atomcdismantling's avatar
atomcdismantling

Feb. 9, 2023

1
LA MALÉDICTION DU PALAIS SOUS-MARIN (2)

Auparavant, j'ai écrit sur l'histoire de Urashima Tarō, qui est descendu dans la mer pour visiter le palais sous-marin. Tarō y avait passé un séjour époustouflant de trois jours, mais quand il est retourné à son village, le fait que trois siècles s'étaient écoulés à la surface l'a bouleversé. Submergé par le chagrin, il a fini par ouvrir le coffret donné par la princesse du palais sous-marin, malgré l'avertissement à ne pas l'ouvrir. Une fois le coffret ouvert, Tarō s'est transformé instantanément en vieil homme au bord de la mort. J'ai également discuté de deux scénarios possibles sur ce qui se passerait après que Tarō est devenu un vieillard. Comme promis, maintenant je vais vous présenter les leçons qu'on peut tirer de ce conte de fées japonais.

En premier lieu, on peut toujours faire fausse route bien qu'on ait choisi la bonne route. Dans l'histoire, Tarō a résisté à la cruauté envers les animaux en sauvant la tortue maltraitée. Cela constituait sans aucun doute un geste noble. Selon la loi du Karma, il est tout naturel que Tarō aurait gagné la récompense pour sa bonté. Toutefois, le contraire s'est produit. Tarō, qui avait sauvé une vie, a fini par perdre sa propre vie d'une façon tragique. Donc, cette histoire nous enseigne à ne pas nous attendre à un heureux concours de circonstances même après qu'on mène une vie vertueuse et a fait une tonne de bonnes œuvres.

Deuxièmement, il ne faut pas oublier nos bien-aimés. Même si la durée de son aventure sous la mer avait aussi duré trois jours à la surface, la décision de Tarō de laisser sa vieille mère seule n'aurait pas du tout été sage. Maintenant, je n'habite pas sous le même toit que ma mère. Si aujourd'hui je ne lui envoie pas de message, elle perdra la tête ! Comme comment la vie au palais sous-marin avait ensorcelé Tarō au point qu'il a oublié sa mère, on a parfois aussi des travaux ou des hobbies qui nous font faire peu de cas de notre famille ou nos amis. Il n'y a rien de mal avec travailler sur ce qu'on aime, mais si ça nous fait oublier l'heure et les gens autour de nous, nous devons faire attention.

La troisième morale est qu'il ne faut pas répondre à l'appel de « l'autre côté ». Je trouve que cette morale est plutôt culturelle et spirituelle. Tarō aurait dû rejeter l'invitation de l'empereur de la mer car un homme mortel ne devrait pas s’intéresser aux affaires des dieux. Quand Tarō s'est plongé dans la mer, il a franchi le point de non-retour. Il ne pourrait plus vivre comme un être humain normal. Je ne sais pas si vous arrivez à comprendre cette morale. En Indonésie, j'ai entendu parle des histoires similaires de personnes qui ont rêvé de retrouver leurs amis ou leurs membres de la famille morts quand ils étaient en état comateux. La raison pour laquelle ils s'étaient réveillés et ont donc pu raconter leurs histoires, c'est parce qu'ils ont dit « non » quand leurs bien-aimés morts les avaient invités à les « rejoindre ». J'admets que cette morale n'a pas vraiment de sens, mais à chacun son goût !

Corrections

LA MALÉDICTION DU PALAIS SOUS-MARIN (2)

Auparavant, j'ai écrit surJ'ai déjà raconté l'histoire de 'Urashima Tarō, qui est descendu dans la mer pour visiter le palais sous-marin.

Avec « histoire » comme objet, le mieux est d'utiliser le verbe « raconter ». « Écrire sur l'histoire » ne se dit pas trop
de+voyelle => d'

Tarō y avait passé un séjour époustouflant de trois jours, mais quand il est retourné à son village, le faitil a été bouleversé de voir/constater que trois siècles s'étaient écoulés à la surface l'a bouleversé.

Syntaxe bien plus naturelle

Submergé par le chagrin, il a fini par ouvrir le coffret donné/offert par la princesse du palais sous-marin, malgré l'avertissement à ne pas l'ouvrcontraire.

