Feb. 9, 2023
Auparavant, j'ai écrit sur l'histoire de Urashima Tarō, qui est descendu dans la mer pour visiter le palais sous-marin. Tarō y avait passé un séjour époustouflant de trois jours, mais quand il est retourné à son village, le fait que trois siècles s'étaient écoulés à la surface l'a bouleversé. Submergé par le chagrin, il a fini par ouvrir le coffret donné par la princesse du palais sous-marin, malgré l'avertissement à ne pas l'ouvrir. Une fois le coffret ouvert, Tarō s'est transformé instantanément en vieil homme au bord de la mort. J'ai également discuté de deux scénarios possibles sur ce qui se passerait après que Tarō est devenu un vieillard. Comme promis, maintenant je vais vous présenter les leçons qu'on peut tirer de ce conte de fées japonais.
En premier lieu, on peut toujours faire fausse route bien qu'on ait choisi la bonne route. Dans l'histoire, Tarō a résisté à la cruauté envers les animaux en sauvant la tortue maltraitée. Cela constituait sans aucun doute un geste noble. Selon la loi du Karma, il est tout naturel que Tarō aurait gagné la récompense pour sa bonté. Toutefois, le contraire s'est produit. Tarō, qui avait sauvé une vie, a fini par perdre sa propre vie d'une façon tragique. Donc, cette histoire nous enseigne à ne pas nous attendre à un heureux concours de circonstances même après qu'on mène une vie vertueuse et a fait une tonne de bonnes œuvres.
Deuxièmement, il ne faut pas oublier nos bien-aimés. Même si la durée de son aventure sous la mer avait aussi duré trois jours à la surface, la décision de Tarō de laisser sa vieille mère seule n'aurait pas du tout été sage. Maintenant, je n'habite pas sous le même toit que ma mère. Si aujourd'hui je ne lui envoie pas de message, elle perdra la tête ! Comme comment la vie au palais sous-marin avait ensorcelé Tarō au point qu'il a oublié sa mère, on a parfois aussi des travaux ou des hobbies qui nous font faire peu de cas de notre famille ou nos amis. Il n'y a rien de mal avec travailler sur ce qu'on aime, mais si ça nous fait oublier l'heure et les gens autour de nous, nous devons faire attention.
La troisième morale est qu'il ne faut pas répondre à l'appel de « l'autre côté ». Je trouve que cette morale est plutôt culturelle et spirituelle. Tarō aurait dû rejeter l'invitation de l'empereur de la mer car un homme mortel ne devrait pas s’intéresser aux affaires des dieux. Quand Tarō s'est plongé dans la mer, il a franchi le point de non-retour. Il ne pourrait plus vivre comme un être humain normal. Je ne sais pas si vous arrivez à comprendre cette morale. En Indonésie, j'ai entendu parle des histoires similaires de personnes qui ont rêvé de retrouver leurs amis ou leurs membres de la famille morts quand ils étaient en état comateux. La raison pour laquelle ils s'étaient réveillés et ont donc pu raconter leurs histoires, c'est parce qu'ils ont dit « non » quand leurs bien-aimés morts les avaient invités à les « rejoindre ». J'admets que cette morale n'a pas vraiment de sens, mais à chacun son goût !
LA MALÉDICTION DU PALAIS SOUS-MARIN (2)
Auparavant, j'ai écrit surJ'ai déjà raconté l'histoire de 'Urashima Tarō, qui est descendu dans la mer pour visiter le palais sous-marin.
Avec « histoire » comme objet, le mieux est d'utiliser le verbe « raconter ». « Écrire sur l'histoire » ne se dit pas trop
de+voyelle => d'
Tarō y avait passé un séjour époustouflant de trois jours, mais quand il est retourné à son village, le faitil a été bouleversé de voir/constater que trois siècles s'étaient écoulés à la surface l'a bouleversé.
Syntaxe bien plus naturelle
Submergé par le chagrin, il a fini par ouvrir le coffret donné/offert par la princesse du palais sous-marin, malgré l'avertissement à ne pas l'ouvrcontraire.
Vous pouvez utiliser « contraire » pour éviter les répétitions et simplifier
Une fois le coffret ouvert, Tarō s'est transformé instantanément en vieil homme au bordseuil de la mort.
"on the threshold of death", c'est souvent « au seuil de la mort » ou « à l'article de la mort » (la dernière expression figée est plutôt commune)
J'ai également discuté deévoqué deux scénarios possibles sur ce qui a pu se passerait après que Tarō est devenu un vieillard.
