Jan. 1, 2022
Il y a quelques ans, j'avais envie de lire un livre en français. Les livres choisis par les professeurs ne m'intéressaient pas, c'est pourquoi je décidais de me permettre la dépense pour acheter un livre avec le titre « La Suisse lave plus blanc ». C'était bien avant la période où l'internet et surtout Amazon commençaient à écraser les librairies. La seule manière d'acheter un livre en français était d'aller au petit magasin qui combinait papeterie, librairie et aumônerie dans le village où habitaient mes parents. Le processus était complètement analogique: j'y suis allé avec l'auteur et le titre du livre écrit sur un bout de papier, la patronne du magasin les a écrits sur un autre bout de papier et ensuite elle a commandé par téléphone à son fournisseur qui probablement les a écrits encore sur un autre bout de papier. Quand j'étais dans le magasin, la patronne m'avertissait déjà que "peut être" ça va prendre "un peu" de temps. Après quelques semaines, je pensais que la libraire ou son fournisseur avaient oublié mon livre et je décidais de vivre avec.
Quand j'avais oublié ma commande moi-même aussi, je recevais un coup de fil du magasin pour me dire que mon livre avait arrivé. Du point de vue d'aujourd'hui, ceci avoisine à un miracle. Mais j'étais obligé à retribuer généreusement les efforts pour fournir un seul livre français en rase campagne autrichienne. Cette opération a probablement mené a une hausse temporaire dans les chiffres d'affaires du petit magasin.
Ajourd'hui, ce type d'achats est simple et vite. On choisit, télécharge, paie et la lecture peut commencer dans les cinq minutes. C'est pratique et les prix sont raisonnables. Il manque quand-même une petite chose: l'émotion de finalement tenir dans ses mains un livre dont on ne connaissait préalablement que le titre.
« La Suisse lave plus blanc » est un livre écrit par un sociologue suisse, professeur à l'université de Génève avec des certaines tendances socialistes et communistes. Si si, ça existe. Le livre décrit et déplore les crimes économiques commis par les banques suisses. Malgré j'aie bien aimé le livre quand je le lisais pour la première fois, je ne suis pas devenu révolutionnaire. Il y a quelques jours, je l'ai tenu dans la main et feuilleté un peu. Je pense qu'il est trop polémique même si l'auteur ait raison en ce qu'il écrit. Le livre est aussi un témoin d'une mes batailles avec la langue française : de numéreux marquages, soulignements et notes concernant le vocabulaire montrent le défi ce livre à posé à un simple lycéen. Aujourd'hui, je lis ça avec facilité.
<p>Vor einigen Jahren hatte ich Lust, ein Buch auf Französisch zu lesen. Die von den Lehrern ausgewählten Bücher interessierten mich nicht, deshalb entschied ich, mir ein Buch mit dem Titel "La Suisse lave plus blanc" zu leisten. Das war lange vor der Zeit, als das Internet und vor allem Amazon begannen, die Buchhandlungen zu erdrücken. Die einzige Möglichkeit, ein Buch auf Französisch zu kaufen, bestand darin, in dem Dorf, in dem meine Eltern wohnten, in den kleinen Laden zu gehen, der eine Kombination aus Schreibwarenladen, Buchhandlung und Seelsorge war. Der Vorgang war völlig analog: Ich ging mit dem Autor und dem Titel des Buches auf einem Stück Papier in den Laden, die Ladenbesitzerin schrieb es auf ein anderes Stück Papier und bestellte es dann per Telefon bei ihrem Lieferanten, der es wahrscheinlich wieder auf ein anderes Stück Papier schrieb. Als ich im Laden war, warnte mich die Chefin bereits, dass es "vielleicht ein bisschen" dauern würde. Nach ein paar Wochen dachte ich, dass die Buchhändlerin oder ihr Lieferant mein Buch vergessen hatten, und beschloss, damit zu leben.<br><br>Als ich selbst meine Bestellung auch vergessen hatte, bekam ich einen Anruf vom Laden, dass mein Buch angekommen war. Aus heutiger Sicht grenzt das an ein Wunder. Aber ich war gezwungen, die Anstrengungen, ein einziges französisches Buch auf das platte österreichische Land zu liefern, großzügig zu vergüten. Dieser Geschäftsfall führte wahrscheinlich zu einer Umsatzspitze des kleinen Ladens. <br><br>Heute ist diese Art des Einkaufs einfach und schnell. Man wählt aus, lädt herunter, bezahlt und kann innerhalb von fünf Minuten mit dem Lesen beginnen. Das ist praktisch und die Preise sind angemessen. Es fehlt jedoch etwas: das Gefühl, endlich ein Buch in den Händen zu halten, von dem man davor nur den Titel kannte.<br><br>"Die Schweiz wäscht weißer" ist ein Buch, das von einem Schweizer Soziologen geschrieben wurde, der an der Universität Genf lehrt und gewisse sozialistische und kommunistische Tendenzen aufweist. Doch, das gibt es. Das Buch beschreibt und beklagt die von den Schweizer Banken begangenen Wirtschaftsverbrechen. Obwohl mir das Buch gefiel, als ich es zum ersten Mal las, wurde ich nicht zum Revolutionär. Vor ein paar Tagen hielt ich es in der Hand und blätterte ein wenig darin herum. Meiner Meinung nach ist es zu polemisch, auch wenn der Autor mit dem, was er schreibt, Recht hat. Das Buch ist auch ein Zeugnis eines meiner Kämpfe mit der französischen Sprache: Zahlreiche Markierungen, Unterstreichungen und Notizen zum Wortschatz zeigen die Herausforderung, die dieses Buch für einen einfachen Gymnasiasten darstellte. Heute lese ich es mit Leichtigkeit.</p>
La Suisse lave plus blanc
Il y a quelques années, j'avais envie de lire un livre en français.
