July 4, 2025
Lorsque j’apprenais la cérémonie du thé, il y avait un mot inscrit sur un « kakemono » suspendu dans la salle de thé qui m’a profondément marquée.
Dans cet espace si particulier, les personnes qui partagent le même moment dans le silence d’un salon de thé sont invitées à méditer ensemble sur cette même phrase. Cela peut sembler étrange, n’est-ce pas ? Dans les films ou les romans, il n’y a en général qu’un seul protagoniste.
Mais ce kakemono nous pose une question simple et puissante : « Qui est le maître de votre vie ? » Êtes-vous réellement le protagoniste de votre propre existence ? Dans ce petit espace qu’est le salon de thé, des vies uniques et irremplaçables se rassemblent. Et c’est justement parce que chacun y entre en tant que maître de soi-même, inébranlable et digne, que naît une forme de cohésion pure et puissante. Il ne faut jamais céder les rênes de sa vie à autrui, ne devenez pas un simple figurant de votre propre histoire. Nous sommes les scénaristes de notre destinée. Quel genre de protagoniste voulez-vous être ? De quelles personnes voulez-vous vous entourer ? Quelles expériences souhaitez-vous vivre ?
Nous avons le pouvoir de peindre chaque détail de notre scénario avec les couleurs les plus vives de nos désirs. Et plus ce scénario est clair, vivant et précis dans notre cœur, plus il prendra vie avec force et beauté.
Le protagoniste
Que voilà un mot bien spécifique, et assez connoté théâtre pour moi :)
Mais je pense qu'il est parfaitement trouvé.
Au passage je ne sais pas si vous connaissez le CNRTL (Centre National de Recherche Textuelle et Linguistique.). Si non, je suis certain que vous y trouverez une source inépuisable d'information et de petits bonheurs : https://www.cnrtl.fr/definition/protagoniste
Lorsque j’apprenais la cérémonie du thé, il y avait un mot inscrit sur un « kakemono » suspendu dans la salle de thé qui m’a profondément marquée.
Cette phrase me gêne aux entournures, mais j'ai du mal à saisir pourquoi. Je pense que cela tient à la construction "lorsque A il y avait B suspendu dans C qui m'a marqué" : qu'est-ce qui vous a marqué ? de manière évidente il s'agit de B, mais la construction nous amènerait vers C...
Pour lever cette petite gêne vous pourriez inverser B et C :
« Lorsque j’apprenais la cérémonie du thé, il y avait suspendu dans la salle de thé un « kakemono » sur lequel était inscrit un mot qui m’a profondément marquée. »
Ah, oui, tiens, là je me sens beaucoup mieux ! Comme si j'avais réussi à me gratter pile à l'endroit qui me démangeait :)
Autrement, question de novice : il me semblait que les kakemono étaient amenés à varier en fonction des occasions. Cette maxime était t'elle là à demeure ?
Dans cet espace si particulier, les personnes qui partagent le même moment dans le silence d’un salon de thé sont invitées à méditer ensemble sur cette même phrase.
Hum... là aussi il y a quelque chose qui me "gratte"...
Je crois que c'est le fait que dans la même phrase et très proche l'un de l'autre vous parlez de "cet espace particulier" puis de "un salon de thé" si bien qu'on ne sait pas si ce sont deux références au même endroit ou non...
"Dans le silence de cet espace si particulier qu'est le salon de thé, les participants partagent un même instant et sont invités à méditer ensemble sur cette même phrase."
Mais je ne suis toujours pas totalement convaincu.
Mais ce kakemono nous pose une question simple et puissante : « Qui est le maître de votre vie ?
Le présent ici est un peu gênant. Je suppose que le kakemono est toujours en place et qu'il continue de poser cette question, mais bon, je ne suis pas, moi dans ce salon de thé.
On dira plutôt "nous posait" si on veut écrire sur un mode de récit,
ou à la rigueur "ce kakemono pose une question" et on est sur une question rhétorique, une question générale.
