Voyager seule, ce n’est pasni facile et non plusni comfortable.

C’est un mélange due peur, de la déception, des stress mais aussi de la joie et de la surprise.

Dans lLes premiers jours enà Sapporo, il pleuvait toust les jours et l’accommodation temps et l'hébergement était lae pire (permis ldes quatre que j’habitais)où j'ai logé.

J'évite de répéter jour dans la même phrase donc : "tout le temps".

Les parenthèses me semblent inutiles. Et j'ai l'impression que " habiter" c'est pour un temps plus long que quelques jours ?

Je me suis demandée si c’était une bon choixne idée de faire ce voyage seule et j’ai même regretté.

J'ai l'impression que "idée" correspond mieux que "choix" (choix entre quoi et quoi ?)

Bon, après le comnfort de single room'une chambre simple pendant une semaine, c’est normal d’avoir cette pensée.

» ou quelque chose de pareilce genre.

Ah oui, si je retourne plusi tôt à Hong Kong, moi aussi, je n’ai rien à faire aussi.

Bon, le repas soen lui-même était une bonne expérience.

Mais en parlant avec eux, le repas aest devenu beaucoup plus spécial et intéressant.

Ce qu’ils disaient m’a encouragée à continuer mon voyage : « Voyager seule, c’est une autre expérience.

On ne peut pas comparer le voyage avec des amis pour leisureflâner et le voyage seul pour découvrir le monde.

Je ne sais pas comment traduire leisure !

Ce sont deux choses différentes.

CLe voyage que j’ai fait est vraiment incroyable et je ne regrette pas du tout, parce que j’avais découvert le monde en rencontrant des gens.

Ils étaient très gentils et rigolantos.

Ou "drôles".

Rachel, l’américaine que j’ai rencontré à Noboribetsu, esta le seul prénom que je peux'ai pu retenir facilement.

La phrase entre virgules nous dit que Rachel est une américaine. Cette phrase est plus complexe qu'il n'y parait mais j'ai le sentiment qu'il faudrait dire que Rachel a le seul nom...

ÀLors de la dernière soirée de mon voyage, on a joué à UNO avec trois français qui étaient un peu ivres.

À Uno ? Au Uno ? Je ne sais pas !

Les personnes avec quei j’ai parlés pendant ce voyage ont leur propre style de vie, et ça n’a rien à voir avec mon quotidien.

Pearmis les quatre villes que j’ai visité, Otaru me plaît'a le plus plu.

J'ai conjugué la fin au passé et ça change l'ordre des mots :)

La mélodie de la'une boîte deà musique m’a apporté toutransportée dans lmes souvenirs de là-bas.

"Boîte à musique" ou "Boîte de musique", je ne sais pas. On parle d'un petit objet mécanique ? Elle te rappelle des choses, c'est ça ?

Mais ce que j’ai retint le plus retenu, c’est la « bonne nuit » d’Auhert (je suis tellement désolée de ne pas bien retenir bien son nom).

Cette nuit-là, on s’esta bavardé pendant des heures et c’est tellement, c’était si intéressant. !

Moi, je me lève et je vais à l’hôpital pour travailler tous les jours et j’attends dles vacances.

Lui, il se lève et il fait un petit boulot pendant trois ou deuxdeux ou trois heures et puis il fait ce qui lui plait avec sonde temps libre.

« Au revoir », c’est rarement que deux lingnes étroites vont se recroisernt encore une fois dans le futur mais je vais bien garder bien ce beau souvenir dans mon coeur.