Jan. 24, 2023
Dans le texte précédent j'avais dit que dans ceci j'aurais parler du besoin de l'homme d'avoir un ordre, un Dieu. Mais se forcer d'écrire est pour moi très difficile, et donc je va mouiller le fueille avec quelques idées au hasard.
Avez-vous à l'esprit des gestes d'aide ou de don? Et avez-vous à l'esprit comme le donneur ou l'aidant se comportaient? Ou plutôt, votre coeur, tient-il encore les émotions (elles peuvent être très faibles parfois) que ce geste lui donna? Pardon, je me suis emballé; ca sera pour un autre texte.
Selon moi tout ce que se passe autour de nous nous donne quelque chose, et c'est au Hasard de choisir si on le peut remarquer; mais ce puissance n'a pas de pouvoir pour ce qui concerne la notre intériorité: il n'a rien entre nous et nous-même, pas de Dieu et pas des autres. Une fois ceci établi, on ne peut pas accuser quelqu'un de ne pas remarquer quelque chose à la droit si ses yeux sont tournés à la gauche, mais on peut l'accuser (et ce que j'entends par accuse est semblable à un parent qui gronde son gamin pour avoir mangé des bonbons) de mentir à soi-même, et ça se passe très souvent. D'ailleurs les exemples tombent du ciel, mais je veux me concentrer sur ce que j'ai déclaré au début: l'aide et le don.
En fait je vois que parfois on ( et je ne veux pas utiliser "personnes" ou "gens", puisque je ne me puis arracher ma condition humaine: je suis coupable aussi!) donne ou aide pas pour recevoir ou être aidé (la plupart des fois c'est le cas en ravanche), mais pour montrer a nous-même que nous pouvons aider, que nous pouvons donner. Autrement dit, nous devons nous montrer que nous sommes capables de ça, qui on est assez intelligent pour aider un notre ami avec un problème de logique, assez bon pour aider une personne qui a besoin. Et j'ai exprès ignoré le fait qu'on fait tout ça aussi pour se montrer à la hauteur chez les autres: si nous accuser de ce que j'ai décrit naguère est comme gronder un gamin de manger trop de bonbons, nous accuser de ceci serait comme blâmer l'écrire d'un écrivain ou le calculs d'un mathématicien.
Pardon moi cher lecteur, je dois mélanger mes pensées à une belle écriture, autrement ce serait tout à fait ridicule, vous ne trouvez pas?
Mélange (III)
Dans le texte précédent, j'avais dit que dans ce texte-ci, j'auraise parlerais du besoin de l'homme d'avoir un ordre, un Dieu.
Contrairement à l'italien, on utilise le conditionnel présent pour parler d'un «futur dans le passé»
Mais se forcer d'à écrire m'est pour moi très difficile, et donc je va mouiller le fueilleis improviser avec quelques idées au hasard.
« mouiller la feuille », c'est la première fois que je l'entends ! Et j'aime bien... à tel point que j'ai hésité à corriger, bien que personne ne dise ça.
Néanmoins, le format numérique que nous avons ici rend l'expression un peu déplacée. J'ai donc opté pour une solution simple.
APouvez-vous à l'espritvous imaginer/vous représenter des gestes d'aide ou de dons ?
Si tu nous invites à un exercice d'imagination, ces verbes seraient bien meilleurs ; à moins que tu ne veuilles dire « est-ce que ça apparaît dans votre esprit » et dans ce cas, il faudrait dire « est-ce que des gestes d'aide ou de dons vous viennent à l'esprit ? »
Mieux que « geste d'aide » => geste secourable
Et apouvez-vous à l'esprit commevous représenter/vous imaginer la manière dont le donnateur ou l'aidante bénéficiaire se comportaient ?
Même remarque que dans un de tes précédents textes sur « la manière dont » vs « comme(nt) »
J'ai du mal à saisir la logique d'un passé ici
Ou plutôt, votre coeur, œur [retient-il ?] encore les émotions (elles peuvent êtreparfois très faibles parfois) que ce geste lui donnaprocure ?
