March 23, 2024
Gabrielle lia amitié avec le comte d’Artois, le frère cadet de Louis XVI, également, qui s’entendait bien avec la reine. Ce n’était rien d’autre que le roi qui fit un accueil encourageant à ce lien entre sa femme et sa nouvelle favorite, étrangère à la lutte du pouvoir dans la cour existante.
Néanmoins, l’apparition de Gabrielle s’attira l’hostilité vive de l’entourage du couple royal. Le comte de Mercy, ambassadeur du Saint-Empire à Paris, écrivit à l’impératrice Marie-Thérèse, mère de Marie-Antoinette ; on n’a jamais donné en aussi peu de temps une somme aussi énorme à une seule famille.
Mme de Polignac 2
Gabrielle se lia d'amitié avec le comte d’Artois, le frère cadet de Louis XVI, également, qui s’entendait également bien avec la reine.
Ce n’était rien d’autre que le roi quLe roi fit un accueil encourageant à ce lien entre sa femme et sa nouvelle favorite, étrangère à la lutte du pouvoir dans la cour existante.
Néanmoins, l’apparitionrrivée de Gabrielle s’attirdéclencha l’hostilité vive de l’entourage du couple royal.
Le comte de Mercy, ambassadeur du Saint-Empire à Paris, écrivit à l’impératrice Marie-Thérèse, mère de Marie-Antoinette ; : "on n’a jamais donné en aussi peu de temps une somme aussi énorme à une seule famille".
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You write really well !!!
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Gabrielle lia amitié avec le comte d’Artois, le frère cadet de Louis XVI, également, qui s’entendait bien avec la reine. Gabrielle se lia d'amitié avec le comte d’Artois, le frère cadet de Louis XVI, |
Ce n’était rien d’autre que le roi qui fit un accueil encourageant à ce lien entre sa femme et sa nouvelle favorite, étrangère à la lutte du pouvoir dans la cour existante.
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Néanmoins, l’apparition de Gabrielle s’attira l’hostilité vive de l’entourage du couple royal. Néanmoins, l’a |
Le comte de Mercy, ambassadeur du Saint-Empire à Paris, écrivit à l’impératrice Marie-Thérèse, mère de Marie-Antoinette ; on n’a jamais donné en aussi peu de temps une somme aussi énorme à une seule famille. Le comte de Mercy, ambassadeur du Saint-Empire à Paris, écrivit à l’impératrice Marie-Thérèse, mère de Marie-Antoinette |
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