Aujourd'hui je vais parler un peu sur ledu roman " Le tunnel " de l'écrivain argentin Ernesto Sabato.

C'est un roman assez court en fait, ce sonil fait tout juste cent pages, on pourrait dire que c'est une nouvelle.

Le livre est divisé en 39 courts chapitres courts, de deux ouà trois pages chaqu'cun.

Le livre raconte les raisons pour lesquelles Juan Pablo Castel, un peintre, a tuée sa maîtresse, Maria.

L'histoire est raconte dès le point de vue de Castel, donc le récit est donc très psychologique.

Castel apeint/était en train de peintdre un tableau avec une scène banal e; mais, dans un coin de la peinture, il y a une petite fenêtre pouar laquelle on peut voir une femme qui voiregarde la mer.

Pour Castel, cette petite fenêtre n'est pas un deétail : c'est l'analogie la plus importante de sa carrière, elle symbolise l'attente, le désespoir.

Dès ce jour, Castel va développer une obsession compleètement folle pour Marie, jusqu'à la tuer ; mais on verra au fur et à mesure qu'on avance et qu'on connaît mieux le personnage, que son obsession est justifiée (pas moralement bien sûr, mais psychologiquement).

C'est un roman qui parle beaucoup de désespoir, de solitude, d'isolement, etc. Castel arrive à un point de désespoir tellement fort que ce plus possible pour lui de se sauver.

Alternative : Castel sombre dans un tel désespoir ...

C'est le désespoir ce qui le pousse vers l'assassinat de Marie.

Si quelqu'un est intéressé par la littérature d'Amérique du Sud, Le tunnel c'est une excellente option/introduction.

D'ailleurs le livre a été remarquepéré par Albert Camus à/dés sa sortie dans l'annéen 1948.