Parmi mes sujets(matières ?), j'ai eu plusieurs cours de philosophie, et j'ai été un an au Japon où j'ai étudié la phénoménologie.

Je n'ai pas compris ce que vous vouliez dire par "sujet", mais ça ne fonctionne pas dans cette phrase. Même "matières" ne fonctionne pas, parce que si quelque chose est une matière, on a plus que quelques cours. Est-ce qu'il y a plusieurs matières parmi les vôtres qui sont différentes branches de la philosophie?

J'ai toujours adoré la philosophie, mais je comprends que ce n'est pas un sujete discipline pour tout le monde.

Un "sujet" c'est par exemple une question ou un intitulé auquel il faut répondre par une dissertation, donc ce n'est pas comme une matière.

Elle, biologiste, trouvait que la philosophie esétait inutile, ou au minimum n'aqu'elle n'avait pas sa place à l'université.

Étrange avis!

Selon elle, une vrai article de recherche/une vraie publication devrait toujours avoise baser sur des données, des hypothèses vérifiables et des observations.

Le sens de "recherche" en français est trop vague pour être valide ici - on peut rechercher le bonheur, rechercher sur google, etc.

D'un côté, je comprends son point de vue ; il y a une différence entre les "sciences dures" et celles dsciences humaines/les "sciences molles".

De l'autre côté, cette perspective étroite me gêne.

La forme "d'un côté... de l'autre..." est consacrée, donc pas besoin de répéter "côté".

D'abord, il y a la possibilité de faest bien possible de produire une bonne recherche de qualité sans sces conditions, si on suit une méthode correcte.

"avoir la possibilité de" s'utilise lorsqu'il y a un choix. Ex : "il avait la possibilité d'aller travailler à Strasbourg, mais il a préféré rester à Paris". Ici on ne se pose pas vraiment la question entre produire un article de qualité et produire un article bâclé, de mauvaise qualité.

De plus, àen cette époque de division, je suis convaincu ((qu'une nuance scientifique aie son mérite??)).

Je n'ai pas compris le sens de la fin de votre phrase.