« discuter de » sous-entend l'idée d'échange, de débat. « Évoquer » c'est mentionner ; ça irait bien ici
On part du principe que les événements des légendes (présentés comme vrai) sont vraiment arrivés dans le passé (une des deux hypothèses s'est de toute façon réalisée) => ce qui a pu se passer
Comme promis, maintenant je vais vous présenter les leçons qu'on peut tirer de ce conte de fées japonais.
En premier lieu, on peut toujours faire fausse route bien qu'on ait choisi lae bonne route chemin.
Je dirais plutôt « la bonne voie » ou « le bon chemin », pour une "way" au sens figuré
Dans l'histoire, Tarō a résisté àcombattu la cruauté envers les animaux en sauvant la tortue maltraitée.
Cela constituait sans aucun doute un geste noble.
Selon la loi du Kkarma, il estaurait été tout naturel que Tarō aurait gagné lasoit récompenseé pour sa bonté.
« karma » n'est pas considéré comme un nom propre en français
C'était le fait d'être naturel en soi qui est une hypothèse passée non réalisée => conditionnel passé
Il est naturel que + subjonctif (normalement on aurait le subjonctif imparfait, mais ce temps est totalement obsolète en français, donc on utilise le présent)
Toutefois, c'est le contraire qui s'est produit.
La structure emphatique « c'est/qui » serait très adaptée ici
Tarō, qui avait sauvé une vie, a fini par perdre sla propre vie d'unsienne de façon tragique.
« la sienne » pour éviter les répétitions
Donc, cette histoire nous enseigne à ne pas nous attendre à un heureux concours de circonstancesdénouement, même après qu'on mèneavoir mené une vie vertueuse et a fait une tonnmultitude de bonnes œuvres.
«un heureux concours de circonstances » veut dire une suite d'événements heureux, souvent apportés par le hasard, ce qui ne correspond donc pas à un concept comme le karma, qui est au contraire un lien de causalité.
un dénouement = une fin, après une série d'événements et de rebondissements
Le sujet sémantique est clair à la fin, donc mieux vaut utiliser une structure infinitive => avoir mené
Deuxièmement, il ne faut pas oublier nos bien-aiméproches.
Un « bien-aimé » en français moderne, c'est plutôt un(e) amant(e), un(e) amoureux/-se
"a loved one" c'est « un(e) proche »
Même si la durée de son aventure sous la mer avait aussi duré trois jours à la surface, la décision de Tarō de laisser sa vieille mère seule n'aurait pas du tout été sage.
Si aujourd'huCependant, si je ne lui envoie pas de message, elle aujourd'hui, elle va perdre/perdra la tête !
Si vous êtes sûr de lui envoyer des messages aujourd'hui, vous devriez traiter du fait de ne pas lui en envoyer comme une hypothèse peu probable. Moi j'écrirais vraiment « si je ne lui ENVOYAIS pas de message aujourd'hui, elle PERDRAIT la tête »
Comme comment la vie au palais sous-marin, qui avait ensorcelé Tarō au point qu'il ad'en oubliéer sa mère, on a parfois aussi des travauxchoses à faire/des tâches ou des hobbies qui nous font faire peu de cas de notre famille ou (de) nos amis.
« Comme comment » c'est vraiment à éviter ! Mieux vaut utiliser comme + nom puis faire une relative, comme dans la seconde proposition
« au point d'en oublier », même remarque que précédemment sur les structures infinitives
Il n'y a rien de mal avecà travailler sur ce qu'on aime, mais si ça nous fait oublier l'heure et les gens autour de nous, nous devonson doit faire attention.
there's nothing wrong with doing something = il n'y a pas de mal à faire qqch
« on doit » pour la même raison que tous les « on » précédents (groupe abstrait)
La troisième morale est qu'il ne faut pas répondre à l'appel de « l'autre côté ».
Je trouve que cette morale est plutôt culturelle et spirituelle.
Tarō aurait dû rejeter l'invitation de l'empereur de la mer car un homme mortel ne devrait pas s’intéresser aux affaires des dieux.
Quand Tarō s'esta plongé dans la mer, il a franchi le point de non-retour.
On plonge dans quelque chose de manière concrète, on SE plonge dans quelque chose au sens figuré
Il ne po'aurrait plusu été capable de vivre comme un être humain normal.
Hypothèse improbable (« être capable ») non réalisée dans le passé => conditionnel passé
Je ne sais pas si vous arrivez à comprendre cette morale.
En Indonésie, j'ai entendu parleé des 'histoires similaires de personnes qui ont rêvé de retrouver leurs amis ou leurs membres de la famille décédés/morts quand ils étaient en étatdans le comateux.
