Nov. 24, 2022
Rècentement j'ai rencontré l'idée de liberté de Sartre et je l'ai trouvé plein de metière à reflexions. Je vais donc vous présenter mes idées avec le soutien des idées de Durkheim sur ça.; bien qu'on puisse penser que ceux sont des réflexions trés compliquées, ce n'est pas le cas: prendez-vous ce qui suit comme des idées simples, enrichies par des lectures intéressantes.
Alors, Sartre affirme que l'homme est condamné à la liberté. Avec le dernier mot il fait référence à une dimensione plus abstrait que celle physique, économique ou politique; en fait son idée de liberté comprendre tout ce qui concerne l'homme. Pour Sartre, et pour n'importe quoi existentialiste, l'essence de la vie est son projet: ça veut dire que l'existence est antérieur à son essence. Dans cette conception, l'homme est donc condamné à tous les responsabilités qui suivent l'existence.
Bien que je trouve cettes idées très intéressantes et évocatrices, pour analyser le monde autour de nous je pense que nous avons besoin des outils un peu plus puissants; pour cette nécessité on peut considérer les idées de Durkheim sur la condition humaine moderne.
Donc, il affirme que l'homme moderne, et par conséquent la société moderne, manque d'une conscience et d'une sensibilité collectives: les rôles sociales ne sont plus rigides ou héréditaires; chaque personne doit assumer la responsibilité de trouver son endroit dans la société: rien est donné. Mais pour Durkheim ce condition n'est pas intrinsèque dans la nature de l'homme comme pour Sartre; mais attention, est important surligner que les deux penseurs traitent de dimensions diveres.
Pour finir, la liberté, est-elle intrinsèque dans l'homme ou non? Et sinon, peut-l'homme la gagner? Et enfin, est-ce que la liberté est toujours une chose à souhaiter ou parfois à fuir?
Liberté
Rèécentemment, j'ai rencontré l'idée de liberté dechez Sartre et je l''y ai trouvé pleinbeaucoup de meatière à reéflexions.
ci (in questo) = y
Je vais donc vous présenter mes idées avec le soutien d, en m'appuyant sur les idées de Durkheim sur çaà ce propos.
« sur ça » ne serait pas faux, mais très oral/familier. Dans un texte, « à ce propos » est infiniment mieux.
; bBien qu'on puisse penser que ceux/celles-ci soient des réflexions tréès compliquées, ce n'est pas le cas : prendez-vousconsidérez ce qui suit comme des idées simples, enrichies par des lectures intéressantes.
C'est une exception à la règle que j'ai énoncée dans le précédent texte: « ce » peut être un sujet du verbe être (comme dans « c'est »)
Ici, le fait qu'on pense cela est une incertitude ; on utilise donc le subjonctif
AlorsDonc, Sartre affirme que l'homme est condamné à la liberté.
Lorsqu'on reprend le fil principal de sa pensée après une légère digression, on dit plutôt « donc »
Avec lPar ce dernier mot, il fait référence à une dimensione plus abstraite que celle de la liberté physique, économique ou politique ; en fait son idée de liberté comprendre tout ce qui concerne l'homme.
C'est la même logique que quand on dit « que veux-tu dire PAR là ? ». On parle ici d'un moyen => par
Les mots italiens qui finissent en -zione finissent en -sion ou -tion en français, mais en tout cas, il n'y a jamais de -e.
Pour Sartre, et pour n'importe quoiel existentialiste, l'essence de la vie est son projeta vie se définit par ce qu'on en fait : ça veut dire que l'son existence est antérieure à son essence.
J'ai modifié un peu pour formuler plus précisément en des termes plus clairs
Dans cette conception, l'homme est donc condamné à toutes les responsabilités qui suiventdécoulent de l'existence.
découler de = venir de, être le résultat de
tous = tutti, touTES = tuttE
Bien que je trouve cettes idées très intéressantes et évocatrices, pour analyser le monde autour de nous/parlantes, je pense que nous avons besoin des 'outils un peu plus puissants; pour analyser le monde autour de nous : pour répondre à cette nécessité, on peut considérer les idées de Durkheim sur la condition humaine moderne.
questi, queste = ces (m. et f.)
