvier au Japon, «oshogatsu» en japonais.
絶対に ! Mais en français "absolument" est superflu dans cette phrase. Si on veut ajouter de l'emphase on dira "Le meilleur jour férié est de loin le 1er janvier" ( by far )
Au Japon, le Noël n'est pas très important, enfin si il l'est, mais c'est juste un événement pour s'amuser et n'est pas vraiment ancré dans nos esprits ( ou peut-être ce n'est pas le cas pour les adolescents ).
Comme ce n'est pas ancré dans nos esprits, si c'est important pour les adolescents, c'est ancré dans leur esprit : c'est donc le cas.
Le premier janvier, on manger des «osechi» , le repas traditionnel deau Japon.
Il se compose de beaucoup de plats, dont les ingrédients ont leun nom qui esont censé apporter du bonheur auà ceux qui en mangent.
Par example, on mange des haricots noirs japonais qui se sont fait cuirecuisent avec du sucre.
ou "qui sont cuits avec du sucre". Ou "cuits avec du sucre".
"se faire + verbe" en français c'est une utilisation spéciale en français. A ne pas confondre avec la voix passive.
"Je me suis fait tremper" びしょぬれになった
Je me suis fait virer 首になった
"Va te faire biiiiiip" ( pas d'équivalent japonais que je connaisse )
C'est souvent assez familier, s'utilise pour parler de personnes, à la limite d'animaux ( la girafe s'est fait manger par le lion ). C'est souvent désagréable pour celui qui le subit. Et ça suggère une certaine responsabilité de la personne concernée.
Je me suis fait tremper : j'avais oublié mon parapluie / Je me suis fait virer : j'avais commis une faute au travail.
Mais pour des objets inanimés comme des aliments, je ne pense pas que ce soit possible, je n'ai pas d'exemple en tête en tout cas. On ne peut pas dire "le bambou se fait manger par le panda" par exemple.
Donc on en mange pour pouvoir travailler assidûment cette année-là ( peut-être qu'on ne devrait pas le faire vu que la misérable situa, vu les conditions de travail misérables au Japon... ).
そうですね。おいしい過労死ケーキはいかがですか?
Ce repas n'est pas forceément un délice que tout le monde a hâte de goûter, mais comme on est habitué à en manger chaque année, donc le gestele fait d'en manger soi-même nous permet de nouse sentir frais pour la nouvelle année.
De nos jours, de moins en moins des gens en dégoûtent pouont envie d'en manger ce jour-là : on doit mettre beaucoup de temps à le préparer et comme je l'ai dit ce n'est pas quelque chose qu'dont on se régale.
"c'est très long à préparer" serait plus naturel
Beaucoup d'êenterprises prennent en compte de ce changement et essaient de 'ajuster leurs produits : mettre des menus moins traditionnels, vendre des osechi tout fait, préparer des osechi haut de gamme, etc.
J'espère qu'elle passrestera à la postérité.
"passer à la postérité" c'est plutôt l'adoption d'une nouvelle habitude. Une année, quelqu'un à l'idée d'un nouveau menu. Tout le monde est content, on dit qu'il faut le refaire tous les ans : on espère que ça passera à la postérité. Les osechi étant déjà une tradition, il vaut mieux dire qu'ils resteront à la postérité.
Feedback
J'ai oublié le nom de la tradition de la première visite de l'année au temple, souvent en kimono. Je l'ai vu plusieurs fois dans des animés ou des dramas, mais ce n'est peut-être pas si courant ?
