lLe développement des cours particuliers

Après avoir lu un article intitulé “l’échec du scolaire” abordant le développement des cours particuliers, je me permets de vous écrire pour vous faire connaiître meson points de vue sur ce problème qui me tient au coeœur.

Note : «titulé» n'existe pas je crois.
Note : «mes points de vue» est correct, mais en général on dit toujours «mon point de vue».

Dans le contexte où l’éducation nationale fait face à de nombreuses difficultés pour perfectionner leurson système scolaire, l’apparition des cours particuliers devient à la mode non seulement dans notre pays mais aussi dans plusieurs pays du monde grâce à leurs diverses méthodes qui satisfont des demandes des parents d’élèves.

Note : «éducation nationale» est au singulier, alors c'est «son» système.

On ne peut pas nier que ce soutien scolaire contribuent à améliorer lespalier aux défauts des écoles de nos jours en mettant en avant des thèmes que l’école tarde à traiter.

Note : «améliorer un défaut» n'est pas vraiment dans l'usage. Cela donne l'impression que l'on augmente encore le défaut, et je ne pense pas que ce soit ce que tu aies voulu dire. Je propose de remplacer par «palier à un défaut», mais on pourrait dire «corriger un défaut», «atténuer un défaut», ou d'autres encore.

Pourtant, il me semble qu’il faudrait penser également aux limiters de ce soutien.

Tout d’abord, on se rend compte que ce soutien pourrait provoquer l’des inégalités dans le secteur éducatif.

Autrement dit, le coût de ces cours est trop cher pour les parents qui n’ont pas assez d’argent ou manquent de moyens financiers.

C'est juste, mais «ne pas avoir assez d'argent» et «manquer de moyens financiers» sont synonymes (dont redondants ici, surtout pour ce cadre un peu formel).

C’est pourquoi, ils peuvent être décueçus parce qu’ils n’offrent pas à leurs enfants les mêmes chances de réussite que des parents plus aisés.

De plus, il faut également rappeler que les enfants issus des familles les plus modestes ont plus de risques de devenir des décrocheursr.

Note : je ne crois pas que «un décrocheur» soit dans l'usage.

Cette inégalité se traduit par une atteinte à l'image de soi.

En effet, ils se sentents inférieurs quand ils ne bénéficient pas d’une même éducation comme d’autres et auront une perte de confiance, ce qui conduira à une baisse de moral affectant sonleur travail.

À mon avis, au lieu d’impulsencourager le développement des cours supplémentaires hors des établissements scolaires, le gouvernement devrait trouver des mesures appropriées pour améliorer le système scolaire dans l’ école.

Note : «impulser» fonctionne en un sens, mais ne me semble pas naturel.

Il s’agit des thèmes, et des méthodes que l’école ne traiterait pas ou pas assez, tels que améliorer la qualité de la formation des enseignants, changer les méthodes d’enseignement correspondant à la tendance sociale et au marché du travail,... Il faudrait assurer que tous sont égaux quelle que soit leur condition parce que les enfants font partie de principaux facteurs qui aident un pays à s’acheminer vers un développement durable.