Nov. 26, 2021
Dans le cours d'aujourd'hui, on a parlé du évènement déclencheur qui change la vie, et on a dû raconter des histoires de qulque'un. Ayant mené une vie complètement normale, j'ai décidé de parler celle d'un amie à moi. Peut-être que je l'ai déjà écrite ici, mais veuillez patienter si c'est le cas. En plus j'ajoutrai un peu de faits fictifs au cas où.
Elle et moi, on a rencontré dans une université étrangère. J'était en train d'étudier le commerce dans un programme durant 1 an, et elle y une étudiente officielle. Du moins au Japon, les étudiants qui vont étudier à l'étranger ont tendance extravertis, alors que on était plutôt introverties et fatiguées de la différence entre nous-mêmes et des autres. Le problème d'introverties, c'est qu'on ne peut pas aborder facilement quelqu'un d'autre à cause de notre caractère. Mais comme on était tous les deux Japonaises,c'est-à-dire un point commun qui pouvait être une bonne excuse d'aborder, on est vite devenues des amies.
Un jour, elle m'a raconté pourquoi elle était venue étudier à l'étranger. Dans son lycée, elle était dans une classe du niveau supérieur, où les étudiants se concentrait à travailler pour réussir les examens d'entrée des universités prestigieuses. L'ambiance était très tendu à cause du stress qu'ils ressentaient, ce qui a provoqué des brimades. Elle n'était pas le cible, mais les mots sans cœur la dégoûtait et démoralisait. Petit-à-petit, son mental s'est détérioré, et un jour elle ne supportait plus la situation : elle a quitté le lycée. Il fallait du temps pour se remettre de cet expérience. Au bout de 1 an du travail à temp partiel, elle s'est rétablie et commencé à penser son avenir. Il ne lui était pas facile de revenir dans le système éducatif japonais, ce qui l'a incité à arrêter ses études. Naturellement, il lui est venu une idée d'aller étudier à l'étranger. Elle a commencé à travailler durement, surtout sur l'anglais. Après un an de ses études, elle a réussi à entrer è l'université où on a rencontré.
Elle a fini ses études, très intenses en raison de la difficulté, et maintenant elle travaille dans le même pays où la université se situe. Les brimades, il ne faut jamais les admettre, mais ici je dirais que « c'est un mal pour un bien ».
L'histoire d'une amie japonaise
Dans le cours d'aujourd'hui, on a parlé du 'évènements déclencheurs qui change nt une/la vie, et on a dû raconter des l'histoires de quelque'un.
«L'histoire de quelqu'un» au sens de son passé est toujours au singulier; en revanche, si vous vouliez exprimer une vérité générale dans la première partie, le pluriel est mieux (on parle de tous les évènements déclencheurs)
Ayant mené une vie complètement normale, j'ai décidé de parler de celle d'une amie à moi.
Peut-être que je l'ai déjà écritracontée ici, mais [veuillez patienterm'excuser ?] si c'est le cas.
Je n'ai pas bien saisi ce que vous vouliez dire, «veuillez patienter» c'est お待ください (je crois qu'on dit comme ça en japonais)
Vouliez-vous juste dire ごめんください?
En plus, j'ajoutrai un peu dee vais ajouter quelques faits fictifs au cas où.
Le futur proche est mieux ici, car vous vous apprêtez vraiment à le faire au moment où vous écrivez
Elle et moi, on as'est rencontrées dans une université étrangère.
J'était en train d'étudierudiais le commerce dans un programme durant 1 an, et elle y, c'était une étudieante officiellrégulière.
L'imparfait est suffisant ici, sauf si vous voulez VRAIMENT insister sur l'action en cours à ce moment là
Du moins au Japon, lLes étudiants qui vont étudier à l'étranger ont tendance à être extravertis (du moins au Japon), alors que nous, on était plutôt introverties et fatiguées de la différence entre nous-mêmes et dles autres.
La répétition «nous, on» sert à marquer la différence entre vous et les autres (ce qui est exprimé en japonais par la particule thématique は induit souvent une répétition du pronom personnel en français)
Le problème d'es introverties, c'est qu'onils ne peuvent pas aborder facilement quelqu'un d'autre à cause de notreleur caractère.
Si vous voulez utiliser «on/notre», il faudrait faire une phrase du style « notre problème à nous, les introvertis, c'est que [...] »
Mais comme on était toutes les deux Japonaises,c'est-à-dire un point commun qui pouvait être une bonne excuse dpour s'aborder, on est vite devenues des amies.