Les livres choisis par les professeurs ne m'intéressaient pas, c'est pourquoi je décidais de me permettre la dépense pour achete’offrir un livre avec le titre « La Suisse lave plus blanc ». / j’ai décidé d’acheter un livre / un livre avec pour titre / un livre intitulé
C'était bien avant la période où l'(l’)internet et surtout Amazon commençaient à écraser les librairies. / C'était bien avant la période où Internet et surtout Amazon ne commencent à écraser les librairies.
La seule manière d'acheter un livre en français était d'aller au petit magasin qui combinait papeterie, librairie et aumônerie dans le village où habitaient mes parents. / La seule manière d'acheter un livre en français était d'aller au petit magasin du village où habitaient mes parents, qui combinait papeterie, librairie et aumônerie.
(Le processus était complètement analogique: :) j'y suis allé avec le nom de l'auteur et le titre du livre écrits sur un bout de papier, la patronne du magasin les a écrits sur un autre bout de papier et ensuite elle l’a commandé par téléphone à son fournisseur qui les a probablement les a écrits encore(à son tour) sur un autre bout de papier.
The first part of your sentence is grammatically correct but I don’t think any native speaker would use it in this context.
(Quand j'étais dans le magasin, la patronne m'avertissait déjà que "« peut -être" » ça va prendrait « un peu » de temps. ) / Quand j'étais dans le magasin, la patronne m’avait déjà prévenu que ça prendrait « peut-être "un peu" de temps ».
Après quelques semaines, je pensais que la libraire ou son fournisseur avaient oublié mon livre et je décidais de vivre avec.
QuandAlors que j'’avais moi-même oublié ma commande moi-même aussi, je recevais un coup de fil du magasin pour me dire que mon livre avétait arrivé.
Du point de vue d'aujourd'hui, (cecila avoisine à unle miracle) / cela tient du miracle / cela frise le miracle.
Mais j'étais obligé àde reétribuer généreusement les efforts pour fournide livrer un seul livre français en rase campagne autrichienne.
Cette opération a probablement mené aà une hausse / entraîné une hausse temporaire dans lesu chiffres d'affaires du petit magasin.
Aujourd'hui, ce type d'achats est simple et vitrapide.
On choisit, télécharge, paie et la lecture peut commencer dans les cinq minutes.
C'est pratique et les prix sont raisonnables.
Il manque quand- même une petite chose : l'émotion de finalement tenir dans ses mains un livre dont on ne connaissait préalablement que le titre.
« La Suisse lave plus blanc » est un livre écrit par un sociologue suisse, professeur à l'université de Géenève avec des certaines tendances socialistes et communistes.
Si si, ça existe.
Le livre décrit et déplore les crimes économiques commis par les banques suisses.
Malgré(Bien que j'aie bien aimé) / Même si j'’aie bien aimé le livre quand je le lisais’ai lu pour la première fois, je ne suis pas devenu révolutionnaire.
Je pense qu'il est trop polémique même si l'auteur ait raison ensur ce qu'il écrit.
Le livre est aussi un témoin / le témoignage d'une de mes batailles avec la langue française : de numéombreux marquages, soulignements et notes concernant le vocabulaire montrent le défi que ce livre àa posé à un simple lycéen.
Aujourd'hui, je lis çae lis avec facilité.
La Suisse lave plus blanc This sentence has been marked as perfect! |
Il y a quelques ans, j'avais envie de lire un livre en français. Il y a quelques années, j'avais envie de lire un livre en français. |
Les livres choisis par les professeurs ne m'intéressaient pas, c'est pourquoi je décidais de me permettre la dépense pour acheter un livre avec le titre « La Suisse lave plus blanc ». Les livres choisis par les professeurs ne m'intéressaient pas, c'est pourquoi je décidais de m |
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Le processus était complètement analogique: j'y suis allé avec l'auteur et le titre du livre écrit sur un bout de papier, la patronne du magasin les a écrits sur un autre bout de papier et ensuite elle a commandé par téléphone à son fournisseur qui probablement les a écrits encore sur un autre bout de papier. (Le processus était complètement analogique The first part of your sentence is grammatically correct but I don’t think any native speaker would use it in this context. |
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Le livre est aussi un témoin d'une mes batailles avec la langue française : de numéreux marquages, soulignements et notes concernant le vocabulaire montrent le défi ce livre à posé à un simple lycéen. Le livre est aussi un témoin / le témoignage d'une de mes batailles avec la langue française : de n |
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