July 10, 2025
C’est un thème qu’on ne peut pas épuiser en une seule fois. Pour moi, les plantes sont… des amies intimes, des maîtres, un père, une mère. Je les ressens comme les êtres les plus proches de moi dans ce monde. Elles sont pures, paisibles, et d’une grandeur infinie.
Depuis mon enfance, j’ai tant appris d’elles, des choses précieuses, essentielles. Elles ne doutent jamais. Elles tendent toujours leurs bras vers la lumière. Elles ne ménagent aucun effort : sans cesse, avec patience, elles regardent au loin, vers l’avenir, et s’allient au temps qui passe. Elles enracinent leur être dans la terre, absorbant sans cesse les nutriments essentiels à leur croissance. Elles comprennent les saisons : il y a le temps d’endurer, le temps de s’épanouir, le temps de croître, le temps de mûrir. Toujours, elles expriment leur essence de la manière la plus juste. C’est, à mes yeux, un acte d’amour envers soi-même. Elles ne sont troublées par aucun désir inutile, aucune distraction. Elles vivent simplement, pleinement, portées par le vent, dans l’instant présent. Comme ceux qui s’abandonnent à leur passion avec tout leur cœur, et s’y consacrent entièrement, dans une concentration absolue.
Les plantes sont pour moi une présence douce, constante, et débordante d’amour.
Les plantes
C’est un thème qu’on ne peut pas épuiser en une seule fois.
Pour moi, les plantes sont… des amies intimes, des maîtres, un père, une mère.
Je suis un peu dubitatif sur cette phrase. Je crois que plusieurs choses me coincent.
- Déjà, j'ai un peu de mal à caller les contextes sémantiques entre la plante et les rôles très particuliers des parents. D'ailleurs pourquoi avoir cité les deux ? J'imagine que vous faites une différence, et que vous voulez appuyer sur le fait qu'une plante peut jouer le rôle spécifique de l'un comme de l'autre ?
- Ensuite, il y a ce passage du pluriel au singulier "des amies --> un père"
- Enfin, maître a une drôle de connotation en français. J'imagine que vous cherchiez quelque chose comme "先生" ? Je vous proposerai "modèle", "source d'inspiration", "guide spirituel"...
"Pour moi, les plantes sont... des amies intimes, de proches parentes et une source d'inspiration au quotidien." ?
Je les ressens comme les êtres les plus proches de moi dans ce monde.
Elles sont pures, paisibles, et d’une grandeur infinie.
Je ne comprends pas bien ce que vous entendez par "grandeur".
Depuis mon enfance, j’ai tant appris d’elles, des choses précieuses, essentielles.
Elles ne doutent jamais.
Elles tendent toujours leurs bras vers la lumière.
Elles ne ménagent aucun effort : sans cesse, avec patience, elles regardent au loin, vers l’avenir, et s’allient au temps qui passe.
Là aussi j'ai du mal à saisir ce que vous voulez dire par cette "alliance au temps qui passe". Peut-être le fait qu'elles ont l'air en parfaite harmonie avec le temps, que ce soit dans une forme de rapidité lente (croissance du bambou ou des jeunes pousses de soja, par exemple), ou au contraire dans une croissance inscrite dans les millénaires (âge des séquoia)... ?
Elles enracinent leur être dans la terre, absorbant sans cesse les nutriments essentiels à leur croissance.
Elles comprennent les saisons : il y a le temps d’endurer, le temps de s’épanouir, le temps de croître, le temps de mûrir.
Toujours, elles expriment leur essence de la manière la plus juste.
C’est, à mes yeux, un acte d’amour envers soi-même.
Elles ne sont troublées par aucun désir inutile, aucune distraction.
Elles vivent simplement, pleinement, portées par le vent, dans l’instant présent.
Comme ceux qui s’abandonnent à leur passion avec tout leur cœur, et s’y consacrent entièrement, dans une concentration absolue.
Les plantes sont pour moi une présence douce, constante, et débordante d’amour.
Les plantes
C’est un thème qu’on ne peut pas épuiser en une seule fois.
Pour moi, les plantes sont… des amies intimes, des maîtres, un père, une[professeurs/des sources d'enseignement ?], des mères.
Le mot « maître » est polysémique en français : cela peut désigner celui qui enseigne (« magister » en latin) ou bien celui qui a une autorité (ce que le latin appelait « dominus »). Je pense plutôt que vous vouliez employer le premier sens ici, alors « professeur » lèverait l'ambiguïté
Je supprimerais « père », ça fait bizarre, vu que le mot plante est en français du genre féminin et est toujours perçu comme féminin dans les métaphores
Je les ressens comme les êtres les plus proches de moi dans ce monde.
Elles sont pures, paisibles, et d’une grandeur infinie.
Depuis mon enfance, j’ai tant appris d’elles, : des choses précieuses, essentielles.
Je trouve le deux-points un peu mieux ici (citation d'exemples, d'un complément)
Elles ne doutent jamais.
Elles tendent toujours leurs bras vers la lumière.
Elles ne ménagent aucun effort : sans cesse, avec patience, elles regardent au loin, vers l’avenir, et s’allient au temps qui passe.