» Êtes-vous réellement le protagoniste de votre propre existence ?
Dans ce petit espace qu’est le salon de thé, des vies uniques et irremplaçables se rassemblent.
Je ne suis pas certain de comprendre ce que vous entendez par "des vies uniques et irremplaçables". Peut-être "des individualités bien distinctes" ?
Et c’est justement parce que chacun y entre en tant que maître de soi-même, inébranlable et digne, que naît une forme de cohésion pure et puissante.
Il ne faut jamais céder les rênes de sa vie à autrui, ne devenez pas un simple figurant de votre propre histoire.
Ce n'est pas foncièrement faux,
Une alternative, avec un sens légèrement différent toutefois : "Il ne faut jamais céder les rênes de sa vie à autrui, sous peine de devenir un simple figurant de sa propre histoire."
Nous sommes les scénaristes de notre destinée.
Quel genre de protagoniste voulez-vous être ?
De quelles personnes voulez-vous vous entourer ?
Quelles expériences souhaitez-vous vivre ?
Nous avons le pouvoir de peindre chaque détail de notre scénario avec les couleurs les plus vives de nos désirs.
Beaucoup de changements de Nous -> Vous -> Nous. Ce n'est pas réellement gênant je pense, quoique peut-être un peu maladroit.
Et plus ce scénario est clair, vivant et précis dans notre cœur, plus il prendra vie avec force et beauté.
Feedback
J'avoue n'avoir pas tout compris à votre texte. Il y a quelques moments où vous me perdez dans des généralités qui ne font pas sens pour moi. Il y'en a d'autres par contre qui font parfaitement sens et me dérangent un peu, car j'ai bien conscience d'être un "homme sur la vague" : je me laisser porter par la houle du quotidien, et je pose les rênes de ma vie sur l'encolure du destin.
Le protagoniste
Lorsque j’apprenais la cérémonie du thé, il y avait un mot inscrit sur un « kakemono » (une calligraphie à afficher au mur) suspendu dans la salle de thé qui m’a profondément marquée.
Je pense que vos lecteurs ne seront pas tous familiers de la culture japonaise, alors je définirais de manière concise ce qu'est un « kakemono »
Dans cet espace si particulier, les personnestous ceux qui partagent lce même moment dans le silence d’un salon de thé sont invitées à méditer ensemble sur cettune même phrase.
Avez-vous utilisé « salon de thé » comme synonyme de « salle de thé » ? Si vous faites référence à la pièce dédiée à cette cérémonie, mieux vaut garder « salle de thé » car en français, un « SALON de thé » est plutôt un établissement où on sert du thé (ainsi que quelques pâtisseries, en général)
« sur CETTE même phrase » voudrait dire que dans toutes les salles de thé, il y a la phrase précise à laquelle vous faites référence ici
Je mettrais plutôt le démonstratif devant moment (ce moment = celui de la cérémonie du thé, que vous avez évoqué dans la première phrase)
Cela peut sembler étrange, n’est-ce pas ?
Dans les films ou les romans, il n’y a en général qu’un seul protagoniste.
Mais ce kakemono nous poseait une question simple et puissante : « Qui est le maître de votre vie ?
Si vous voulez parler du kakemono que vous avez vu lorsque vous appreniez la cérémonie du thé, il faut utiliser un temps parfait
» Êtes-vous réellement le protagoniste de votre propre existence ?
Dans ce petit espace qu’est le salon de thé, des vies uniques et irremplaçables se réunissent/se rassemblent.
Et c’est justement parce que chacun y entre en tant que maître de soi-même, inébranlable et digne, que naît une forme de cohésion pure et puissante.
Il ne faut jamais céder les rênes de sa vie à autrui, net devenez pasir un simple figurant de votre propre histoire.
Vu que la phrase commence par une tournure assez impersonnelle (« il ne faut jamais »), je ferais de « devenir » un complément de « falloir », tout comme « céder »
Nous sommes les scénaristes de notre destinée.