En marquant la bonne pause dans la phrase avec une virgule bien placée, à l'oral comme à l'écrit, je pense que ta phrase pouvait se comprendre dans l'absolu, mais il demeure bien mieux de mettre la subordonnée de but à la fin, pour bien préciser qu'elle ne concerne pas « idées intéressantes »
Donc, iIl affirme que l'homme moderne, et par conséquent la société moderne, manque d'une conscience et d'une sensibilité collectives : les rôles socialesux ne sont plus rigides ou héréditaires; et chaque personne doit assumer la responsiabilité de trouver son endroita place dans la société: r. Rien est donné.
Celui-ci fait partie des pluriels masculins irréguliers -al => aux ; social => sociAUX
Mais pour Durkheim, ce conditiontte liberté n'est pas intrinsèque dans la natureà la condition de l'homme, comme pour Sartre; mais attention, es : il est en effet important surde souligner que les deux penseurs traitent de dimensions diverfférentes.
Tous les mots en -tion sont également féminins, donc ceTTE (questA)
« intrinsèque à la condition de l'homme » prêterait à confusion, cela renverrait à une sorte d'essentialisme, ce qui est l'inverse du propos de Sartre. En revanche, c'est la condition de l'homme qui le rend libre. J'ai donc modifié pour éviter les répétitions de « condition »
Tu as déjà introduit ta concession au début. « il est important » complète la précision que tu viens d'énoncer, il y a donc une suite logique entre les deux, donc un terme comme « en effet » irait bien
« divers » souligne l'idée d'une multiplicité de sortes, on met l'accent sur le fait que c'est varié ; « différent » met l'accent sur le fait que deux choses ne sont pas similaires
Pour finir, la liberté, est-elle intrinsèque dansà l'homme ou non ?
Et sinon, peut-l'homme la gagnerpeut-il l'obtenir ?
L'inversion sujet-verbe ne marche qu'avec des pronoms
Quand une phrase a un nom pour sujet, on prend en gros la structure de la phrase active et on ajoute le pronom inversé après le verbe
Ex L'économie connaît une période de crise => l'économie connaît-ELLE une période de crise ?
Ton frère a étudié dans cette faculté => Ton frère a-T-IL étudié dans cette faculté ?
Et enfin, est-ce que la liberté est toujours une chose à souhaiter ou parfois à fuir ?
Feedback
Sartre et Durkheim étaient pour moi très optimistes sur la condition humaine et sur la société moderne. À mon sens, les gènes, l'environnement culturel et familial ainsi que la petite enfance conditionnent déjà 95 % de qui nous sommes, et on n'a aucun contrôle sur ces facteurs-là. Reste 5 %. Notre marge de manœuvre me paraît petite, mais je dirais qu'elle existe. Cependant, plus on croit (à tort) être libre, moins on voit les déterminismes qui nous conditionnent, et donc plus on est esclave, ironiquement... Pour moi, un véritable existentialisme passerait nécessairement par cette prise de conscience, et par la prise de conscience que la liberté est tout sauf absolue.
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Rècentement j'ai rencontré l'idée de liberté de Sartre et je l'ai trouvé plein de metière à reflexions. R ci (in questo) = y |
Je vais donc vous présenter mes idées avec le soutien des idées de Durkheim sur ça. Je vais donc vous présenter mes idées « sur ça » ne serait pas faux, mais très oral/familier. Dans un texte, « à ce propos » est infiniment mieux. |
; bien qu'on puisse penser que ceux sont des réflexions trés compliquées, ce n'est pas le cas: prendez-vous ce qui suit comme des idées simples, enrichies par des lectures intéressantes.
