Je regarde les infos à la télé presque tous les jours, mais je ne pense pas que la situation actuelle deu COVID au Japon s'y fay soit bien couvrirerte.

En tant que jJaponaise qui suist les nouvelles françaises et japonaises, je voudrais essayer d'écrire sur la catastrophe qui se déroule maintenant au Japon.

"En tant que Japonaise" devient 3ème personne du singulier, même si vous parlez de vous-même.
"En tant que Français qui aime le vin et en boit tous les jours, je ne pense pas que cette chose soit du vin".

Récemment, le premier ministre Suga a annoncé que les patients du COVID au niveaude gravité moyenne devaient rester et se rétablir chez eux.

L'annonce signifie qu'il n'y a plus de lits pour les patients japonais atteints du COVID, surtout dans la région du Kanto dont l'une des départementpréfectures est Tokyo.

En français, on ne désigne pas les préfectures comme Kagoshima, Chiba... comme des "départements". Je ne pense pas qu'il existe de termes spécifiques pour différencier Tokyo, Hokkaido, ou Osaka qui ont un statut spécifique au Japon. On dit juste "préfecture".

J'ai précisé que c'était les patients « japonais », parce que les athlètes qui sont testés positifs ici au Japon sont hospitalisés sans problème, quel que soit le niveau de gravité des symptomômes.

Que veut dire alors la"de gravité au niveau moyenne" ?

Selon les explications du ministère qui s'occupe du domain de la santé, ilcela désigne les symptoms qu'on se sent fatigué quand on respire, qu'on a besoin d'oxygen pour respirer et qu'on observe le pneumoniômes de pneumonie et de détresse respiratoire légerères.

"détresse respiratoire" : terme médical désignant l'essoufflement, la difficulté à respirer.

Ce qui est effrayeant, c'est que la vitesse de dé'aggradvation de cette maladie.

Une maladie s'aggrave, l'état de santé se dégrade.

Plein de patients, ldes médiecines et ldes infirmiers ont déjà fait des témoignagesé que l'état se dégénère très rapidement, ce qui explique la raison pour laquelle il doit y avoir des personnes qui s'occupent les patients.

Après être passé par ce niveaustade, on atteint le niveau'état le plus grave du COVID, ce qui nécessite leun traitement à l'unité des soins intensifs.

Pour les maladies, on parle plus souvent de stades. Ex : cancer stade 4.

Si on reçoit des traitements appropriés au niveaustade de gravité moyenne, il est plus envisageprobable qu'on peutuisse échapper à la forme grave.

Pourtant, le gouvernement a décrété qu'il ne préparfera rien pour les patients à ce niveau-là.

Si leurs symptomômes progressent, ils ne peuveourront rien y faire maisà part mourir.

AUn autre aspect du problème est le nombre de testes à repérpour diagnostiquer le COVID.

Tokyo, où ont lieu les Jeux Olympiques actuellement, recense environ 4.000 patientmalades par jour, ce qui représente environ 40% des patients au total au Japon.

"Patient" suggère que c'est le nombre de personnes hospitalisées (par jour). Je suppose qu'ils sont juste diagnostiqués positifs au Covid.

Toutefois, le nombre de testes PCR et due testes antigénique est de 17.000 au maximum, alors qu'en France 300.000 à 500.000 des tests sont effectués tous les jours.

Bien sûr que la France compte plus de patients du COVID, mais : c'est bien normal compte tenu du nombre des testes.

Quand on considère lae taux de positivité à Tokyo, la situation est vraiment plus grave que ce qu'il'il n'y paraît.

Il y a des journalistes français qui habitent au Japon et qui essayent de faire passer ces faits, mais ça a l'air insuffisant vu le contenu de presse actuelactuel de la presse à Paris.

Je redoute cette situation, surtout à proposcause de ma mère.

Si elle contractait le COVID et devait rester chez elle soi-mêmtoute seule chez elle ?

Heureusement elle a déjà faitété vaccinéer avec le schéma complet, mais ça n'assure pas l'immunité à 100 %.

J'espère que la situation va s'améliorer, mais ça sera difficile sous la condition quecar le gouvernement japonais me semble provoquer des cauchemars soi-mêmtout faire afin de ne pas résoudre des problèmes.

Je n'ai pas très bien compris le passage avec les cauchemars, je suppose que c'est la traduction d'une expression japonaise, mais ça marche rarement (dans un sens ou dans l'autre).

Selon les explications du ministère qui s'occupe du domain de la santé, il désigne les symptoms qu'on se sent fatigué quand on respire, qu'on a besoin d'oxygen pour respirer et qu'on observe lea pneumonie légere.

Plein de patients, les médicines et les infirmiers ont déjà fait des témoignages que l'état se dégénère très rapidement, ce qui explique la raison pour laquelle il doit y avoir des personnes qui occupent les patients.

Pourtant, le gouvernement a décrété qu'il ne préparer rien pour les patients à ce niveau-là.

Si leurs symptoms progressent, ils ne peuvent rien y faire maissauf mourir.

Quand on considère lae taux de positivité à Tokyo, la situation est vraiment grave que ce qu'il paraît.

Heureusement elle as'est déjà fait vacciner avec le schéma complet, mais ça n'assure pas l'immunité à 100 %.