May 1, 2025
Monsieur, Madame
Je vous écris cette lettre en réponse à l'article publié dans votre journal, intitulé « Les réseaux sociaux représentent un danger permanent pour les enfants. » Tout d'abord, j'avoue que ce sujet est très polémique, et je ne veux déranger personne. Ce qui suivra consiste seulement d'un avis, le mien.
Étant membre de la génération des premiers utilisateurs habituels des réseaux sociaux, je crois que j'ai assez d'expérience en ce domaine, et alors je me permets de partager mes pensées sur la controverse. En premier lieu, il faut reconnaître qu'il y a plusieurs côtés de chaque histoire. Quand j'avais 11 ans, je me suis inscrit sur Facebook. Dans cette période de ma vie, je n'avais pas d'amis. Je manquais une vie sociale. Mais grâce à l'Internet, je m'en suis crée une nouvelle. Sur Facebook, Myspace, et Tumblr, j'ai trouvé des amis qui partageaient mes interêts, les mêmes que mes camarades de classe ont critiqués. Les aspects de ma personnalité qui étaient moqués à l'école, ils étaient appreciés en ligne. Mes nouveaux amis m'ont vu, pour moi-même. Mais il ne me connaissaient même pas. Alors, comment c'est possible?
Les détracteurs diront que les connexions que j'ai faites en ligne n'étaient pas authentiques. Ils diront que je me suis fait encore plus isolé qu'avant, perdu dans ma chambre, inondé par le monde numérique. Au contraire, j'avais trouvé un monde qui m'a accepté. J'avais plus d'interaction sociale que jamais. Je souriais, je riais, je me sentais comme je faisais parti de quelque chose plus grande que moi.
Votre article a souligné tous les dangers que les jeunes affrontent quand ils commencent leur vie numérique. Oui, il y a plein de dangers, juste comme au vrai monde. Il y a des prédateurs, bien sûr. Il y a de l'harcèlement, bien sûr. Mais juste comme au vrai monde, il y a de la communauté. Il y a de l'unité. Il y a... tout.
J'ai écrit cette lettre pour rappeler, à tous qui la lisent, que rien n'est totalement mal. Merci de m'écouter.
Les réseaux sociaux et les enfants
Monsieur, Madame Je vous écris cette lettre en réponse à l'article publié dans votre journal, intitulé « Les réseaux sociaux représentent un danger permanent pour les enfants.
» Tout d'abord, j'avoue que ce sujet est très polémique, et je ne veux déranger personne.
Ce qui suivra consiste seulement d'un avis, le mien.
Étant membre de la génération des premiers utilisateurs habituels des réseaux sociaux, je crois que j'ai assez d'expérience en ce domaine, et alors je me permets de partager mes pensées sur la controverse.
En premier lieu, il faut reconnaître qu'il y a plusieurs côtés de chaque histoire.
Quand j'avais 11 ans, je me suis inscrit sur Facebook.
Dans cette période de ma vie, je n'avais pas d'amis.
Je manquais unde vie sociale.
Mais grâce à l'Internet, je m'en suis créeé une nouvelle.
Sur Facebook, Myspace, et Tumblr, j'ai trouvé des amis qui partageaient mes inteérêts, les mêmes que mes camarades de classe ont critiqués.
Les aspects de ma personnalité qui étaient moqués à l'école, ils étaient appreéciés en ligne.
Mes nouveaux amis m'ont vu, pour moi-même.
Mais il ne me connaissaient même pas.
Alors, comment c'est possible?
Les détracteurs diront que les connexions que j'ai faites en ligne n'étaient pas authentiques.
Ils diront que je me suis fait encore plus isolé qu'avant, perdu dans ma chambre, inondé par le monde numérique.
Au contraire, j'avais trouvé un monde qui m'a accepté.
J'avais plus d'interaction sociale que jamais.
Je souriais, je riais, je me sentais commque je faisais parti de quelque chose de plus grande que moi.
Votre article a souligné tous les dangers que les jeunes affrontent quand ils commencent leur vie numérique.
Oui, il y a plein de dangers, juste comme audans le vrai monde.
Il y a des prédateurs, bien sûr.
Il y a de l'harcèlement, bien sûr.
Mais juste comme audans le vrai monde, il y a de la communauté.
Il y a... tout.
J'ai écrit cette lettre pour rappeler, à toust ceux qui la lisent, que rien n'est totalement mal.
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Merci de m'écouter. |
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