95% de la population appartient à cette réligion.

Il y a des mosquées un peu partout, et on entend l'appel à la prière dèse 5 heures du matin jusqu'à leau coucher du soleil.

à + le = au

On appelle lae dernièrer appel à la prière 'tímis' en Wolof, et il a lieu justpile au moment du crépuscule.

Les musulmans croient que les esprits malins (djinn) sortent au crépuscule, et l'appel est là pour les empêcher (???).

Toute la phrase est correcte à l'exception de sa fin : "empêcher" s'utilise nécessairement avec un complément - "empêcher de" qqch, ou bien de manière pronominale où le complément est caché avant "je souhaite l'en empêcher" - mais là encore on doit préciser qu'est-ce qu'on empêche précisément. Dans cette phrase, ce n'est pas très clair ce que la prière empêche. Est-ce qu'elle empêche les djinn de sortir? Dans ce cas, on dirait "la prière est là pour les en empêcher".

Même si le Sénégal est un pays musulman, les Sénégalais sont très tolérants contre là l'égard des autres réeligions.

"contre" ne suit pas l'esprit de la phrase, puisqu'il suppose un antagonisme dont on dit précisément qu'il n'existe pas

Une petite portion de la population est chrétienne, maiset elle est totalement acceptée.

AuxDans les petits villages adu sud du pays, ce n'est pas bizarre de voir une mosquée et une église l'une à côté de l'autre, et il y a même des familles où chrétiens et musulmans vivent ensemble sous le même toit.

"au sud du pays" = à l'extérieur du pays, plus au sud que le Sénégal ; "dans le sud du pays" = dans le pays, plus précisément dans sa partie sud