Ne voulais-tu pas dire « REtenir » (« empêcher de partir ») ?
Pardon, je me suis emballé;, cae sera pour un autre texte.
Devant le verbe « être », « ce » est stylistiquement bien meilleur que « ça » (c'est un des derniers cas où « ce » peut être un pronom à part entière)
Selon moi, tout ce quei se passe autour de nous nous donne quelque chose, et c'est au Hasard de choisir si on le peut le remarquer;, mais cette puissance n'a pas deaucun pouvoir posur ce qui concerne la notre intériorité : il n'y a rien entre nous et nous-même, pas de Dieu et pas des autress, ni Dieu ni tierce personne.
Je ne sais pas dans quel sens tu entendais « donner » mais j'ai le sentiment que « procurer » serait ici bien meilleur
On utilise « sur » pour parler d'un domaine où un pouvoir s'applique : avoir du pouvoir SUR quelque chose
non C'È niente = il n'Y a rien
il n'a rien = non ha, donc il faut faire attention
Une fois ceci établi, on ne peut pas accuser quelqu'un de ne pas remarquer quelque chose à droite/sur la droite si ses yeux sonon regard est tournés à gauche/sur la gauche, mais on peut l'accuser (et ce que j'entends par « accuser » est semblable à ce qu'entend un parent qui gronde son gaminenfant pour avoir mangé des bonbons) de se mentir à solui-même, et ça se passarrive très souvent.
« soi-même » s'utilise dans des phrases impersonnelles et générales, en particulier celles avec « on »
« se passer » insiste sur un processus (« se dérouler » encore plus). Un événement qui nous vient (métaphoriquement) dans la figure est un événement qui « arrive » ou « survient »
D'ailleurs, les exemples tombent du ciel, mais je veux me concentrer sur ce que j'ai déclarévoqué au début : l'aide et le don.
Alternative => les exemples se ramassent à la pelle (un peu familier), les exemples sont légion
On déclare un énoncé qui a un message, on « évoque un sujet/parle de quelque chose » lorsqu'on prononce simplement des paroles sur un thème précis. « Évoquer » serait d'autant meilleur que tu en as parlé brièvement, ce qui correspond au sens de ce verbe.
En fait, je vois que parfois on, nous ( et je ne veux pas utiliser "personnes" ou "« les gens" », puisque je ne me puis m'arracher à ma condition humaine : je suis coupable aussi !) donneons ou aideons non pas pour recevoir ou être aidé (la plupart des fois c'est le cas en ravanchebien que ce dernier cas soit commun), mais pour montrnous prouver a(à nous-mêmes) que nous pouvons aider, que nous pouvons donner.
« nous » serait encore mieux si tu te mets dans un groupe concret
On n'utiliserai pas « personnes » ici, donc tu peux le supprimer
s'arracher À quelque chose
la plupart des fois = souvent (j'ai reformulé pour essayer d'avoir quelque chose d'un style un peu soutenu et surtout de court, car la phrase est déjà lourde)
Autrement dit, nous devons nous montrer que nous sommes capables de ça, qui on e nous sommest assez intelligents pour aider un notre amiami à nous avec un problème de logique, assez bon pour aider une personne qui en a besoin.
