Avant de commencer d’à apprendre le français, je pouvais déjà parler deux autres langues, le suédois et l’anglais ceux, que j’avais apprises en écoutant des natifs ou; autrement dit, je ne connais rien deni la grammaire ni en suédoise, ni la grammairen anglaise.

Et depuisjusqu’à maintenant , (il n’'y avait rien de) / il n’y a eu aucun problème.

Au collège, on n’apprend que (de) la grammaire simple suédois, ce qu’estuédoise simple/de base, c’est-à-dire les noms, les verbes et les adjectifs, et presque pas de grammaire anglais.e.

Je n’avais jamais réfléchi aux temps de(s) verbes ou aux pronoms pronominaux avant de commencer (mes études du français cet )/ à étudier le français l'été dernier/cet été même si je les utilise tout le temps.

Alors, quand ma prof den suédois nous a donné une table de conjugaison suédoise, je me suis senti à l’aise.

Je connaissais ce qu’est(déjà) le plus-que-parfait, ainsilors quand j’étaison m’a demandé de conjuguer leun verbe au même temps de verbe en suédois, je n’avaisi eu aucun problème.

Mais après tourner la page j’ai perdu mon souffle un peu[] quand j’ai vu que le suédois a/avait aussi un mode subjonctif qui, comme en français, est vraiment bizarre à conjuguer.

I didn’t understand the first part of the sentence.

Heureusement, c’est presquon l’utilise seulement utiliser avec le motverbe «  être  » et dans les anciens textes religieux.

Il faudra encore que j’apprenne la conjugaison pour l’examen mais je n’ai pas besoin d’utiliser le subjonctif suédois en à l’écrit.