Vous pouvez utiliser « contraire » pour éviter les répétitions et simplifier

Une fois le coffret ouvert, Tarō s'est transformé instantanément en vieil homme au bordseuil de la mort.

"on the threshold of death", c'est souvent « au seuil de la mort » ou « à l'article de la mort » (la dernière expression figée est plutôt commune)

J'ai également discuté deévoqué deux scénarios possibles sur ce qui a pu se passerait après que Tarō est devenu un vieillard.

« discuter de » sous-entend l'idée d'échange, de débat. « Évoquer » c'est mentionner ; ça irait bien ici
On part du principe que les événements des légendes (présentés comme vrai) sont vraiment arrivés dans le passé (une des deux hypothèses s'est de toute façon réalisée) => ce qui a pu se passer

Comme promis, maintenant je vais vous présenter les leçons qu'on peut tirer de ce conte de fées japonais.

En premier lieu, on peut toujours faire fausse route bien qu'on ait choisi lae bonne route chemin.

Je dirais plutôt « la bonne voie » ou « le bon chemin », pour une "way" au sens figuré

Dans l'histoire, Tarō a résisté àcombattu la cruauté envers les animaux en sauvant la tortue maltraitée.

Cela constituait sans aucun doute un geste noble.

Selon la loi du Kkarma, il estaurait été tout naturel que Tarō aurait gagné lasoit récompenseé pour sa bonté.

« karma » n'est pas considéré comme un nom propre en français
C'était le fait d'être naturel en soi qui est une hypothèse passée non réalisée => conditionnel passé
Il est naturel que + subjonctif (normalement on aurait le subjonctif imparfait, mais ce temps est totalement obsolète en français, donc on utilise le présent)

Toutefois, c'est le contraire qui s'est produit.

La structure emphatique « c'est/qui » serait très adaptée ici

Tarō, qui avait sauvé une vie, a fini par perdre sla propre vie d'unsienne de façon tragique.

« la sienne » pour éviter les répétitions

Donc, cette histoire nous enseigne à ne pas nous attendre à un heureux concours de circonstancesdénouement, même après qu'on mèneavoir mené une vie vertueuse et a fait une tonnmultitude de bonnes œuvres.

«un heureux concours de circonstances » veut dire une suite d'événements heureux, souvent apportés par le hasard, ce qui ne correspond donc pas à un concept comme le karma, qui est au contraire un lien de causalité.
un dénouement = une fin, après une série d'événements et de rebondissements
Le sujet sémantique est clair à la fin, donc mieux vaut utiliser une structure infinitive => avoir mené

Deuxièmement, il ne faut pas oublier nos bien-aiméproches.

Un « bien-aimé » en français moderne, c'est plutôt un(e) amant(e), un(e) amoureux/-se
"a loved one" c'est « un(e) proche »

Même si la durée de son aventure sous la mer avait aussi duré trois jours à la surface, la décision de Tarō de laisser sa vieille mère seule n'aurait pas du tout été sage.

Si aujourd'huCependant, si je ne lui envoie pas de message, elle aujourd'hui, elle va perdre/perdra la tête !

Si vous êtes sûr de lui envoyer des messages aujourd'hui, vous devriez traiter du fait de ne pas lui en envoyer comme une hypothèse peu probable. Moi j'écrirais vraiment « si je ne lui ENVOYAIS pas de message aujourd'hui, elle PERDRAIT la tête »

Comme comment la vie au palais sous-marin, qui avait ensorcelé Tarō au point qu'il ad'en oubliéer sa mère, on a parfois aussi des travauxchoses à faire/des tâches ou des hobbies qui nous font faire peu de cas de notre famille ou (de) nos amis.

« Comme comment » c'est vraiment à éviter ! Mieux vaut utiliser comme + nom puis faire une relative, comme dans la seconde proposition
« au point d'en oublier », même remarque que précédemment sur les structures infinitives

Il n'y a rien de mal avecà travailler sur ce qu'on aime, mais si ça nous fait oublier l'heure et les gens autour de nous, nous devonson doit faire attention.

there's nothing wrong with doing something = il n'y a pas de mal à faire qqch
« on doit » pour la même raison que tous les « on » précédents (groupe abstrait)

La troisième morale est qu'il ne faut pas répondre à l'appel de « l'autre côté ».