Alternative => elles regardent sans cesse l'horizon
Elles enracinent leur être dans la terre, absorbant sans cesse les nutriments essentiels à leur croissance.
Elles comprennent les saisons : il y a le temps d’endurer [?], le temps de s’épanouir [?], le temps de croître, le temps de mûrir.
« endurer » demanderait un complément ici : endurer l'hiver, je suppose ?
« s'épanouir » ici serait en outre compris comme « mûrir » (le temps de la floraison ou de la formation des fruits), alors je ne sais pas trop ce que vous avez voulu dire
Toujours, elles expriment leur essence de la manière la plus juste.
C’est, à mes yeux, un acte d’amour envers soi-même.
Elles ne sont troublées par aucun désir inutile, aucune distraction.
Elles vivent simplement, pleinement, portées par le vent, dans l’instant présent.
Comme ceux qui s’abandonnent à leur passion avecde tout leur cœur, et s’y consacrent entièrement, dans une concentration absolue.
faire quelque chose DE tout son coeur
Les plantes sont pour moi une présence douce, constante, et débordante d’amour.
Les plantes This sentence has been marked as perfect! This sentence has been marked as perfect! |
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Comme ceux qui s’abandonnent à leur passion avec tout leur cœur, et s’y consacrent entièrement, dans une concentration absolue. Comme ceux qui s’abandonnent à leur passion faire quelque chose DE tout son coeur This sentence has been marked as perfect! |
Les plantes sont pour moi une présence douce, constante, et débordante d’amour. This sentence has been marked as perfect! This sentence has been marked as perfect! |
Pour moi, les plantes sont… des amies intimes, des maîtres, un père, une mère. Pour moi, les plantes sont… des amies intimes, des Le mot « maître » est polysémique en français : cela peut désigner celui qui enseigne (« magister » en latin) ou bien celui qui a une autorité (ce que le latin appelait « dominus »). Je pense plutôt que vous vouliez employer le premier sens ici, alors « professeur » lèverait l'ambiguïté Je supprimerais « père », ça fait bizarre, vu que le mot plante est en français du genre féminin et est toujours perçu comme féminin dans les métaphores Pour moi, les plantes sont… des amies intimes, des maîtres, un père, une mère. Je suis un peu dubitatif sur cette phrase. Je crois que plusieurs choses me coincent. - Déjà, j'ai un peu de mal à caller les contextes sémantiques entre la plante et les rôles très particuliers des parents. D'ailleurs pourquoi avoir cité les deux ? J'imagine que vous faites une différence, et que vous voulez appuyer sur le fait qu'une plante peut jouer le rôle spécifique de l'un comme de l'autre ? - Ensuite, il y a ce passage du pluriel au singulier "des amies --> un père" - Enfin, maître a une drôle de connotation en français. J'imagine que vous cherchiez quelque chose comme "先生" ? Je vous proposerai "modèle", "source d'inspiration", "guide spirituel"... "Pour moi, les plantes sont... des amies intimes, de proches parentes et une source d'inspiration au quotidien." ? |
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Depuis mon enfance, j’ai tant appris d’elles, des choses précieuses, essentielles. Depuis mon enfance, j’ai tant appris d’elles Je trouve le deux-points un peu mieux ici (citation d'exemples, d'un complément) This sentence has been marked as perfect! |
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Elles ne ménagent aucun effort : sans cesse, avec patience, elles regardent au loin, vers l’avenir, et s’allient au temps qui passe. Elles ne ménagent aucun effort : sans cesse, avec patience, elles regardent au loin, vers l’avenir, et s’allient au temps qui passe. Alternative => elles regardent sans cesse l'horizon Elles ne ménagent aucun effort : sans cesse, avec patience, elles regardent au loin, vers l’avenir, et s’allient au temps qui passe. Là aussi j'ai du mal à saisir ce que vous voulez dire par cette "alliance au temps qui passe". Peut-être le fait qu'elles ont l'air en parfaite harmonie avec le temps, que ce soit dans une forme de rapidité lente (croissance du bambou ou des jeunes pousses de soja, par exemple), ou au contraire dans une croissance inscrite dans les millénaires (âge des séquoia)... ? |
Elles enracinent leur être dans la terre, absorbant sans cesse les nutriments essentiels à leur croissance. This sentence has been marked as perfect! This sentence has been marked as perfect! |
Elles comprennent les saisons : il y a le temps d’endurer, le temps de s’épanouir, le temps de croître, le temps de mûrir. Elles comprennent les saisons : il y a le temps d’endurer [?], le temps de s’épanouir [?], le temps de croître, le temps de mûrir. « endurer » demanderait un complément ici : endurer l'hiver, je suppose ? « s'épanouir » ici serait en outre compris comme « mûrir » (le temps de la floraison ou de la formation des fruits), alors je ne sais pas trop ce que vous avez voulu dire This sentence has been marked as perfect! |
C’est, à mes yeux, un acte d’amour envers soi-même. This sentence has been marked as perfect! This sentence has been marked as perfect! |
Elles ne sont troublées par aucun désir inutile, aucune distraction. This sentence has been marked as perfect! This sentence has been marked as perfect! |
Elles vivent simplement, pleinement, portées par le vent, dans l’instant présent. This sentence has been marked as perfect! This sentence has been marked as perfect! |
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