Quel genre de protagoniste voulez-veut-on/voulons-nous être ?
« nous/on » pour la même raison stylistique qu'au-dessus (éviter le contraste un peu brusque entre des structures très impersonnelles et des adresses directes au lecteur)
De quelles personnes voulez-vons-nous vnous entourer ?
Quelles expériences souhaitez-vons-nous vivre ?
Nous avons le pouvoir de peind'écrire chaque détail de notre scénario avec les coule'écriturse lesa plus vives de nos désirs.
Un scénario est plutôt écrit, pas peint, alors j'ai adapté la métaphore
Et plus ce scénario est clair, vivant et précis dans notre cœur, plus il prendra viese réalisera avec force et beauté.
Petite modification pour éviter la légère répétition « vivant/vie »
Dans ce petit espace qu’est le salon de thé, des vies uniques et irremplaçables se rassemblent. Dans ce petit espace qu’est le salon de thé, des vies uniques et irremplaçables se réunissent/se rassemblent. Dans ce petit espace qu’est le salon de thé, des vies uniques et irremplaçables se rassemblent. Je ne suis pas certain de comprendre ce que vous entendez par "des vies uniques et irremplaçables". Peut-être "des individualités bien distinctes" ? |
Et c’est justement parce que chacun y entre en tant que maître de soi-même, inébranlable et digne, que naît une forme de cohésion pure et puissante. This sentence has been marked as perfect! This sentence has been marked as perfect! |
Il ne faut jamais céder les rênes de sa vie à autrui, ne devenez pas un simple figurant de votre propre histoire. Il ne faut jamais céder les rênes de sa vie à autrui, Vu que la phrase commence par une tournure assez impersonnelle (« il ne faut jamais »), je ferais de « devenir » un complément de « falloir », tout comme « céder » Il ne faut jamais céder les rênes de sa vie à autrui, ne devenez pas un simple figurant de votre propre histoire. Ce n'est pas foncièrement faux, Une alternative, avec un sens légèrement différent toutefois : "Il ne faut jamais céder les rênes de sa vie à autrui, sous peine de devenir un simple figurant de sa propre histoire." |
Nous sommes les scénaristes de notre destinée. This sentence has been marked as perfect! This sentence has been marked as perfect! |
Quelles expériences souhaitez-vous vivre ? Quelles expériences souhait This sentence has been marked as perfect! |
Nous avons le pouvoir de peindre chaque détail de notre scénario avec les couleurs les plus vives de nos désirs. Nous avons le pouvoir d Un scénario est plutôt écrit, pas peint, alors j'ai adapté la métaphore Nous avons le pouvoir de peindre chaque détail de notre scénario avec les couleurs les plus vives de nos désirs. Beaucoup de changements de Nous -> Vous -> Nous. Ce n'est pas réellement gênant je pense, quoique peut-être un peu maladroit. |
Et plus ce scénario est clair, vivant et précis dans notre cœur, plus il prendra vie avec force et beauté. Et plus ce scénario est clair, vivant et précis dans notre cœur, plus il Petite modification pour éviter la légère répétition « vivant/vie » This sentence has been marked as perfect! |
Lorsque j’apprenais la cérémonie du thé, il y avait un mot inscrit sur un « kakemono » suspendu dans la salle de thé qui m’a profondément marquée. Lorsque j’apprenais la cérémonie du thé, il y avait un mot inscrit sur un « kakemono » (une calligraphie à afficher au mur) suspendu dans la salle de thé qui m’a profondément marquée. Je pense que vos lecteurs ne seront pas tous familiers de la culture japonaise, alors je définirais de manière concise ce qu'est un « kakemono » Lorsque j’apprenais la cérémonie du thé, il y avait un mot inscrit sur un « kakemono » suspendu dans la salle de thé qui m’a profondément marquée. Cette phrase me gêne aux entournures, mais j'ai du mal à saisir pourquoi. Je pense que cela tient à la construction "lorsque A il y avait B suspendu dans C qui m'a marqué" : qu'est-ce qui vous a marqué ? de manière évidente il s'agit de B, mais la construction nous amènerait vers C... Pour lever cette petite gêne vous pourriez inverser B et C : « Lorsque j’apprenais la cérémonie du thé, il y avait suspendu dans la salle de thé un « kakemono » sur lequel était inscrit un mot qui m’a profondément marquée. » Ah, oui, tiens, là je me sens beaucoup mieux ! Comme si j'avais réussi à me gratter pile à l'endroit qui me démangeait :) Autrement, question de novice : il me semblait que les kakemono étaient amenés à varier en fonction des occasions. Cette maxime était t'elle là à demeure ? |