Les structures du type "a friend of mine" nécessitent « à » => un ami À moi
Il existe bien « un mien/nôtre ami » etc en français, c'est correct, mais tu sonnerais comme un noble versaillais du XVIIIe siècle !
avoir besoin DE quelque chose => une personne qui EN a besoin
Et j'ai exprès ignoré le faitomis qu'on fait tout ça aussi pour se montrer à la hauteur chez ldes autres : si nous accuser de ce que j'ai décrit naguèretantôt est comme gronder un gamin dequi manger trop de bonbons, nous accuser de ceci serait comme blâmer/condamner l'écriture d'un écrivain ou les calculs d'un mathématicien.
omettre = oublier de faire quelque chose, souvent délibérément (c'est un verbe soutenu que irait très bien ici)
« naguère » en français moderne signifie « il y a longtemps » (soit l'inverse de son vieil usage classique). Pour indiquer une période récente, on dit plutôt « tout à l'heure » (terme neutre, courant) ou bien « tantôt » (neutre/commun en Belgique, plutôt littéraire et vieilli en France)
le fait d'écrire = l'écriture
Pardon ne-moi, cher lecteur, je doisil me faut mélanger mes pensées à une belle écriture, autrement ce serait tout à fait ridicule, vous ne trouvez-vous pas ?
Si tu veux tutoyer la personne qui te lit => pardonne-moi, cher lecteur
« il me faut » et l'inversion sujet-verbe en fin de phrase font plus soutenu que ce que tu avais écrit
Si tu veux un style encore plus soigné => il me faut conjuguer mes pensées à une belle écriture/il me faut accompagner/orner mes pensée d'une belle écriture/il me faut adjoindre une belle écriture à mes pensées
Feedback
J'ai sans doute une vision bien plus pessimiste de la nature humaine : pour moi, les gens aident dans l'espoir d'être aidés en retour (c'est vrai) mais aussi pour gagner l'estime de leur prochain à peu de frais. Sur le grand théâtre de la vie, certains sont toujours en représentation, donc l'essentiel, c'est de paraître : on fait valoir à quel point on est gentil, tolérant, généreux, solidaire. De la vertu on ne prend que les oripeaux : mais si autrui croit au subterfuge, après tout, cela suffit... « La vertu ostentatoire » : que voilà une chose bien nommée !
Et même quand on essaie d'être, et pas de paraître, la tentation est grande. Parfois, c'est une mécanique inconsciente. Je parie que nous en sommes tous victimes, à divers degrés, moi autant que les autres. On aime tous être reconnus et appréciés. C'est on ne peut plus humain.
Par conséquent, je ne sais pas si les gens qui cherchent la reconnaissance via les accomplissements (« je suis capable d'aider autrui ») sont si nombreux, car il est tellement facile de l'obtenir via les seules apparences. Quand tout un chacun pense que l'habit fait le moine, pourquoi s'embêter ?
Dans le texte précédent, j'avais dit que, dans celui-ci, j'aurllais parler du besoin de l'homme d'avoir un ordre, unde Dieu.
Je pense que pour parler en général, "besoin d'ordre" c'est mieux. "besoin d'avoir un ordre" ça ressemble à avoir besoin d'une consigne.
Mais se forcer d'à écrire est pour moi très difficile, et donc, je va mouiller le fueilleis noyer le propos avec quelques idées au hasard.
J'ai l'impression que difficile positionné ainsi dans la phrase est mieux sans "très". Sinon : "écrire est très difficile pour moi".
Je n'ai pas compris, tu voulais écrire "mouiller la feuille" ? "noyer le propos" c'est une manière de voir les choses, sinon "encrer la feuille" ça fait penser à quelqu'un qui écrit à la plume. À moins que "mouiller la feuille" ne soit une image pour un artiste qui peint au hasard ?
Avez-vous à l'esprit des gestes d'aide ou de don?
Ou plutôt, votre coeur, œur contient-il encore les émotions (elles peuvent être très faibles parfois) que ce geste lui donna ?
on pourrait mettre "retient" (se rappeler), "détient" (renfermer un trésor/garder quelqu'un enfermé) mais "contient" (être à l'intérieur) ça me plaît plus.
Pardon, je me suis emballé ; cça sera pour un autre texte.
Selon moi, tout ce quei se passe autour de nous nous donne quelque chose, et c'est au Hasard de choisir si l'on le peut le remarquer ; mais cette puissance n'a pas de pouvoir pouren ce qui concerne la notre intériorité : il n'a rien entre nous et nous-même, pas de Dieu et pas dles autres.