Je trouve que cette morale est plutôt culturelle et spirituelle.

Tarō aurait dû rejeter l'invitation de l'empereur de la mer car un homme mortel ne devrait pas s’intéresser aux affaires des dieux.

Quand Tarō s'esta plongé dans la mer, il a franchi le point de non-retour.

On plonge dans quelque chose de manière concrète, on SE plonge dans quelque chose au sens figuré

Il ne po'aurrait plusu été capable de vivre comme un être humain normal.

Hypothèse improbable (« être capable ») non réalisée dans le passé => conditionnel passé

Je ne sais pas si vous arrivez à comprendre cette morale.

En Indonésie, j'ai entendu parleé des 'histoires similaires de personnes qui ont rêvé de retrouver leurs amis ou leurs membres de la famille décédés/morts quand ils étaient en étatdans le comateux.

La raison pour laquelle ils s'étaiee sont réveillés et ont donc pu raconter leurs histoires, c'est parce qu'ils ont dit « non » quand leurs bien-aiméproches morts les avaient/ont invités à les « rejoindre ».

« ils s'étaient réveillés » nécessiterait « ils avaient dit "non"» (deux événements postérieurs à une perspective narrative passée qui serait « entendre parler »)
Vous n'êtes cependant pas obligé, je trouverais ça plus simple et plus naturel de considérer « se réveiller » à partir du moment présent de l'énonciation

J'admets que cette morale n'a pas vraiment de sens, mais à chacun sones goûts !

L'expression figée est toujours au pluriel

Feedback

Pour moi, il n'y a aucun souci de karma : Tarô a sauvé la princesse donc a été invité à vivre parmi les dieux, mais il a décidé de repartir de son propre chef, PUIS d'ouvrir la boîte, donc il en a payé le prix. Finalement, c'est l'attachement à sa vie terrestre qui l'a condamné (très bouddhiste comme vision des choses !)

En Europe, il y a beaucoup de légendes traitant de mortels qui ont eu des soucis avec les dieux. L'humain le plus célèbre dans cette catégorie est sans doute Pâris, qui a condamné Troie le jour même où il s'est permis d'arbitrer entre les trois déesses Héra, Athéna et Aphrodite. Je trouverais ça bizarre que ce soit l'explication d'une légende japonaise, cependant. Le Japon vit selon le shintoïsme, qui est un panthéisme. Les dieux sont partout autour de nous. Derrière chaque arbre, chaque rivière, il peut y avoir un kami. Cela dit, c'est vrai que dans toutes les cultures, il y a globalement cette idée que les puissances supérieures nous dépassent (par définition) et qu'il ne faut pas trop les titiller... Donc qui sait !

atomcdismantling's avatar
atomcdismantling

Feb. 11, 2023

1

Merci d'avoir corrigé mon entrée et d'avoir partagé vos opinions !
Cette fois, j'ai quatres questions :
1. Quelle préposition accompagne « l'avertissement » ? Par exemple, « l'avertissement à ne pas l'ouvrir » ou « l'avertissement de ne pas l'ouvrir » ? Je sais que vous avez corrigé ma phrase originale, mais je voudrais savoir la réponse.
2. Comme la vie au palais sous-marin, qui avait ensorcelé Tarō au point d'en oublier sa mère...
À quoi se réfère « en » dans cette phrase ?
3. En Indonésie, j'ai entendu parlé d'histoires similaires de...
L'expression figée est « entendre parler », n'est-ce pas?
4. Pouvez-vous me donner des phrases d'exemple utilisant « faire peu de cas de » ? À vrai dire, je ne suis pas trop ce que ça veut dire.

Je trouve qu'il est plus difficile de choisir le bon temps quand on parle d'hypothèses dans le passé, surtout les hypothèses dans le context d'une légende ! En tout cas, merci d'avoir fait la lumière sur ce point de grammaire difficile !