La raison pour laquelle ils s'étaiee sont réveillés et ont donc pu raconter leurs histoires, c'est parce qu'ils ont dit « non » quand leurs bien-aiméproches morts les avaient/ont invités à les « rejoindre ».
« ils s'étaient réveillés » nécessiterait « ils avaient dit "non"» (deux événements postérieurs à une perspective narrative passée qui serait « entendre parler »)
Vous n'êtes cependant pas obligé, je trouverais ça plus simple et plus naturel de considérer « se réveiller » à partir du moment présent de l'énonciation
J'admets que cette morale n'a pas vraiment de sens, mais à chacun sones goûts !
L'expression figée est toujours au pluriel
Feedback
Pour moi, il n'y a aucun souci de karma : Tarô a sauvé la princesse donc a été invité à vivre parmi les dieux, mais il a décidé de repartir de son propre chef, PUIS d'ouvrir la boîte, donc il en a payé le prix. Finalement, c'est l'attachement à sa vie terrestre qui l'a condamné (très bouddhiste comme vision des choses !)
En Europe, il y a beaucoup de légendes traitant de mortels qui ont eu des soucis avec les dieux. L'humain le plus célèbre dans cette catégorie est sans doute Pâris, qui a condamné Troie le jour même où il s'est permis d'arbitrer entre les trois déesses Héra, Athéna et Aphrodite. Je trouverais ça bizarre que ce soit l'explication d'une légende japonaise, cependant. Le Japon vit selon le shintoïsme, qui est un panthéisme. Les dieux sont partout autour de nous. Derrière chaque arbre, chaque rivière, il peut y avoir un kami. Cela dit, c'est vrai que dans toutes les cultures, il y a globalement cette idée que les puissances supérieures nous dépassent (par définition) et qu'il ne faut pas trop les titiller... Donc qui sait !
LA MALÉDICTION DU PALAIS SOUS-MARIN (2)
Auparavant, j'ai écrit surà propos de l'histoire de Urashima Tarō, qui esétait descendu dans la mer pour visiter le palais sous-marin.
Auparavant rend la phrase très vielle histoire. Je mettrais "avant cela"
Submergé par le chagrin, il a fini par ouvrir le coffret que lui avait donné par la princesse du palais sous-marin, malgré l'son avertissement àde ne pas l'ouvrir.
Une fois le coffret ouvert, Tarō s'est transformé instantanément en un vieil homme au bord de la mort.
J'ai également discuté de deux scénarios possibles sur ce qui se passerait après lorsque Tarō estserais devenu un vieillard.
Comme promis, je vais maintenant je vais vous présenter les leçons qu'on peut tirer de ce conte de fées japonais.
En premier lieu, on peut toujours faire fausse route bien que l'on ait choisi la bonne route.
Pas besoin de répétition sur le mot route. En Français, on essaye autant que possible d'éviter les répétitions.
Dans l'histoire, Tarō a résisté à la cruauté envers les animaux en sauvant la tortue maltraitée.
Cela constituait sans aucun doute un geste noble.
Selon la loi du Karma, il eserait tout naturel que Tarō auraiest gagné la récompense pour sa bonté.
le conditionnel sonne mieux sur le premier verbe
Toutefois, le contraire s'est produit.
Tarō, qui avait sauvé une vie, a fini par perdre sa propre vie d'une façon tragique.
Donc, cette histoire nous enseigne àde ne pas nous attendre à un heureux concours de circonstancesdénouement, même après que l'on mène une vie vertueuse et a fait une tonneque l'on est fait pleins de bonnes œuvres.
heureux concours de circonstances ne fait pas très naturel
Deuxièmement, il ne faut pas oublier nos bien-aimésêtres cher.
Bien-aimé est plus utilisé pour son amoureux ou son amoureuse
Même si la durée de son aventure sous la mer n'avait aussi duré que trois jours à la surface, la décision de Tarō de laisser sa vieille mère seule à la surface n'aurait pas du tout étéété très sage.
MaintenantA l'heure actuelle, je n'habe vite pas sous le même toit queavec ma mère.
Si aujourd'hui je ne lui envoie pas de message, elle perdra la tête !
Comme comment la vie au palais sous-marin avait ensorcelé Tarō, au point qu'il aen est oublié sa mère, o. On a parfois aussi des travaux ou des hobbies qui nous font faire peu de cas deoublier notre famille ou nos amis.
Il n'y a rien de mal avec travailler sur ce qu'on aime, mais si ça nous fait oublier l'heure et les gens autour de nous, nous devons faire attention.
La troisième morale est qu'il ne faut pas répondre à l'appel de « l'autre côté ».
Je trouve que cette morale est plutôt culturelle et spirituelle.
