April 29, 2020
J'ai pu ressentir une tension croissante entre les deux personnages au fur et à mesure que la conversation se déroulait. Le point culminant où j'ai senti l'agacement de Marc, où il a vraiment explosé, on peut le lire dans la dernière phrase de l'extrait: "Tu as acheté cette merde deux cent mille francs?". Cette "merde" de tableau est, en fait, le même tableau que Marc a chez lui. La différence se trouve sur le prix de l'achat : Serge en a payé deux cents mille francs et Marc probablement une quantité bien moindre.
Ainsi, bien que Serge aime l'art, on s'en rend compte que finalement il a été arnaqué quand il a accedé à acheter le tableau à ce prix-là.
Je pense que c'est une histoire assez drôle et il me semble pouvoir y trouver un peu de critique sociale vers un personnage qui incarne la haute société. Le genre du théâtre de l'absurde porte toujours un regard critique vers les différentes "échelles" de la société, donc, j'ai pu y trouver un parallélisme avec l'oeuvre "Trois chapeaux claque" de Miguel Mihura. Cette pièce de théâtre critique également la stupidité de la burgeoisie espagnole de la moitié du XXe siècle.
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Le tableau (2) |
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J'ai pu ressentir une tension croissante entre les deux personnages au fur et à mesure que la conversation se déroulait. |
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Le point culminant où j'ai senti l'agacement de Marc, où il a vraiment explosé, on peut le lire dans la dernière phrase de l'extrait: "Tu as acheté cette merde deux cent mille francs?". |
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Cette "merde" de tableau est, en fait, le même tableau que Marc a chez lui. |
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La différence se trouve sur le prix de l'achat : Serge en a payé deux cents mille francs et Marc probablement une quantité bien moindre. |
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Ainsi, bien que Serge aime l'art, on s'en rend compte que finalement il a été arnaqué quand il a accedé à acheter le tableau à ce prix-là. |
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Je pense que c'est une histoire assez drôle et il me semble pouvoir y trouver un peu de critique sociale vers un personnage qui incarne la haute société. |
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Le genre du théâtre de l'absurde porte toujours un regard critique vers les différentes "échelles" de la société, donc, j'ai pu y trouver un parallélisme avec l'oeuvre "Trois chapeaux claque" de Miguel Mihura. |
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Cette pièce de théâtre critique également la stupidité de la burgeoisie espagnole de la moitié du XXe siècle. |
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