Monsieur_Elephant's avatar
Monsieur_Elephant

Feb. 11, 2023

33

1) « de », quand cela introduit un groupe verbal. Avec un nom, vous pouvez trouver « un avertissement SUR (les effets secondaires d'un médicament, par exemple) » et c'est évidemment le « sur » qui signifie "about"
2) Cela se réfère à la cause qui entraîne l'oubli d'une chose. C'est plus stylistique qu'autre chose, mais néanmoins, dans un style un peu formel, c'est obligatoire.
3) Oui. En fait, quand vous « entendez parler », vous entendez des gens qui parlent d'une chose, donc infinitif. Il n'y a aucune action achevée.
4) faire peu de cas de = ne pas se préoccuper de, ne pas tenir compte de, mépriser. C'est une expression un tantinet vieillie.
Je reprends l'exemple du Wiktionnaire: « À l'école, on faisait peu de cas de lui. Les professeurs le considéraient comme un élève médiocre et ses camarades se moquaient de ses vêtements trop justes ou ravaudés. »

Disons que dans votre phrase, l'expression n'était pas fausse en soi (bien que je ne l'aie jamais vue utilisée avec un factifif), mais il y avait de bien meilleures alternatives.

Et de rien !

atomcdismantling's avatar
atomcdismantling

Feb. 12, 2023

1

Merci beaucoup pour vos réponses !

LA MALÉDICTION DU PALAIS SOUS-MARIN (2)

Auparavant, j'ai écrit surà propos de l'histoire de Urashima Tarō, qui esétait descendu dans la mer pour visiter le palais sous-marin.

Auparavant rend la phrase très vielle histoire. Je mettrais "avant cela"

Submergé par le chagrin, il a fini par ouvrir le coffret que lui avait donné par la princesse du palais sous-marin, malgré l'son avertissement àde ne pas l'ouvrir.

Une fois le coffret ouvert, Tarō s'est transformé instantanément en un vieil homme au bord de la mort.

J'ai également discuté de deux scénarios possibles sur ce qui se passerait après lorsque Tarō estserais devenu un vieillard.

Comme promis, je vais maintenant je vais vous présenter les leçons qu'on peut tirer de ce conte de fées japonais.

En premier lieu, on peut toujours faire fausse route bien que l'on ait choisi la bonne route.

Pas besoin de répétition sur le mot route. En Français, on essaye autant que possible d'éviter les répétitions.

Dans l'histoire, Tarō a résisté à la cruauté envers les animaux en sauvant la tortue maltraitée.

Cela constituait sans aucun doute un geste noble.

Selon la loi du Karma, il eserait tout naturel que Tarō auraiest gagné la récompense pour sa bonté.

le conditionnel sonne mieux sur le premier verbe

Toutefois, le contraire s'est produit.

Tarō, qui avait sauvé une vie, a fini par perdre sa propre vie d'une façon tragique.

Donc, cette histoire nous enseigne àde ne pas nous attendre à un heureux concours de circonstancesdénouement, même après que l'on mène une vie vertueuse et a fait une tonneque l'on est fait pleins de bonnes œuvres.

heureux concours de circonstances ne fait pas très naturel

Deuxièmement, il ne faut pas oublier nos bien-aimésêtres cher.

Bien-aimé est plus utilisé pour son amoureux ou son amoureuse

Même si la durée de son aventure sous la mer n'avait aussi duré que trois jours à la surface, la décision de Tarō de laisser sa vieille mère seule à la surface n'aurait pas du tout étéété très sage.

MaintenantA l'heure actuelle, je n'habe vite pas sous le même toit queavec ma mère.

Si aujourd'hui je ne lui envoie pas de message, elle perdra la tête !

Comme comment la vie au palais sous-marin avait ensorcelé Tarō, au point qu'il aen est oublié sa mère, o. On a parfois aussi des travaux ou des hobbies qui nous font faire peu de cas deoublier notre famille ou nos amis.

Il n'y a rien de mal avec travailler sur ce qu'on aime, mais si ça nous fait oublier l'heure et les gens autour de nous, nous devons faire attention.

La troisième morale est qu'il ne faut pas répondre à l'appel de « l'autre côté ».

Je trouve que cette morale est plutôt culturelle et spirituelle.

Tarō aurait dû rejeter l'invitation de l'empereur de la mer car un homme mortel ne devrait pas s’intéresser aux affaires des dieux.

Quand Tarō s'est plongé dans la mer, il a franchi le point de non-retour.

