Feb. 14, 2021
La Hallyu, si vous ne la connaissez pas, se réfère à la culture populaire coréenne qui se répand comme une traînée de poudre partout dans le monde. Ce phénomène est qualifié comme une des plus grandes vagues culturelles de notre ère. Je ne sais pas si elle existe en France, mais en Indonésie, c’est une chose bien réelle. Il y a environ une décennie, quand j’étais encore au collège, la Hallyu s’est introduite pour la première fois dans mon pays sous la forme d’un genre musical qui s’appelait « K-Pop ». À cette époque-là, bon nombre de mes amies étaient amoureuses de chanteurs, de boy bands, de girl groups coréens. Elles rassemblaient les accessoires de leurs idoles, comme des photos, des posters et des autocollants, et elles écoutaient de la musique coréenne tout le temps.
Dans la plupart de cas, ce sont les filles qui sont férues de la K-pop. Pour les garçons, même s’ils l’aiment, ils ont tendance à dissimuler leur engouement car cela risque d’être un objet de moquerie parmi d’autres garçons. D’après un stigmate qui circule dans la société, les chanteurs coréens ne constituent pas un bon exemple pour les jeunes garçons parce qu’ils montrent trop de leur côté efféminé. Plein de gens traitent ces chanteurs coréens de « plastiques », ce qui renvoie à la chirurgie plastique que beaucoup d’entre eux ont subie. Une autre raison de cacher son amour pour la K-pop, c’est que les communautés de la K-Pop se montrent souvent immodérément fanatiques. Elles vénèrent leurs idoles comme dieux et cette situation accouche d’une plaisanterie : l’Indonésie est en proie à deux cultes toxiques : les ultra-religieux et les fans de la K-pop.
Pendant que l’existence de la K-pop continue de semer la discorde parmi les Indonésiens, il me semble que les autres formes de la Hallyu sont impossibles à arrêter. La cuisine coréenne est pratiquement omniprésente, de petits snacks vendus dans de petits étals sur le trottoir aux plats coréens authentique servis dans des hôtels cinq étoiles. Quand je vivais seul, j’avais pour habitude de me faire livrer des plats coréens. Le manhwa, la bande dessinée coréenne, pris également de l’ampleur ici, merci à LINE qui le promeut. LINE lui-même est une messagerie instantanée très prisée en Indonésie, et il est développé par une filiale japonaise d’une entreprise coréenne. Dernièrement, regarder des films ou séries coréens est également devenu une pratique commune. Bien que je n’aime ni ne déteste la culture coréenne, ces derniers temps je trouve que je m’abreuve souvent de séries coréennes. J’ai l’impression que La Corée du Sud a fait un bon travail de propager ses cultures. Cette entrée de journal m’a remis en mémoire ce que j’ai dit à un de mes professeurs : il faut avouer que la culture coréenne est vraiment sur la pente ascendante !
La Hallyu, si vous ne la connaissez pas, se réfère àau cas où ce terme ne vous dirait rien, désigne la culture populaire coréenne qui se répand comme une traînée de poudre partout dans le monde.
Ce phénomène est qualificonsidéré comme une des plus grandes vagues culturelles de notre ère.
Je ne sais pas si elle existe en France, mais en Indonésie, c’est une chose bien réelle.
Il y a environ une décennie, quand j’étais encore au collège, la Hallyu s’est introduite pour la première fois dans mon pays sous la forme d’un genre musical qui s’appelaitle « K-Pop ».
À cette époque-là, bon nombre de mes amies étaient amoureuses de chanteurs, de boys bands, de girl groups coréens.
Elles rassemblcollectionnaient les accessoires de leurs idoles, comme des photos, des posters et des autocollants, et elles écoutaient de la musique coréenne tout le temps.
Rassembler = prendre des objets et les mettre au même endroit
Collectionner = faire une collection, rassembler des objets spécifiques (ex collectionner des cartes postales, des timbres)
Dans la plupart des cas, ce sont les filles qui sont férues de la K-pop.
Pour les garçons, même s’ils l’aiment, ils ont tendance à dissimuler leur engouement car cela risque d’être un objet de moquerie parmi d’les autres garçons.