Un jour, elle m'a raconté pourquoi elle était venue étudier à l'étranger.
Dans son lycée, elle était dans une classe du niveau supérieure, où les étudiants se concentrait àent sur le travailler pour réussir les examens d'entrée des universités prestigieuses universités.
L'ambiance était très tendue à cause du stress qu'ils ressentaient, ce qui a provoqué des brimadesait du harcèlement scolaire.
虐め a plusieurs traductions: si quelqu'un vient se moquer de vous dans la cour de récréation, cela s'appelle «une brimade», mais 虐め en général, en tant que phénomène social, cela se nomme «harcèlement (scolaire)» en français
Elle n'en était pas lea cible, mais les mots sans cœurcruels qu'elle entendait la dégoûtaient et la démoralisaient.
Une personne «sans cœur», mais une chose est toujours «cruelle» (car les objets n'ont précisément pas de coeur)
Petit-à- à petit, son état mental s'est détérioré, et un jour elle ne'a plus supportait plusé la situation : elle a quitté le lycée.
Il lui a fallaitu du temps pour se remettre de cette expérience.
Ici il faut préciser que c'est pour elle que ça a mis du temps: «il LUI a fallu»
Au bout de 1'un an due travail à temps partiel, elle s'est rétablie et a recommencé à penser à son avenir.
Alternative: «à réfléchir» («réfléchir» = penser intensément, longtemps, en profondeur)
Il ne lui était pas facile de revenir dans le système éducatif japonais, ce qui l'a incitée à arrêter ses études.
Le passé composé serait également juste pour «être facile»
Naturellement, il lui est venu une l'idée d'aller étudier à l'étranger.
Elle a commencé à travailler durement, surtout sur l'en anglais.
Après un an de ses 'études, elle a réussi à entrer èà l'université où on as'est rencontrées.
«se rencontrer» est pronominal, il exige donc l'auxiliaire «être»
Elle a fini ses études, très intenses en raison de laeur difficulté, et maintenant elle travaille dans le même pays où la 'université se situe.
la+voyelle => l'
Les brimades/le harcèlement, il ne faut jamais les admettre/l'admettre, mais ici je dirais que « c'estc'était « un mal pour un bien ».
L'histoire d'une amie japonaise
Dans le cours d'aujourd'hui, on a parlé du e l'évènement déclencheur qui change laune vie, et on a dû raconter des l'histoires de quelque'un.
Dans ce contexte, "histoire" est mieux au singulier : "l'histoire de ma vie", même s'il y a plusieurs évènements (j'espère pour moi).
Ayant mené une vie complètement normale, j'ai décidé de parler de celle d'une amie à moi.
Peut-être que je l'ai déjà écrite ici, mais veuillezerci d'être patienter si c'est le cas.
"veuillez patienter" se dit quand on va faire attendre quelqu'un 10 min par exemple.
Si vous dîtes à quelqu'un (au téléphone par exemple) de parler lentement "Je ne suis pas Française, merci d'être patient" est mieux.
En plus j'ajouterai un peu dequelques faits fictifs au cas où.
Elle et moi, on as'est rencontré dans une université étrangère.
On peut aussi écrire "on s'est rencontrées". Par contre, c'est SE rencontrer.
"J'ai rencontré un ami"
"Mon ami est moi, on s'est rencontrés..."
J'était en train d'étudierudiais le commerce dans le cadre d'un programme durant 1qui dure un an, et elle yétait une étudieante officielle.
A mon avis "programme" est superflu, mais si vous voulez vraiment placer ce mot, je pense que c'est la meilleure formulation.
Du moins au Japon, les étudiants qui vont étudier à l'étranger ont tendance à être extravertis, alors que 'on était plutôt introverties et fatiguées de la différence entre nous-mêmes et dles autres.
Le problème d'es introverties, c'est qu'onils ne peuvent pas aborder facilement quelqu'un d'les autres à cause de notreleur caractère.
Mais comme on était toutes les deux Japonaises,c'est-à-dire un point commun qui pouvaieut être une bonne excuse dpour s'aborder, on est vite devenues des amies.
"devenues des amies" est correct "devenues amies" est plus courant.
Un jour, elle m'a raconté pourquoi elle était venue étudier à l'étranger.
Dans son lycée, elle était dans une classe du niveau supérieur, où les étudiants se concentraient à travailler pour réussir les examens d'entrée des universités prestigieuses.