Il ne pourrait plus vivre comme un être humain normal.

Je ne sais pas si vous arrivez à comprendre cette morale.

En Indonésie, j'ai entendu parler des 'histoires similaires, de personnes qui ont rêvé de retrouver leurs amis ou leurs membres de laeurs familles morts quand ils étaient en étatdans le comateux.

J'admets que cette morale n'a pas vraiment de sens, mais à chacun son goût !

atomcdismantling's avatar
atomcdismantling

Feb. 11, 2023

1

Merci beaucoup pour les corrections. Bonne journée !

Maintenant, je n'habite pas sous le même toit que ma mère.


MaintenantA l'heure actuelle, je n'habe vite pas sous le même toit queavec ma mère.

LA MALÉDICTION DU PALAIS SOUS-MARIN (2)


This sentence has been marked as perfect!

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Auparavant, j'ai écrit sur l'histoire de Urashima Tarō, qui est descendu dans la mer pour visiter le palais sous-marin.


Auparavant, j'ai écrit surà propos de l'histoire de Urashima Tarō, qui esétait descendu dans la mer pour visiter le palais sous-marin.

Auparavant rend la phrase très vielle histoire. Je mettrais "avant cela"

Auparavant, j'ai écrit surJ'ai déjà raconté l'histoire de 'Urashima Tarō, qui est descendu dans la mer pour visiter le palais sous-marin.

Avec « histoire » comme objet, le mieux est d'utiliser le verbe « raconter ». « Écrire sur l'histoire » ne se dit pas trop de+voyelle => d'

Tarō y avait passé un séjour époustouflant de trois jours, mais quand il est retourné à son village, le fait que trois siècles s'étaient écoulés à la surface l'a bouleversé.


Tarō y avait passé un séjour époustouflant de trois jours, mais quand il est retourné à son village, le faitil a été bouleversé de voir/constater que trois siècles s'étaient écoulés à la surface l'a bouleversé.

Syntaxe bien plus naturelle

Submergé par le chagrin, il a fini par ouvrir le coffret donné par la princesse du palais sous-marin, malgré l'avertissement à ne pas l'ouvrir.


Submergé par le chagrin, il a fini par ouvrir le coffret que lui avait donné par la princesse du palais sous-marin, malgré l'son avertissement àde ne pas l'ouvrir.

Submergé par le chagrin, il a fini par ouvrir le coffret donné/offert par la princesse du palais sous-marin, malgré l'avertissement à ne pas l'ouvrcontraire.

Vous pouvez utiliser « contraire » pour éviter les répétitions et simplifier

Une fois le coffret ouvert, Tarō s'est transformé instantanément en vieil homme au bord de la mort.


Une fois le coffret ouvert, Tarō s'est transformé instantanément en un vieil homme au bord de la mort.

Une fois le coffret ouvert, Tarō s'est transformé instantanément en vieil homme au bordseuil de la mort.

"on the threshold of death", c'est souvent « au seuil de la mort » ou « à l'article de la mort » (la dernière expression figée est plutôt commune)

J'ai également discuté de deux scénarios possibles sur ce qui se passerait après que Tarō est devenu un vieillard.


J'ai également discuté de deux scénarios possibles sur ce qui se passerait après lorsque Tarō estserais devenu un vieillard.

J'ai également discuté deévoqué deux scénarios possibles sur ce qui a pu se passerait après que Tarō est devenu un vieillard.

« discuter de » sous-entend l'idée d'échange, de débat. « Évoquer » c'est mentionner ; ça irait bien ici On part du principe que les événements des légendes (présentés comme vrai) sont vraiment arrivés dans le passé (une des deux hypothèses s'est de toute façon réalisée) => ce qui a pu se passer

Comme promis, maintenant je vais vous présenter les leçons qu'on peut tirer de ce conte de fées japonais.


Comme promis, je vais maintenant je vais vous présenter les leçons qu'on peut tirer de ce conte de fées japonais.

This sentence has been marked as perfect!

En premier lieu, on peut toujours faire fausse route bien qu'on ait choisi la bonne route.


En premier lieu, on peut toujours faire fausse route bien que l'on ait choisi la bonne route.