Dans cet espace si particulier, les personnes qui partagent le même moment dans le silence d’un salon de thé sont invitées à méditer ensemble sur cette même phrase. Dans cet espace si particulier, Avez-vous utilisé « salon de thé » comme synonyme de « salle de thé » ? Si vous faites référence à la pièce dédiée à cette cérémonie, mieux vaut garder « salle de thé » car en français, un « SALON de thé » est plutôt un établissement où on sert du thé (ainsi que quelques pâtisseries, en général) « sur CETTE même phrase » voudrait dire que dans toutes les salles de thé, il y a la phrase précise à laquelle vous faites référence ici Je mettrais plutôt le démonstratif devant moment (ce moment = celui de la cérémonie du thé, que vous avez évoqué dans la première phrase) Dans cet espace si particulier, les personnes qui partagent le même moment dans le silence d’un salon de thé sont invitées à méditer ensemble sur cette même phrase. Hum... là aussi il y a quelque chose qui me "gratte"... Je crois que c'est le fait que dans la même phrase et très proche l'un de l'autre vous parlez de "cet espace particulier" puis de "un salon de thé" si bien qu'on ne sait pas si ce sont deux références au même endroit ou non... "Dans le silence de cet espace si particulier qu'est le salon de thé, les participants partagent un même instant et sont invités à méditer ensemble sur cette même phrase." Mais je ne suis toujours pas totalement convaincu. |
Cela peut sembler étrange, n’est-ce pas ? This sentence has been marked as perfect! |
Dans les films ou les romans, il n’y a en général qu’un seul protagoniste. This sentence has been marked as perfect! |
Mais ce kakemono nous pose une question simple et puissante : « Qui est le maître de votre vie ? Mais ce kakemono nous pos Si vous voulez parler du kakemono que vous avez vu lorsque vous appreniez la cérémonie du thé, il faut utiliser un temps parfait Mais ce kakemono nous pose une question simple et puissante : « Qui est le maître de votre vie ? Le présent ici est un peu gênant. Je suppose que le kakemono est toujours en place et qu'il continue de poser cette question, mais bon, je ne suis pas, moi dans ce salon de thé. On dira plutôt "nous posait" si on veut écrire sur un mode de récit, ou à la rigueur "ce kakemono pose une question" et on est sur une question rhétorique, une question générale. |
» Êtes-vous réellement le protagoniste de votre propre existence ? This sentence has been marked as perfect! This sentence has been marked as perfect! |
Quel genre de protagoniste voulez-vous être ? Quel genre de protagoniste v « nous/on » pour la même raison stylistique qu'au-dessus (éviter le contraste un peu brusque entre des structures très impersonnelles et des adresses directes au lecteur) This sentence has been marked as perfect! |
De quelles personnes voulez-vous vous entourer ? De quelles personnes voul This sentence has been marked as perfect! |
Le protagoniste This sentence has been marked as perfect! Le protagoniste Que voilà un mot bien spécifique, et assez connoté théâtre pour moi :) Mais je pense qu'il est parfaitement trouvé. Au passage je ne sais pas si vous connaissez le CNRTL (Centre National de Recherche Textuelle et Linguistique.). Si non, je suis certain que vous y trouverez une source inépuisable d'information et de petits bonheurs : https://www.cnrtl.fr/definition/protagoniste |
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