C'est une exception à la règle que j'ai énoncée dans le précédent texte: « ce » peut être un sujet du verbe être (comme dans « c'est ») Ici, le fait qu'on pense cela est une incertitude ; on utilise donc le subjonctif |
Alors, Sartre affirme que l'homme est condamné à la liberté.
Lorsqu'on reprend le fil principal de sa pensée après une légère digression, on dit plutôt « donc » |
Avec le dernier mot il fait référence à une dimensione plus abstrait que celle physique, économique ou politique; en fait son idée de liberté comprendre tout ce qui concerne l'homme.
C'est la même logique que quand on dit « que veux-tu dire PAR là ? ». On parle ici d'un moyen => par Les mots italiens qui finissent en -zione finissent en -sion ou -tion en français, mais en tout cas, il n'y a jamais de -e. |
Pour Sartre, et pour n'importe quoi existentialiste, l'essence de la vie est son projet: ça veut dire que l'existence est antérieur à son essence. Pour Sartre, et pour n'importe qu J'ai modifié un peu pour formuler plus précisément en des termes plus clairs |
Dans cette conception, l'homme est donc condamné à tous les responsabilités qui suivent l'existence. Dans cette conception, l'homme est donc condamné à toutes les responsabilités qui découler de = venir de, être le résultat de tous = tutti, touTES = tuttE |
Bien que je trouve cettes idées très intéressantes et évocatrices, pour analyser le monde autour de nous je pense que nous avons besoin des outils un peu plus puissants; pour cette nécessité on peut considérer les idées de Durkheim sur la condition humaine moderne. Bien que je trouve ce questi, queste = ces (m. et f.) En marquant la bonne pause dans la phrase avec une virgule bien placée, à l'oral comme à l'écrit, je pense que ta phrase pouvait se comprendre dans l'absolu, mais il demeure bien mieux de mettre la subordonnée de but à la fin, pour bien préciser qu'elle ne concerne pas « idées intéressantes » |
Donc, il affirme que l'homme moderne, et par conséquent la société moderne, manque d'une conscience et d'une sensibilité collectives: les rôles sociales ne sont plus rigides ou héréditaires; chaque personne doit assumer la responsibilité de trouver son endroit dans la société: rien est donné.
Celui-ci fait partie des pluriels masculins irréguliers -al => aux ; social => sociAUX |
Mais pour Durkheim ce condition n'est pas intrinsèque dans la nature de l'homme comme pour Sartre; mais attention, est important surligner que les deux penseurs traitent de dimensions diveres. Mais pour Durkheim, ce Tous les mots en -tion sont également féminins, donc ceTTE (questA) « intrinsèque à la condition de l'homme » prêterait à confusion, cela renverrait à une sorte d'essentialisme, ce qui est l'inverse du propos de Sartre. En revanche, c'est la condition de l'homme qui le rend libre. J'ai donc modifié pour éviter les répétitions de « condition » Tu as déjà introduit ta concession au début. « il est important » complète la précision que tu viens d'énoncer, il y a donc une suite logique entre les deux, donc un terme comme « en effet » irait bien « divers » souligne l'idée d'une multiplicité de sortes, on met l'accent sur le fait que c'est varié ; « différent » met l'accent sur le fait que deux choses ne sont pas similaires |
Pour finir, la liberté, est-elle intrinsèque dans l'homme ou non? Pour finir, la liberté, est-elle intrinsèque |
Et sinon, peut-l'homme la gagner? Et sinon, L'inversion sujet-verbe ne marche qu'avec des pronoms Quand une phrase a un nom pour sujet, on prend en gros la structure de la phrase active et on ajoute le pronom inversé après le verbe Ex L'économie connaît une période de crise => l'économie connaît-ELLE une période de crise ? Ton frère a étudié dans cette faculté => Ton frère a-T-IL étudié dans cette faculté ? |
Et enfin, est-ce que la liberté est toujours une chose à souhaiter ou parfois à fuir? Et enfin, est-ce que la liberté est toujours une chose à souhaiter ou parfois à fuir ? |
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