Feb. 2, 2023
Mélange (V)
Parfois j'aime l'erreur.
Par ceci je n'entends pas mes erreurs; d'ailleurs cela voudrais dire que je suis coupable du péché le plus méprisable : le trop amour pour soi-même. En revanche je ne suis pas assez intelligent pour saisir la beauté de l'erreur en soi, du moins la plupart des fois. En fait j'ai souvent besoin de quelque chose d'autre pour l'apprécier ; cette "chose" que je viens de décrire est tout à fait simple en réalité : peut-être qu'un mauvais comportement cache une vertu, ou qu'un défaut se montre par ce que cette personne se fie de nous et donc choisit de le montrer.
Mais ces derniers temps je me suis interrogé sur la beauté de l'erreur en soi et sur le motif de ma incapacité de la saisir. Clairement, la logique ne peut pas résoudre cet problème ; par ailleurs il n'y a pas des étapes : il faut un élan d'humanité, l'élan sur lequel je remplis des pages et des pages, mais dont je ne peut pas être le sujet.
Dois-je seulement attendre? Ou dois-je faire quelque chose ? Probablement je vais me convaincre que cette beauté-ci n'existe pas, et que la poursuivre sert à rien ; et si jamais le hasard me donne le susdit élan, je ne peut qu'espérer de n'avoir lâché celle poursuite-là pas du tout...
Mélange (V)
Parfois j'aime l'erreur.
Par ceci je n'entends pas mes erreurs ; d'ailleurs cela voudraist dire que je suis coupable du péché le plus méprisable : le trop d'amour pour soi-mêm-propre.
En revanche, je ne suis pas assez intelligent pour saisir la beauté de l'erreur en soi, du moins la plupart des foisu temps .
En fait, j'ai souvent besoin de quelque chose d'autre pour l'apprécier ; cette "chose" que je viens de décrire est tout à fait simple en réalité : peut-être qu'un mauvais comportement cache une vertu, ou qu'un défaut se montre par ce que cett'une personne se fie deà nous et donc choisit de le montrer.
Mais ces derniers temps je me suis interrogé sur la beauté de l'erreur en soi et sur le motif de maon incapacité deà la saisir.
Clairement, la logique ne peut pas résoudre cet problème ; par ailleurs il n'y a pas des 'étapes : il faut un élan d'humanité, l'élan sur lequel jequi me pousse à remplisr des pages et des pages, mais dont je ne peutx pas être le sujet.
"l'élan sur lequel je remplis des pages et des pages, mais dont je ne peux pas être le sujet"
Je comprends moins bien cette partie de la phrase : à quoi "des pages et des pages" et "le sujet" font référence ?
Dois-je seulement attendre ?
Ou dois-je faire quelque chose ?
PJe vais probablement je vais me convaincre que cette beauté-ci n'existe pas, et que la poursuivre ne sert à rien ; et si jamais le hasard me donne le susdit élan, je ne peutx qu'espérer de n'avoir lâchabandonné celltte poursuite-là pas du tout...
Feb. 3, 2023
Clairement, la logique ne peut pas résoudre cet problème ; par ailleurs il n'y a pas des 'étapes : il faut un élan d'humanité, l'élan sur lequel jequi me pousse à remplisr des pages et des pages, mais dont je ne peutx pas être le sujet.
Je l'habitude d'écrire des personnages pas trop rationnels, mais très humaines; mais cette humanité sur la quelle j'écris, je ne peux pas être son sujet, je ne peux l'"avoir".
Feb. 3, 2023
Merci beaucoup!
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Par ceci je n'entends pas mes erreurs; d'ailleurs cela voudrais dire que je suis coupable du péché le plus méprisable : le trop amour pour soi-même. Par ceci je n'entends pas mes erreurs ; d'ailleurs cela voudrai |
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En revanche je ne suis pas assez intelligent pour saisir la beauté de l'erreur en soi, du moins la plupart des fois. En revanche, je ne suis pas assez intelligent pour saisir la beauté de l'erreur en soi, du moins la plupart d |
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En fait j'ai souvent besoin de quelque chose d'autre pour l'aimer ; cette "chose" que je viens de décrire est tout à fait simple en réalité : peut-être qu'un mauvais comportement cache une vertu, ou qu'un défaut se montre par ce que cette personne se fie de nous et donc choisit de le montrer. |
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Mais ces derniers temps je me suis interrogé sur la beauté de l'erreur en soi et sur le motif de ma incapacité de la saisir. Mais ces derniers temps je me suis interrogé sur la beauté de l'erreur en soi et sur le motif de m |
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Clairement, la logique ne peut pas résoudre cet problème ; par ailleurs il n'y a pas des étapes : il faut un élan d'humanité, l'élan sur lequel je remplis des pages et des pages, mais dont je ne peut pas être le sujet. Clairement, la logique ne peut pas résoudre ce "l'élan sur lequel je remplis des pages et des pages, mais dont je ne peux pas être le sujet" Je comprends moins bien cette partie de la phrase : à quoi "des pages et des pages" et "le sujet" font référence ? |
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Dois-je seulement attendre? Dois-je seulement attendre ? |
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Ou dois-je faire quelque chose ? This sentence has been marked as perfect! |
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Probablement je va me convaincre que cette beauté-ci n'existe pas, et que la poursuivre sert à rien ; et si jamais le hasard me donne le susdit élan, je ne peut qu'espérer de n'avoir lâché celle poursuite-là pas du tout... |
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En fait j'ai souvent besoin de quelque chose d'autre pour l'apprécier ; cette "chose" que je viens de décrire est tout à fait simple en réalité : peut-être qu'un mauvais comportement cache une vertu, ou qu'un défaut se montre par ce que cette personne se fie de nous et donc choisit de le montrer. En fait, j'ai souvent besoin de quelque chose d'autre pour l'apprécier ; cette "chose" que je viens de décrire est tout à fait simple en réalité : peut-être qu'un mauvais comportement cache une vertu, ou qu'un défaut se montre par |
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Probablement je vais me convaincre que cette beauté-ci n'existe pas, et que la poursuivre sert à rien ; et si jamais le hasard me donne le susdit élan, je ne peut qu'espérer de n'avoir lâché celle poursuite-là pas du tout...
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