April 23, 2021
Pendant des siècles, la musique était un médium qui permettait aux peuples de se faire entendre et d'exprimer leurs doléances. De les hurler, en fait, à face des dirigeants et des tyrandes. Les masses en soulèvement avaient ainsi exprimé leur mécontentement partout; aux rues de Paris pendant la commune, aux bagnes de Guyane ou leurs voix demandaient la «mort aux vaches, mort aux condés», ou, en dehors de la France, par exemple durant la guerre civile espagnole, où les anarchistes continuaient sa lutte contre la fascisme en chantant «aux barricadas». Bien sûr, aujourd'hui en le période post-guerre, c'est un peu différent, mais les chansons de contestation sont toujours ici, même si sa forme a changé un peu. Une forme d'expression de cette contestation qui me plait beaucoup c'est la musique punk; et bien sûr il y avait et il y a encore ça en France. Le punk n'est pas mort, il n'est pas même moribond.
Je ne connais pas bien la scene punk de la France, je veux seulement mencionner un nom: cette de François Guillemot, le chanteur de la grupe phare de la scène au debut, le Bérurier Noir. Cependant je préfère ses créations de période où il intégrait le Molodoï, un autre groupe de punk français. Leurs chansons abordent une vaste gamme de sujets: des harkis, du conflit en Irlande de Nord, de toutes les violences et injustices de monde de son temps, mais aussi des autres thèmes, plus personnelles. J'ai une affinité particulière pour une chanson qui s'appelle me Errante: comme le héros de la chanson, j'avais aussi «marche sur toutes les routes, et partout j'étais étranger».
Toutefois, tout a sa fin, et aujourd'hui Fanfan, comment le chanteur est aussi appelé, s'occupe plus de sa fonction d'ingénieur de recherche au CNRS, spécialisé au Viet-Nam. Néanmoins, il n'avait pas oublié ses racines et les Bérus sont réunis en 2015 pour enregistrer une chanson à la suite des attentats de Paris, avec ses paroles tant poignantes qui disent: « il n'y a pas de guerres saintes, il n'y a que des guerres sales». Il me semble qu'il n'ait pas du tout laissé ses convictions d'un rebelle, mais la question reste que fait la jeunesse d'aujourd'hui? Pour paraphraser l'artiste, emmerdent-ils encore le Front National?
Le punk est-il mort ?
Pendant des siècles, la musique étaita été un médium qui permettait aux peuples de se faire entendre et d'exprimer leurs doléances.
De les hurler, en faiplutôt, à face desaux dirigeants et desaux tyrandes.
Les masses en soulèvement avrévoltées exprimaient ainsi exprimé leur mécontentement partout; aux: dans les rues de Paris pendant la cCommune, auxdans les bagnes de Guyane ouù leurs voix demandcriaient la «mort aux vaches, mort aux condés», ou, en dehors de la France, par exemple durant la guerre civile espagnole, où les anarchistes continuaient saleur lutte contre la fascisme en chantant «aux barricadaes».
3ème personne du pluriel (une/plusieurs chose(s) appartien(nen)t à plusieurs personnes) => LEUR
Bien sûr, aujourd'hui en lcette période postd'après-guerre, c'est un peu différent, mais les chansons de contestation sont toujours icilà, même si saleur forme un peu a changé un peu.
Une forme d'expression de cette contestation qui me plait beaucoup c'est la musique punk; et bien sûr, il y avait et il yen a encore ça en France.
«encore» signifie déjà qu'il y en avait avant, vous pouvez donc faire une phrase plus simple
Le punk n'est pas mort, il n'est pas même pas moribond.
Je ne connais pas bien la sceène punk de la Francfrançaise, je veux seulement menctionner un nom: cettelui de François Guillemot, le chanteur de la'un groupe phare de la scène au debut, lepionnier du punk, Bérurier Noir.
«pionnier» s'utilise beaucoup pour les artistes (des précurseurs dans un domaine)
Cependant je préfère ses créaproductions de la période où il intégrait lfaisait partie de Molodoï, un autre groupe de punk français.