Mon jour férié préféré This sentence has been marked as perfect! |
(Ça n'a rien à voir avec le billet d'aujourd'hui mais j'aime bien le fait que le sujet contient aussi beaucoup de "é"...) ( Ça n'a rien à voir avec le billet d'aujourd'hui mais j'aime bien le fait que le sujet contien |
À mon avis, le meilleur jour férié est absolument le premier janvier au Japon, «oshogatsu» en japonais. À mon avis, le meilleur jour férié est 絶対に ! Mais en français "absolument" est superflu dans cette phrase. Si on veut ajouter de l'emphase on dira "Le meilleur jour férié est de loin le 1er janvier" ( by far ) |
Au Japon, le Noël n'est pas très important, enfin si il l'est, mais c'est juste un événement pour s'amuser et n'est pas vraiment ancré dans nos esprits (ou peut-être ce n'est pas le cas pour les adolescents). Au Japon, Comme ce n'est pas ancré dans nos esprits, si c'est important pour les adolescents, c'est ancré dans leur esprit : c'est donc le cas. |
Le premier janvier, on manger «osechi» , le repas traditionnel de Japon. Le premier janvier, on mange |
Il se compose de beaucoup de plats, dont les ingrédients ont le nom qui sont censé apporter du bonheur au ceux qui en mangent. Il se compose de beaucoup de plats, dont les ingrédients ont |
Par example, on mange des haricots noirs japonais qui se sont fait cuire avec du sucre. Par example, on mange des haricots noirs japonais qui se ou "qui sont cuits avec du sucre". Ou "cuits avec du sucre". "se faire + verbe" en français c'est une utilisation spéciale en français. A ne pas confondre avec la voix passive. "Je me suis fait tremper" びしょぬれになった Je me suis fait virer 首になった "Va te faire biiiiiip" ( pas d'équivalent japonais que je connaisse ) C'est souvent assez familier, s'utilise pour parler de personnes, à la limite d'animaux ( la girafe s'est fait manger par le lion ). C'est souvent désagréable pour celui qui le subit. Et ça suggère une certaine responsabilité de la personne concernée. Je me suis fait tremper : j'avais oublié mon parapluie / Je me suis fait virer : j'avais commis une faute au travail. Mais pour des objets inanimés comme des aliments, je ne pense pas que ce soit possible, je n'ai pas d'exemple en tête en tout cas. On ne peut pas dire "le bambou se fait manger par le panda" par exemple. |
On appelle les haricots «kuromame(黒豆)». |
En japonais, il y a ne expression «mamemame-shiku-hataraku(まめまめしく働く)», qui veut dire «travailler assidûment». |
Donc on en mange pour pouvoir travailler assidûment cette année-là (peut-être on ne devrait pas le faire vu que la misérable situation de travail au Japon...). Donc on en mange pour pouvoir travailler assidûment cette année-là ( peut-être qu'on ne devrait pas そうですね。おいしい過労死ケーキはいかがですか? |
Comme vous le voyez, il s'agit de jeux de mots. |
Ce repas n'est pas forcement un délice que tout le monde a hâte de goûter, mais on est habitué à le manger, alors ça nous permet d'se sentir frais pour la nouvel an. |
De nos jours, de moins en moins des gens en dégoûtent pour ce jour-là : on doit mettre beaucoup de temps à le préparer et comme je l'ai dit ce n'est pas quelque chose qu'on se régale. De nos jours, de moins en moins des gens "c'est très long à préparer" serait plus naturel |
Beaucoup d'ênterprise prennent compte de ce changement et essaient de ajuster leurs produits : mettre des menus moins traditionnels, vendre des osechi tout fait, préparer des osechi haut de gamme, etc. Beaucoup d' |
J'aime bien cette tradition de se réunir en famille, manger des osechi et se chauffer dans «kotatsu» (table basse recouverte d'une couverture et chauffée par-déssous). |
J'espère qu'elle passera à la postérité. J'espère qu'elle "passer à la postérité" c'est plutôt l'adoption d'une nouvelle habitude. Une année, quelqu'un à l'idée d'un nouveau menu. Tout le monde est content, on dit qu'il faut le refaire tous les ans : on espère que ça passera à la postérité. Les osechi étant déjà une tradition, il vaut mieux dire qu'ils resteront à la postérité. |
En japonais, il y a une expression «mamemame-shiku-hataraku(まめまめしく働く)», qui veut dire «travailler assidûment». |
Ce repas n'est pas forcement un délice que tout le monde a hâte de goûter, mais on est habitué à en manger chaque année, donc le geste d'en manger soi-même nous permet de se sentir frais pour la nouvel an. Ce repas n'est pas forc |
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