"on le peut remarquer" ça sonne comme une phrase d'un très (trop ?) vieux livre poussiéreux.
Une fois ceci établi, on ne peut pas accuser quelqu'un de ne pas remarquer quelque chose à la droite si ses yeux sont tournés à la gauche, mais on peut l'accuser (et ce que j'entends par accuser est semblable à un parent qui gronde son gamin pour avoir mangé des bonbons) de se mentir à soi-même, et ça se passe très souvent.
D'ailleurs les exemples tombent du ciel, mais je veux me concentrer sur ce que j'ai déclaré au début: l'aide et le don.
En fait je vois que parfois on ( et je ne veux pas utiliser "des personnes" ou "les gens", puisque je ne me puis m'arracher ma condition humaine : je suis coupable aussi !) donne ou aide non pas pour recevoir ou être aidé (la plupart des fois c'est le cas en raevanche), mais pour se montrer a noussoi-même que nous pouvons aider, que nous pouvons donner.
"nous-même" ça ne me choque pas mais je crois que c'est censé s'accorder avec "on" donc "soi-". La fin de la phrase pourrait rester sur "on" plutôt que "nous" mais ce n'est pas un problème car tu utilise "on" avec le sens de "nous".
Autrement dit, nous devons nous montrer que nous sommes capables de ça, qui 'on est assez intelligent pour aider un notre ami avec un problème de logique, assez bon pour aider une personne qui en a besoin.
Et j'ai, exprès, ignoré le fait qu'on fait tout ça aussi pour se montrer à la hauteur chez ldes autres : si l'on nous accuser deait de mentir, ce que j'ai décrit naguère est commprécédemment comme le fait de gronder un gamin dequi a mangeré trop de bonbons, nous accuser de cecila serait comme blâmer l'es écrirets d'un écrivain ou les calculs d'un mathématicien.
Je crois que exprès n'est pas censé se trouver entre "j'ai" et "ignoré" mais avec les virgules je trouve que ça passe ...
"naguère" on dirait que c'était un texte écrit il y a longtemps mais peut-être est-ce ton idée ? J'ai beaucoup modifié la phrase ... je ne sais pas si ça correspond bien ...
aucune idée de pourquoi "cela" me parait plus adapté que "ceci" ...
Pardon nez-moi cher lecteur, je dois mélangêler mes pensées à une belle écriture, autrement ce serait tout à fait ridicule, vous ne trouvez pas?
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Ah, je voulais savoir la suite. Effectivement l'écriture est belle mais je ne sais pas que retirer de ces pensées. En ce qui me concerne, je n'ai même pas réussi à me prouver moi-même que je pouvais aider quelqu'un avec son français !
Mélange (III) This sentence has been marked as perfect! |
Dans le texte précédent j'avais dit que dans ceci j'aurais parler du besoin de l'homme d'avoir un ordre, un Dieu. Dans le texte précédent, j'avais dit que, dans celui-ci, j'a Je pense que pour parler en général, "besoin d'ordre" c'est mieux. "besoin d'avoir un ordre" ça ressemble à avoir besoin d'une consigne. Dans le texte précédent, j'avais dit que dans ce texte-ci, j Contrairement à l'italien, on utilise le conditionnel présent pour parler d'un «futur dans le passé» |
Mais se forcer d'écrire est pour moi très difficile, et donc je va mouiller le fueille avec quelques idées au hasard. Mais se forcer J'ai l'impression que difficile positionné ainsi dans la phrase est mieux sans "très". Sinon : "écrire est très difficile pour moi". Je n'ai pas compris, tu voulais écrire "mouiller la feuille" ? "noyer le propos" c'est une manière de voir les choses, sinon "encrer la feuille" ça fait penser à quelqu'un qui écrit à la plume. À moins que "mouiller la feuille" ne soit une image pour un artiste qui peint au hasard ? Mais se forcer « mouiller la feuille », c'est la première fois que je l'entends ! Et j'aime bien... à tel point que j'ai hésité à corriger, bien que personne ne dise ça. Néanmoins, le format numérique que nous avons ici rend l'expression un peu déplacée. J'ai donc opté pour une solution simple. |
Avez-vous à l'esprit des gestes d'aide ou de don? This sentence has been marked as perfect!