Leurs chansons abordent une vaste gamme de sujets: dles harkis, dule conflit en Irlande de Nord, de toutes les violences et injustices deu monde de sonleur temps, mais aussi des 'autres thèmes, plus personnelles.
J'ai une affinité/affection particulière pour une chanson qui s'appelle me« Errante »: comme le héros de la chanson, j'avais aussi «marcheé sur toutes les routes, et partout j'étais étranger ».
Toutefois, tout a saune fin, et aujourd'hui Fanfan, comment le chanteur est aussi appelé, s'occup/surnommé, se consacre plus deà sa fonction d'ingénieur de rechercheur au CNRS, spécialisé ate du Vieêt-Nam.
Néanmoins, il n'avait pas oublié ses racines et les Bérus se sont réunis en 2015 pour enregistrer une chanson à la suite des attentats de Paris, avec sdes paroles taellement poignantes qui disaient: « il n'y a pas de guerres saintes, il n'y a que des guerres sales ».
Il me semble qu'il n'ait pas du tout délaissé ses convictions d'une rebelle, mais la question restedemeure: que fait la jeunesse d'aujourd'hui ?
Pour paraphraser l'artiste, emmerden-t-ilselle encore le Front National ?
Le sujet est «la jeunesse», donc «elle»
Feedback
Si on excepte les catégories socio-professionnelles supérieures, la jeunesse vote beaucoup Front National actuellement (en fait, elle s'abstient ou vote blanc, surtout). Je crois que ces rebelles autoproclamés ne sont plus en phase avec le monde d'aujourd'hui — souvent d'ailleurs, ils ne le comprennent pas, ce qui est le cas de beaucoup de gens qui commencent à vieillir. Sans parler de la crédibilité: un «anarchiste» qui finit payé par un organisme étatique (comme le CNRS), c'est quand même assez savoureux... Le système lui-même a compris qu'il pouvait récupérer le mouvement punk pour en faire un produit de consommation comme un autre. Ça aussi, c'est une autre ironie aigre-douce...
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Pendant des siècles, la musique était un médium qui permettait aux peuples de se faire entendre et d'exprimer leurs doléances. Pendant des siècles, la musique |
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De les hurler, en fait, à face des dirigeants et des tyrandes. De les hurler, |
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Les masses en soulèvement avaient ainsi exprimé leur mécontentement partout; aux rues de Paris pendant la commune, aux bagnes de Guyane ou leurs voix demandaient la «mort aux vaches, mort aux condés», ou, en dehors de la France, par exemple durant la guerre civile espagnole, où les anarchistes continuaient sa lutte contre la fascisme en chantant «aux barricadas». Les masses 3ème personne du pluriel (une/plusieurs chose(s) appartien(nen)t à plusieurs personnes) => LEUR |
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Bien sûr, aujourd'hui en le période post-guerre, c'est un peu différent, mais les chansons de contestation sont toujours ici, même si sa forme a changé un peu. Bien sûr, aujourd'hui en |
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Une forme d'expression de cette contestation qui me plait beaucoup c'est la musique punk; et bien sûr il y avait et il y a encore ça en France. Une forme d'expression de cette contestation qui me plait beaucoup c'est la musique punk; et bien sûr, il y «encore» signifie déjà qu'il y en avait avant, vous pouvez donc faire une phrase plus simple |
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Le punk n'est pas mort, il n'est pas même moribond. Le punk n'est pas mort, il n'est |
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Je ne connais pas bien la scene punk de la France, je veux seulement mencionner un nom: cette de François Guillemot, le chanteur de la grupe phare de la scène au debut, le Bérurier Noir. Je ne connais pas bien la sc «pionnier» s'utilise beaucoup pour les artistes (des précurseurs dans un domaine) |
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Cependant je préfère ses créations de période où il intégrait le Molodoï, un autre groupe de punk français. Cependant je préfère ses |
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