Tarō aurait dû rejeter l'invitation de l'empereur de la mer car un homme mortel ne devrait pas s’intéresser aux affaires des dieux.
Quand Tarō s'est plongé dans la mer, il a franchi le point de non-retour.
Il ne pourrait plus vivre comme un être humain normal.
Je ne sais pas si vous arrivez à comprendre cette morale.
En Indonésie, j'ai entendu parler des 'histoires similaires, de personnes qui ont rêvé de retrouver leurs amis ou leurs membres de laeurs familles morts quand ils étaient en étatdans le comateux.
J'admets que cette morale n'a pas vraiment de sens, mais à chacun son goût !
Maintenant, je n'habite pas sous le même toit que ma mère.
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Auparavant, j'ai écrit sur l'histoire de Urashima Tarō, qui est descendu dans la mer pour visiter le palais sous-marin. Auparavant, j'ai Auparavant rend la phrase très vielle histoire. Je mettrais "avant cela"
Avec « histoire » comme objet, le mieux est d'utiliser le verbe « raconter ». « Écrire sur l'histoire » ne se dit pas trop de+voyelle => d' |
Tarō y avait passé un séjour époustouflant de trois jours, mais quand il est retourné à son village, le fait que trois siècles s'étaient écoulés à la surface l'a bouleversé. Tarō y avait passé un séjour époustouflant de trois jours, mais quand il est retourné à son village, Syntaxe bien plus naturelle |
Submergé par le chagrin, il a fini par ouvrir le coffret donné par la princesse du palais sous-marin, malgré l'avertissement à ne pas l'ouvrir. Submergé par le chagrin, il a fini par ouvrir le coffret que lui avait donné Submergé par le chagrin, il a fini par ouvrir le coffret donné/offert par la princesse du palais sous-marin, malgré l'avertissement Vous pouvez utiliser « contraire » pour éviter les répétitions et simplifier |
Une fois le coffret ouvert, Tarō s'est transformé instantanément en vieil homme au bord de la mort. Une fois le coffret ouvert, Tarō s'est transformé instantanément en un vieil homme au bord de la mort. Une fois le coffret ouvert, Tarō s'est transformé instantanément en vieil homme au "on the threshold of death", c'est souvent « au seuil de la mort » ou « à l'article de la mort » (la dernière expression figée est plutôt commune) |
J'ai également discuté de deux scénarios possibles sur ce qui se passerait après que Tarō est devenu un vieillard. J'ai également discuté de deux scénarios possibles sur ce qui se passerait J'ai également « discuter de » sous-entend l'idée d'échange, de débat. « Évoquer » c'est mentionner ; ça irait bien ici On part du principe que les événements des légendes (présentés comme vrai) sont vraiment arrivés dans le passé (une des deux hypothèses s'est de toute façon réalisée) => ce qui a pu se passer |
Comme promis, maintenant je vais vous présenter les leçons qu'on peut tirer de ce conte de fées japonais. Comme promis, je vais maintenant This sentence has been marked as perfect! |
En premier lieu, on peut toujours faire fausse route bien qu'on ait choisi la bonne route. En premier lieu, on peut toujours faire fausse route bien que l'on ait choisi la bonne Pas besoin de répétition sur le mot route. En Français, on essaye autant que possible d'éviter les répétitions. En premier lieu, on peut toujours faire fausse route bien qu'on ait choisi l Je dirais plutôt « la bonne voie » ou « le bon chemin », pour une "way" au sens figuré |
Dans l'histoire, Tarō a résisté à la cruauté envers les animaux en sauvant la tortue maltraitée. This sentence has been marked as perfect! Dans l'histoire, Tarō a |
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Selon la loi du Karma, il est tout naturel que Tarō aurait gagné la récompense pour sa bonté. Selon la loi du Karma, il le conditionnel sonne mieux sur le premier verbe Selon la loi du « karma » n'est pas considéré comme un nom propre en français C'était le fait d'être naturel en soi qui est une hypothèse passée non réalisée => conditionnel passé Il est naturel que + subjonctif (normalement on aurait le subjonctif imparfait, mais ce temps est totalement obsolète en français, donc on utilise le présent) |
Toutefois, le contraire s'est produit. This sentence has been marked as perfect! Toutefois, c'est le contraire qui s'est produit. La structure emphatique « c'est/qui » serait très adaptée ici |
Tarō, qui avait sauvé une vie, a fini par perdre sa propre vie d'une façon tragique. This sentence has been marked as perfect! Tarō, qui avait sauvé une vie, a fini par perdre « la sienne » pour éviter les répétitions |