Si tu nous invites à un exercice d'imagination, ces verbes seraient bien meilleurs ; à moins que tu ne veuilles dire « est-ce que ça apparaît dans votre esprit » et dans ce cas, il faudrait dire « est-ce que des gestes d'aide ou de dons vous viennent à l'esprit ? » Mieux que « geste d'aide » => geste secourable |
Et avez-vous à l'esprit comme le donneur ou l'aidant se comportaient? Et Même remarque que dans un de tes précédents textes sur « la manière dont » vs « comme(nt) » J'ai du mal à saisir la logique d'un passé ici |
Ou plutôt, votre coeur, tient-il encore les émotions (elles peuvent être très faibles parfois) que ce geste lui donna? Ou plutôt, votre c on pourrait mettre "retient" (se rappeler), "détient" (renfermer un trésor/garder quelqu'un enfermé) mais "contient" (être à l'intérieur) ça me plaît plus. Ou plutôt, votre c Ne voulais-tu pas dire « REtenir » (« empêcher de partir ») ? |
Pardon, je me suis emballé; ca sera pour un autre texte. Pardon, je me suis emballé ; Pardon, je me suis emballé Devant le verbe « être », « ce » est stylistiquement bien meilleur que « ça » (c'est un des derniers cas où « ce » peut être un pronom à part entière) |
Selon moi tout ce que se passe autour de nous nous donne quelque chose, et c'est au Hasard de choisir si on le peut remarquer; mais ce puissance n'a pas de pouvoir pour ce qui concerne la notre intériorité: il n'a rien entre nous et nous-même, pas de Dieu et pas des autres. Selon moi, tout ce qu "on le peut remarquer" ça sonne comme une phrase d'un très (trop ?) vieux livre poussiéreux. Selon moi, tout ce qu Je ne sais pas dans quel sens tu entendais « donner » mais j'ai le sentiment que « procurer » serait ici bien meilleur On utilise « sur » pour parler d'un domaine où un pouvoir s'applique : avoir du pouvoir SUR quelque chose non C'È niente = il n'Y a rien il n'a rien = non ha, donc il faut faire attention |
Une fois ceci établi, on ne peut pas accuser quelqu'un de ne pas remarquer quelque chose à la droit si ses yeux sont tournés à la gauche, mais on peut l'accuser (et ce que j'entends par accuse est semblable à un parent qui gronde son gamin pour avoir mangé des bonbons) de mentir à soi-même, et ça se passe très souvent. Une fois ceci établi, on ne peut pas accuser quelqu'un de ne pas remarquer quelque chose à la droite si ses yeux sont tournés à la gauche, mais on peut l'accuser (et ce que j'entends par accuser est semblable à un parent qui gronde son gamin pour avoir mangé des bonbons) de se mentir à soi-même, et ça se passe très souvent. Une fois ceci établi, on ne peut pas accuser quelqu'un de ne pas remarquer quelque chose à droite/sur la droite si s « soi-même » s'utilise dans des phrases impersonnelles et générales, en particulier celles avec « on » « se passer » insiste sur un processus (« se dérouler » encore plus). Un événement qui nous vient (métaphoriquement) dans la figure est un événement qui « arrive » ou « survient » |
D'ailleurs les exemples tombent du ciel, mais je veux me concentrer sur ce que j'ai déclaré au début: l'aide et le don. This sentence has been marked as perfect! D'ailleurs, les exemples tombent du ciel, mais je veux me concentrer sur ce que j'ai Alternative => les exemples se ramassent à la pelle (un peu familier), les exemples sont légion On déclare un énoncé qui a un message, on « évoque un sujet/parle de quelque chose » lorsqu'on prononce simplement des paroles sur un thème précis. « Évoquer » serait d'autant meilleur que tu en as parlé brièvement, ce qui correspond au sens de ce verbe. |