D’après un stigmate qui circule dans la société, les chanteurs coréens neont la mauvaise réputation de ne pas constituent pasr un bon exemple pour les jeunes garçons parce qu’ils montrent trop de leur côté efféminé.
On dit que quelqu'un est «stigmatisé» mais un stigmate est une cicatrice douloureuse, une marque d’infamie. Cela me paraît excessif ici.
Plein de gens traitent ces chanteurs coréens de « plastiques », ce qui renvoie à la chirurgie plasesthétique que beaucoup d’entre eux ont subie.
On parle plus souvent de «chirurgie esthétique»
Une autre raison de cacher son amour pour la K-pop, c’est que les communautés de la K-Pop se montrent souvent immodérément fanatiques.
Le fanatisme est immodéré par définition.
«Les communautés [...] frisent le fanatisme» serait une bonne alternative.
Elles vénèrent leurs idoles comme des dieux et cette situation accouche d’ donné lieu à une plaisanterie :, à savoir que l’Indonésie est en proie à deux formes de cultes toxiques : les ultra-/malsaines : les fondamentalistes religieux et les fans de la K-pop.
«à savoir que» pour éviter la répétition des deux points
PendantAlors que l’existence de la K-pop continue de semer la discorde parmi les Indonésiens, il me semble que les autres formes de la Hallyu sont impossibles à arrêter.
«alors que» souligne l'opposition de deux actions, plus que leur simple simultanéité
La cuisine coréenne est pratiquement omniprésente, des petits snacks vendus dansà de petits éstalnds sur le trottoir aux plats coréens authentiques servis dans decertains hôtels cinq étoiles.
Quand je vivais seul, j’avais pour habitude de me faire livrer des plats coréens.
Le manhwa, la bande dessinée coréenne, prisa également pris de l’ampleur ici, mercigrâce à LINE qui lea promeut.
«merci à» est un acte de langage: vous remerciez véritablement LINE de promouvoir la BD coréenne
«grâce à» indique une cause dont les résultats sont vus comme positifs
LINE luielle-même est une messagerie instantanée très prisée en Indonésie, et ilelle est développé par unela filiale japonaise d’une entreprise coréenne.
Dernièrement, regarder des films ou séries coréens est également devenu une pratique communurante.
Bien que je n’aime ni neSans particulièrement aimer ou détester la culture coréenne, ces derniers temps je trouve que je m’abreuvdévore souvent des séries coréennes.
Je suppose que vous avez voulu rendre quelque chose du genre «binge watch». En français, on utilise souvent «dévorer» pour dire «consommer beaucoup de séries/films»
J’ai l’impression que Lla Corée du Sud a fait un bon travail de propager sespour diffuser sa cultures.
Cette entrée de journal m’a remis en mémoireappelé ce que j’aivais dit à un de mes professeurs : il faut avouer que la culture coréenne est vraiment sur la pente ascendante !
«remettre en mémoire» est parfaitement juste, mais sonnerait un peu moins naturel ici
Feedback
La hallyu existe aussi en France, mais j'ai l'impression que c'est plus une mode qu'autre chose, une mode qui a fortiori concerne principalement les aspects les plus mercantiles de la culture coréenne. Le Japon a réussi à imposer son soft power de manière durable, reste à savoir si ce sera aussi le cas pour la Corée.
Comme d'habitude, si vous avez des questions, faites-le-moi savoir !