L'ambiance était très tendue à cause du stress qu'ils ressentaient, ce qui a provoquéait des brimades.
Elle n'était pas lea cible, mais les mots sans cœurhumiliations/vexations la dégoûtaient et la démoralisaient.
Il faut répéter le pronom devant chaque verbe. "Je ne sais pas si les gens m'aiment ou me détestent".
Petit-à-petit, son mentoral s'est détérioré, et un jour elle ne'a plus supportait plusé la situation : elle a quitté le lycée.
Imparfait pour les actions qui durent ou se répètent, passé composé pour les actions courtes, soudaines.
Ici, "elle n'a plus supporté la situation" c'est court : c'est le moment où on se dit "j'en ai marre, je m'en vais"
Il lui a fallaitu du temps pour se remettre de cette expérience.
Au bout de 1'un an due travail à temps partiel, elle s'est rétablie et a commencé à penser à son avenir.
Il ne lui était pas facile de revenir dans le système éducatif japonais, ce qui l'a incitévait poussée à arrêter ses études.
... si j'ai bien compris.
"pousser qq'un à faire qq chose" c'est comme "inciter", avec un sens un peu plus fort.
Naturellement, il lui est venu une l'idée d'aller étudier à l'étranger.
Elle a commencé à travailler durement, surtout sur l'anglais.
Après un an de ses 'études, elle a réussi à entrer èà l'université où on as'est rencontrées.
Elle a fini ses études, très intenses en raison de la difficulté, et maintenant elle travaille dans le même pays où la que l'université se situe.
Feedback
Je n'avais pas lu cette histoire.
Le Japon a la réputation d'avoir un système scolaire assez toxique, mais la France n'est pas en reste non plus.
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Dans le cours d'aujourd'hui, on a parlé du évènement déclencheur qui change la vie, et on a dû raconter des histoires de qulque'un. Dans le cours d'aujourd'hui, on a parlé d Dans ce contexte, "histoire" est mieux au singulier : "l'histoire de ma vie", même s'il y a plusieurs évènements (j'espère pour moi). Dans le cours d'aujourd'hui, on a parlé d «L'histoire de quelqu'un» au sens de son passé est toujours au singulier; en revanche, si vous vouliez exprimer une vérité générale dans la première partie, le pluriel est mieux (on parle de tous les évènements déclencheurs) |
Ayant mené une vie complètement normale, j'ai décidé de parler celle d'un amie à moi. Ayant mené une vie complètement normale, j'ai décidé de parler de celle d'une amie à moi. Ayant mené une vie complètement normale, j'ai décidé de parler de celle d'une amie à moi. |
Peut-être que je l'ai déjà écrite ici, mais veuillez patienter si c'est le cas. Peut-être que je l'ai déjà écrite ici, m "veuillez patienter" se dit quand on va faire attendre quelqu'un 10 min par exemple. Si vous dîtes à quelqu'un (au téléphone par exemple) de parler lentement "Je ne suis pas Française, merci d'être patient" est mieux. Peut-être que je l'ai déjà Je n'ai pas bien saisi ce que vous vouliez dire, «veuillez patienter» c'est お待ください (je crois qu'on dit comme ça en japonais) Vouliez-vous juste dire ごめんください? |
En plus j'ajoutrai un peu de faits fictifs au cas où. En plus j'ajouterai En plus, j Le futur proche est mieux ici, car vous vous apprêtez vraiment à le faire au moment où vous écrivez |
Elle et moi, on a rencontré dans une université étrangère. Elle et moi, on On peut aussi écrire "on s'est rencontrées". Par contre, c'est SE rencontrer. "J'ai rencontré un ami" "Mon ami est moi, on s'est rencontrés..." Elle et moi, on |
J'était en train d'étudier le commerce dans un programme durant 1 an, et elle y une étudiente officielle. J'ét L'imparfait est suffisant ici, sauf si vous voulez VRAIMENT insister sur l'action en cours à ce moment là J'ét A mon avis "programme" est superflu, mais si vous voulez vraiment placer ce mot, je pense que c'est la meilleure formulation. |
Du moins au Japon, les étudiants qui vont étudier à l'étranger ont tendance extravertis, alors que on était plutôt introverties et fatiguées de la différence entre nous-mêmes et des autres. Du moins au Japon, les étudiants qui vont étudier à l'étranger ont tendance à être extravertis, alors qu
La répétition «nous, on» sert à marquer la différence entre vous et les autres (ce qui est exprimé en japonais par la particule thématique は induit souvent une répétition du pronom personnel en français) |
