Souvent, j'entends dire que les aînés sont similaires aux enfants, ou que ceux-là'ils semblent souvent redevenir enfants ; la questione est plutôt ennuyeuse, mais elle pourrait être très intéressante pour présenter ce qui suivra.

"ceux-là" donne l'impression que tu va parler des enfants.

De fait, quel parent n'a jamais vu un dessin de son filsenfant, qui lui lee lui montre avec un sourire lumineux et les bras pleins d'énergie, tendus ver les hauts yeuxs ses yeux en hauteur ?

fils = seulement les garçons

Par ailleurs, j'imagine le patriarche d'une quelconque famille (c'este que je dirai est vrai aussaussi vrai pour les autres aînés, mais il c'est un symbole que j'adore et que j'admire) comme étant assis et tu la plupart du temps, veillant symboliquement sur la famille avec cette sorte de calme et d'impassibilité qui semble différencier les aînés des adultes.

Pour moi patriarche c'est l'autorité. "Le grand-père", "l'ancien" serait plus affectif, plus calme.

L'êÊtre incompris !

L'être = le vivant / l'être vivant, etc.

Dans l'énergie avec la quelle un enfant présente un des ses dessins, je vois la recherche d'être compris par ses parents, par ses hèéros.

Et dans le silence d'un patriarche, je vois souvent des valeurs trop éloins des quelgnées de celles auxquelles les autres, soient ceux-ci les fils ou les petit-filt ses enfants, soit ses petits-enfants, semblent croire.

"Soit / soit" c'est un comme "ou bien / ou bien", pas un verbe mais une conjonction donc pas d'accord

Et la tentative enfantine d'être compris et, comme la conscientce de croire à des valeurs si loins des quelséloignées de ce qui l'entourent, ne sont-elles semblables ?