Pas besoin de répétition sur le mot route. En Français, on essaye autant que possible d'éviter les répétitions.

En premier lieu, on peut toujours faire fausse route bien qu'on ait choisi lae bonne route chemin.

Je dirais plutôt « la bonne voie » ou « le bon chemin », pour une "way" au sens figuré

Dans l'histoire, Tarō a résisté à la cruauté envers les animaux en sauvant la tortue maltraitée.


This sentence has been marked as perfect!

Dans l'histoire, Tarō a résisté àcombattu la cruauté envers les animaux en sauvant la tortue maltraitée.

Cela constituait sans aucun doute un geste noble.


This sentence has been marked as perfect!

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Selon la loi du Karma, il est tout naturel que Tarō aurait gagné la récompense pour sa bonté.


Selon la loi du Karma, il eserait tout naturel que Tarō auraiest gagné la récompense pour sa bonté.

le conditionnel sonne mieux sur le premier verbe

Selon la loi du Kkarma, il estaurait été tout naturel que Tarō aurait gagné lasoit récompenseé pour sa bonté.

« karma » n'est pas considéré comme un nom propre en français C'était le fait d'être naturel en soi qui est une hypothèse passée non réalisée => conditionnel passé Il est naturel que + subjonctif (normalement on aurait le subjonctif imparfait, mais ce temps est totalement obsolète en français, donc on utilise le présent)

Toutefois, le contraire s'est produit.


This sentence has been marked as perfect!

Toutefois, c'est le contraire qui s'est produit.

La structure emphatique « c'est/qui » serait très adaptée ici

Tarō, qui avait sauvé une vie, a fini par perdre sa propre vie d'une façon tragique.


This sentence has been marked as perfect!

Tarō, qui avait sauvé une vie, a fini par perdre sla propre vie d'unsienne de façon tragique.

« la sienne » pour éviter les répétitions

Donc, cette histoire nous enseigne à ne pas nous attendre à un heureux concours de circonstances même après qu'on mène une vie vertueuse et a fait une tonne de bonnes œuvres.


Donc, cette histoire nous enseigne àde ne pas nous attendre à un heureux concours de circonstancesdénouement, même après que l'on mène une vie vertueuse et a fait une tonneque l'on est fait pleins de bonnes œuvres.

heureux concours de circonstances ne fait pas très naturel

Donc, cette histoire nous enseigne à ne pas nous attendre à un heureux concours de circonstancesdénouement, même après qu'on mèneavoir mené une vie vertueuse et a fait une tonnmultitude de bonnes œuvres.

«un heureux concours de circonstances » veut dire une suite d'événements heureux, souvent apportés par le hasard, ce qui ne correspond donc pas à un concept comme le karma, qui est au contraire un lien de causalité. un dénouement = une fin, après une série d'événements et de rebondissements Le sujet sémantique est clair à la fin, donc mieux vaut utiliser une structure infinitive => avoir mené

Deuxièmement, il ne faut pas oublier nos bien-aimés.


Deuxièmement, il ne faut pas oublier nos bien-aimésêtres cher.

Bien-aimé est plus utilisé pour son amoureux ou son amoureuse

Deuxièmement, il ne faut pas oublier nos bien-aiméproches.

Un « bien-aimé » en français moderne, c'est plutôt un(e) amant(e), un(e) amoureux/-se "a loved one" c'est « un(e) proche »

Même si la durée de son aventure sous la mer avait aussi duré trois jours à la surface, la décision de Tarō de laisser sa vieille mère seule n'aurait pas du tout été sage.


Même si la durée de son aventure sous la mer n'avait aussi duré que trois jours à la surface, la décision de Tarō de laisser sa vieille mère seule à la surface n'aurait pas du tout étéété très sage.

This sentence has been marked as perfect!

Si aujourd'hui je ne lui envoie pas de message, elle perdra la tête !


This sentence has been marked as perfect!

Si aujourd'huCependant, si je ne lui envoie pas de message, elle aujourd'hui, elle va perdre/perdra la tête !