Le problème d'introverties, c'est qu'on ne peut pas aborder facilement quelqu'un d'autre à cause de notre caractère. Le problème d Le problème d Si vous voulez utiliser «on/notre», il faudrait faire une phrase du style « notre problème à nous, les introvertis, c'est que [...] » |
Mais comme on était tous les deux Japonaises,c'est-à-dire un point commun qui pouvait être une bonne excuse d'aborder, on est vite devenues des amies. Mais comme on était toutes les deux Japonaises,c'est-à-dire un point commun qui p "devenues des amies" est correct "devenues amies" est plus courant. Mais comme on était toutes les deux Japonaises, |
Un jour, elle m'a raconté pourquoi elle était venue étudier à l'étranger. This sentence has been marked as perfect! This sentence has been marked as perfect! |
Dans son lycée, elle était dans une classe du niveau supérieur, où les étudiants se concentrait à travailler pour réussir les examens d'entrée des universités prestigieuses. Dans son lycée, elle était dans une classe du niveau supérieur, où les étudiants se concentraient à travailler pour réussir les examens d'entrée des universités prestigieuses. Dans son lycée, elle était dans une classe |
L'ambiance était très tendu à cause du stress qu'ils ressentaient, ce qui a provoqué des brimades. L'ambiance était très tendue à cause du stress qu'ils ressentaient, ce qui L'ambiance était très tendue à cause du stress qu'ils ressentaient, ce qui 虐め a plusieurs traductions: si quelqu'un vient se moquer de vous dans la cour de récréation, cela s'appelle «une brimade», mais 虐め en général, en tant que phénomène social, cela se nomme «harcèlement (scolaire)» en français |
Elle n'était pas le cible, mais les mots sans cœur la dégoûtait et démoralisait. Elle n'était pas l Il faut répéter le pronom devant chaque verbe. "Je ne sais pas si les gens m'aiment ou me détestent". Elle n'en était pas l Une personne «sans cœur», mais une chose est toujours «cruelle» (car les objets n'ont précisément pas de coeur) |
Petit-à-petit, son mental s'est détérioré, et un jour elle ne supportait plus la situation : elle a quitté le lycée. Petit-à-petit, son m Imparfait pour les actions qui durent ou se répètent, passé composé pour les actions courtes, soudaines. Ici, "elle n'a plus supporté la situation" c'est court : c'est le moment où on se dit "j'en ai marre, je m'en vais" Petit |
Il fallait du temps pour se remettre de cet expérience. Il lui a fall Il lui a fall Ici il faut préciser que c'est pour elle que ça a mis du temps: «il LUI a fallu» |
Au bout de 1 an du travail à temp partiel, elle s'est rétablie et commencé à penser son avenir. Au bout d Au bout d Alternative: «à réfléchir» («réfléchir» = penser intensément, longtemps, en profondeur) |
Il ne lui était pas facile de revenir dans le système éducatif japonais, ce qui l'a incité à arrêter ses études. Il ne lui était pas facile de revenir dans le système éducatif japonais, ... si j'ai bien compris. "pousser qq'un à faire qq chose" c'est comme "inciter", avec un sens un peu plus fort. Il ne lui était pas facile de revenir dans le système éducatif japonais, ce qui l'a incitée à arrêter ses études. Le passé composé serait également juste pour «être facile» |
Naturellement, il lui est venu une idée d'aller étudier à l'étranger. Naturellement, il lui est venu Naturellement, il lui est venu |
Elle a commencé à travailler durement, surtout sur l'anglais. Elle a commencé à travailler dur Elle a commencé à travailler dur |
Après un an de ses études, elle a réussi à entrer è l'université où on a rencontré. Après un an d Après un an d «se rencontrer» est pronominal, il exige donc l'auxiliaire «être» |
Elle a fini ses études, très intenses en raison de la difficulté, et maintenant elle travaille dans le même pays où la université se situe. Elle a fini ses études, très intenses en raison de la difficulté, et maintenant elle travaille dans le même pays Elle a fini ses études, très intenses en raison de l la+voyelle => l' |
Les brimades, il ne faut jamais les admettre, mais ici je dirais que « c'est un mal pour un bien ». Les brimades/le harcèlement, il ne faut jamais les admettre/l'admettre, mais ici je dirais que |
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