En fait je vois que parfois on ( et je ne veux pas utiliser "personnes" ou "gens", puisque je ne me puis arracher ma condition humaine: je suis coupable aussi!) donne ou aide pas pour recevoir ou être aidé (la plupart des fois c'est le cas en ravanche), mais pour montrer a nous-même que nous pouvons aider, que nous pouvons donner. En fait je vois que parfois on ( "nous-même" ça ne me choque pas mais je crois que c'est censé s'accorder avec "on" donc "soi-". La fin de la phrase pourrait rester sur "on" plutôt que "nous" mais ce n'est pas un problème car tu utilise "on" avec le sens de "nous". En fait, je vois que parfois « nous » serait encore mieux si tu te mets dans un groupe concret On n'utiliserai pas « personnes » ici, donc tu peux le supprimer s'arracher À quelque chose la plupart des fois = souvent (j'ai reformulé pour essayer d'avoir quelque chose d'un style un peu soutenu et surtout de court, car la phrase est déjà lourde) |
Autrement dit, nous devons nous montrer que nous sommes capables de ça, qui on est assez intelligent pour aider un notre ami avec un problème de logique, assez bon pour aider une personne qui a besoin. Autrement dit, nous devons nous montrer que nous sommes capables de ça, qu Autrement dit, nous devons nous montrer que nous sommes capables de ça, qu Les structures du type "a friend of mine" nécessitent « à » => un ami À moi Il existe bien « un mien/nôtre ami » etc en français, c'est correct, mais tu sonnerais comme un noble versaillais du XVIIIe siècle ! avoir besoin DE quelque chose => une personne qui EN a besoin |
Et j'ai exprès ignoré le fait qu'on fait tout ça aussi pour se montrer à la hauteur chez les autres: si nous accuser de ce que j'ai décrit naguère est comme gronder un gamin de manger trop de bonbons, nous accuser de ceci serait comme blâmer l'écrire d'un écrivain ou le calculs d'un mathématicien. Et j'ai, exprès, ignoré le fait qu'on fait tout ça aussi pour se montrer à la hauteur Je crois que exprès n'est pas censé se trouver entre "j'ai" et "ignoré" mais avec les virgules je trouve que ça passe ... "naguère" on dirait que c'était un texte écrit il y a longtemps mais peut-être est-ce ton idée ? J'ai beaucoup modifié la phrase ... je ne sais pas si ça correspond bien ... aucune idée de pourquoi "cela" me parait plus adapté que "ceci" ... Et j'ai exprès omettre = oublier de faire quelque chose, souvent délibérément (c'est un verbe soutenu que irait très bien ici) « naguère » en français moderne signifie « il y a longtemps » (soit l'inverse de son vieil usage classique). Pour indiquer une période récente, on dit plutôt « tout à l'heure » (terme neutre, courant) ou bien « tantôt » (neutre/commun en Belgique, plutôt littéraire et vieilli en France) le fait d'écrire = l'écriture |
Pardon moi cher lecteur, je dois mélanger mes pensées à une belle écriture, autrement ce serait tout à fait ridicule, vous ne trouvez pas? Pardon Pardon Si tu veux tutoyer la personne qui te lit => pardonne-moi, cher lecteur « il me faut » et l'inversion sujet-verbe en fin de phrase font plus soutenu que ce que tu avais écrit Si tu veux un style encore plus soigné => il me faut conjuguer mes pensées à une belle écriture/il me faut accompagner/orner mes pensée d'une belle écriture/il me faut adjoindre une belle écriture à mes pensées |
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