Donc, cette histoire nous enseigne à ne pas nous attendre à un heureux concours de circonstances même après qu'on mène une vie vertueuse et a fait une tonne de bonnes œuvres. Donc, cette histoire nous enseigne heureux concours de circonstances ne fait pas très naturel Donc, cette histoire nous enseigne à ne pas nous attendre à un heureux «un heureux concours de circonstances » veut dire une suite d'événements heureux, souvent apportés par le hasard, ce qui ne correspond donc pas à un concept comme le karma, qui est au contraire un lien de causalité. un dénouement = une fin, après une série d'événements et de rebondissements Le sujet sémantique est clair à la fin, donc mieux vaut utiliser une structure infinitive => avoir mené |
Deuxièmement, il ne faut pas oublier nos bien-aimés. Deuxièmement, il ne faut pas oublier nos Bien-aimé est plus utilisé pour son amoureux ou son amoureuse Deuxièmement, il ne faut pas oublier nos Un « bien-aimé » en français moderne, c'est plutôt un(e) amant(e), un(e) amoureux/-se "a loved one" c'est « un(e) proche » |
Même si la durée de son aventure sous la mer avait aussi duré trois jours à la surface, la décision de Tarō de laisser sa vieille mère seule n'aurait pas du tout été sage. Même si la durée de son aventure sous la mer n'avait This sentence has been marked as perfect! |
Si aujourd'hui je ne lui envoie pas de message, elle perdra la tête ! This sentence has been marked as perfect!
Si vous êtes sûr de lui envoyer des messages aujourd'hui, vous devriez traiter du fait de ne pas lui en envoyer comme une hypothèse peu probable. Moi j'écrirais vraiment « si je ne lui ENVOYAIS pas de message aujourd'hui, elle PERDRAIT la tête » |
Comme comment la vie au palais sous-marin avait ensorcelé Tarō au point qu'il a oublié sa mère, on a parfois aussi des travaux ou des hobbies qui nous font faire peu de cas de notre famille ou nos amis. Comme Comme « Comme comment » c'est vraiment à éviter ! Mieux vaut utiliser comme + nom puis faire une relative, comme dans la seconde proposition « au point d'en oublier », même remarque que précédemment sur les structures infinitives |
Il n'y a rien de mal avec travailler sur ce qu'on aime, mais si ça nous fait oublier l'heure et les gens autour de nous, nous devons faire attention. This sentence has been marked as perfect! Il n'y a rien de mal there's nothing wrong with doing something = il n'y a pas de mal à faire qqch « on doit » pour la même raison que tous les « on » précédents (groupe abstrait) |
La troisième morale est qu'il ne faut pas répondre à l'appel de « l'autre côté ». This sentence has been marked as perfect! This sentence has been marked as perfect! |
Je trouve que cette morale est plutôt culturelle et spirituelle. This sentence has been marked as perfect! This sentence has been marked as perfect! |
Tarō aurait dû rejeter l'invitation de l'empereur de la mer car un homme mortel ne devrait pas s’intéresser aux affaires des dieux. This sentence has been marked as perfect! This sentence has been marked as perfect! |
Quand Tarō s'est plongé dans la mer, il a franchi le point de non-retour. This sentence has been marked as perfect! Quand Tarō On plonge dans quelque chose de manière concrète, on SE plonge dans quelque chose au sens figuré |
Il ne pourrait plus vivre comme un être humain normal. This sentence has been marked as perfect! Il n Hypothèse improbable (« être capable ») non réalisée dans le passé => conditionnel passé |
Je ne sais pas si vous arrivez à comprendre cette morale. This sentence has been marked as perfect! This sentence has been marked as perfect! |
En Indonésie, j'ai entendu parle des histoires similaires de personnes qui ont rêvé de retrouver leurs amis ou leurs membres de la famille morts quand ils étaient en état comateux. En Indonésie, j'ai entendu parler d En Indonésie, j'ai entendu parl |
La raison pour laquelle ils s'étaient réveillés et ont donc pu raconter leurs histoires, c'est parce qu'ils ont dit « non » quand leurs bien-aimés morts les avaient invités à les « rejoindre ». La raison pour laquelle ils s « ils s'étaient réveillés » nécessiterait « ils avaient dit "non"» (deux événements postérieurs à une perspective narrative passée qui serait « entendre parler ») Vous n'êtes cependant pas obligé, je trouverais ça plus simple et plus naturel de considérer « se réveiller » à partir du moment présent de l'énonciation |
J'admets que cette morale n'a pas vraiment de sens, mais à chacun son goût ! This sentence has been marked as perfect! J'admets que cette morale n'a pas vraiment de sens, mais à chacun s L'expression figée est toujours au pluriel |
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