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LA HALLYU EN INDONÉSIE |
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La Hallyu, si vous ne la connaissez pas, se réfère à la culture populaire coréenne qui se répand comme une traînée de poudre partout dans le monde. La Hallyu, |
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Ce phénomène est qualifié comme une des plus grandes vagues culturelles de notre ère. Ce phénomène est |
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Je ne sais pas si elle existe en France, mais en Indonésie, c’est une chose bien réelle. This sentence has been marked as perfect! |
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Il y a environ une décennie, quand j’étais encore au collège, la Hallyu s’est introduite pour la première fois dans mon pays sous la forme d’un genre musical qui s’appelait « K-Pop ». Il y a environ une décennie, quand j’étais encore au collège, la Hallyu s’est introduite pour la première fois dans mon pays sous la forme d’un genre musical qui s’appel |
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À cette époque-là, bon nombre de mes amies étaient amoureuses de chanteurs, de boy bands, de girl groups coréens. À cette époque-là, bon nombre de mes amies étaient amoureuses de chanteurs, de boys bands, de girl groups coréens. |
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Elles rassemblaient les accessoires de leurs idoles, comme des photos, des posters et des autocollants, et elles écoutaient de la musique coréenne tout le temps. Elles Rassembler = prendre des objets et les mettre au même endroit Collectionner = faire une collection, rassembler des objets spécifiques (ex collectionner des cartes postales, des timbres) |
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Dans la plupart de cas, ce sont les filles qui sont férues de la K-pop. Dans la plupart des cas, ce sont les filles qui sont férues de |
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Pour les garçons, même s’ils l’aiment, ils ont tendance à dissimuler leur engouement car cela risque d’être un objet de moquerie parmi d’autres garçons. Pour les garçons, même s’ils l’aiment, ils ont tendance à dissimuler leur engouement car cela risque d’être un objet de moquerie parmi |
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D’après un stigmate qui circule dans la société, les chanteurs coréens ne constituent pas un bon exemple pour les jeunes garçons parce qu’ils montrent trop de leur côté efféminé. D On dit que quelqu'un est «stigmatisé» mais un stigmate est une cicatrice douloureuse, une marque d’infamie. Cela me paraît excessif ici. |
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Plein de gens traitent ces chanteurs coréens de « plastiques », ce qui renvoie à la chirurgie plastique que beaucoup d’entre eux ont subie. Plein de gens traitent ces chanteurs coréens de « plastiques », ce qui renvoie à la chirurgie On parle plus souvent de «chirurgie esthétique» |
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Une autre raison de cacher son amour pour la K-pop, c’est que les communautés de la K-Pop se montrent souvent immodérément fanatiques. Une autre raison de cacher son amour pour la K-pop, c’est que les communautés de Le fanatisme est immodéré par définition. «Les communautés [...] frisent le fanatisme» serait une bonne alternative. |
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Elles vénèrent leurs idoles comme dieux et cette situation accouche d’une plaisanterie : l’Indonésie est en proie à deux cultes toxiques : les ultra-religieux et les fans de la K-pop. Elles vénèrent leurs idoles comme des dieux et cette situation a «à savoir que» pour éviter la répétition des deux points |
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Pendant que l’existence de la K-pop continue de semer la discorde parmi les Indonésiens, il me semble que les autres formes de la Hallyu sont impossibles à arrêter.
«alors que» souligne l'opposition de deux actions, plus que leur simple simultanéité |
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La cuisine coréenne est pratiquement omniprésente, de petits snacks vendus dans de petits étals sur le trottoir aux plats coréens authentique servis dans des hôtels cinq étoiles. La cuisine coréenne est pratiquement omniprésente, des petits snacks vendus |
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Quand je vivais seul, j’avais pour habitude de me faire livrer des plats coréens. This sentence has been marked as perfect! |
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Le manhwa, la bande dessinée coréenne, pris également de l’ampleur ici, merci à LINE qui le promeut. Le manhwa, la bande dessinée coréenne, «merci à» est un acte de langage: vous remerciez véritablement LINE de promouvoir la BD coréenne «grâce à» indique une cause dont les résultats sont vus comme positifs |
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LINE lui-même est une messagerie instantanée très prisée en Indonésie, et il est développé par une filiale japonaise d’une entreprise coréenne. LINE |
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Dernièrement, regarder des films ou séries coréens est également devenu une pratique commune. Dernièrement, regarder des films ou séries coréens est également devenu une pratique co |
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Bien que je n’aime ni ne déteste la culture coréenne, ces derniers temps je trouve que je m’abreuve souvent de séries coréennes.
Je suppose que vous avez voulu rendre quelque chose du genre «binge watch». En français, on utilise souvent «dévorer» pour dire «consommer beaucoup de séries/films» |
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J’ai l’impression que La Corée du Sud a fait un bon travail de propager ses cultures. J’ai l’impression que |
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Cette entrée de journal m’a remis en mémoire ce que j’ai dit à un de mes professeurs : il faut avouer que la culture coréenne est vraiment sur la pente ascendante ! Cette entrée de journal m’a r «remettre en mémoire» est parfaitement juste, mais sonnerait un peu moins naturel ici |
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