Si vous êtes sûr de lui envoyer des messages aujourd'hui, vous devriez traiter du fait de ne pas lui en envoyer comme une hypothèse peu probable. Moi j'écrirais vraiment « si je ne lui ENVOYAIS pas de message aujourd'hui, elle PERDRAIT la tête »

Comme comment la vie au palais sous-marin avait ensorcelé Tarō au point qu'il a oublié sa mère, on a parfois aussi des travaux ou des hobbies qui nous font faire peu de cas de notre famille ou nos amis.


Comme comment la vie au palais sous-marin avait ensorcelé Tarō, au point qu'il aen est oublié sa mère, o. On a parfois aussi des travaux ou des hobbies qui nous font faire peu de cas deoublier notre famille ou nos amis.

Comme comment la vie au palais sous-marin, qui avait ensorcelé Tarō au point qu'il ad'en oubliéer sa mère, on a parfois aussi des travauxchoses à faire/des tâches ou des hobbies qui nous font faire peu de cas de notre famille ou (de) nos amis.

« Comme comment » c'est vraiment à éviter ! Mieux vaut utiliser comme + nom puis faire une relative, comme dans la seconde proposition « au point d'en oublier », même remarque que précédemment sur les structures infinitives

Il n'y a rien de mal avec travailler sur ce qu'on aime, mais si ça nous fait oublier l'heure et les gens autour de nous, nous devons faire attention.


This sentence has been marked as perfect!

Il n'y a rien de mal avecà travailler sur ce qu'on aime, mais si ça nous fait oublier l'heure et les gens autour de nous, nous devonson doit faire attention.

there's nothing wrong with doing something = il n'y a pas de mal à faire qqch « on doit » pour la même raison que tous les « on » précédents (groupe abstrait)

La troisième morale est qu'il ne faut pas répondre à l'appel de « l'autre côté ».


This sentence has been marked as perfect!

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Je trouve que cette morale est plutôt culturelle et spirituelle.


This sentence has been marked as perfect!

This sentence has been marked as perfect!

Tarō aurait dû rejeter l'invitation de l'empereur de la mer car un homme mortel ne devrait pas s’intéresser aux affaires des dieux.


This sentence has been marked as perfect!

This sentence has been marked as perfect!

Quand Tarō s'est plongé dans la mer, il a franchi le point de non-retour.


This sentence has been marked as perfect!

Quand Tarō s'esta plongé dans la mer, il a franchi le point de non-retour.

On plonge dans quelque chose de manière concrète, on SE plonge dans quelque chose au sens figuré

Il ne pourrait plus vivre comme un être humain normal.


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Il ne po'aurrait plusu été capable de vivre comme un être humain normal.

Hypothèse improbable (« être capable ») non réalisée dans le passé => conditionnel passé

Je ne sais pas si vous arrivez à comprendre cette morale.


This sentence has been marked as perfect!

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En Indonésie, j'ai entendu parle des histoires similaires de personnes qui ont rêvé de retrouver leurs amis ou leurs membres de la famille morts quand ils étaient en état comateux.


En Indonésie, j'ai entendu parler des 'histoires similaires, de personnes qui ont rêvé de retrouver leurs amis ou leurs membres de laeurs familles morts quand ils étaient en étatdans le comateux.

En Indonésie, j'ai entendu parleé des 'histoires similaires de personnes qui ont rêvé de retrouver leurs amis ou leurs membres de la famille décédés/morts quand ils étaient en étatdans le comateux.

La raison pour laquelle ils s'étaient réveillés et ont donc pu raconter leurs histoires, c'est parce qu'ils ont dit « non » quand leurs bien-aimés morts les avaient invités à les « rejoindre ».


La raison pour laquelle ils s'étaiee sont réveillés et ont donc pu raconter leurs histoires, c'est parce qu'ils ont dit « non » quand leurs bien-aiméproches morts les avaient/ont invités à les « rejoindre ».

« ils s'étaient réveillés » nécessiterait « ils avaient dit "non"» (deux événements postérieurs à une perspective narrative passée qui serait « entendre parler ») Vous n'êtes cependant pas obligé, je trouverais ça plus simple et plus naturel de considérer « se réveiller » à partir du moment présent de l'énonciation

J'admets que cette morale n'a pas vraiment de sens, mais à chacun son goût !


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J'admets que cette morale n'a pas vraiment de sens, mais à chacun sones goûts !

L'expression figée est toujours au pluriel

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