Cela provoque une véritable discrimination entre père et mère qui demande les solutions appropriées desnt aux magistrats.

Je ne suis pas sûr de comprendre la phrase. Qui demande quoi à qui ? Et je ne pense pas que tu veuilles parler de "discrimination", plutôt de "conflit" ou de "désaccord".

Elle fait pourtant l'objet de'un débat controversé de la part d'observateurs.

Elle = ?

C'est ce que nous expliquent deux journalistes dans leurs articles parus en février 2011 et en juin 2012 dans unsur deux sites Internet edont L'express.fr

Selon le ministère de la Justice, seulc'est seulement dans 8% des cas, que la garde des enfants est assumée par les pères après un divorce.

De plus, l'écart se creuse davantage en ce qui concerne le soin des plus jeunes telles que les toutes-peti, c'est-à-dire les jeunes enfants et les bébés.

Je pense que l'on peut remplacer "les jeunes enfants et les bébés" par "les tout-petits".

En effet, selon les magistrats, la mère, allaiteant, ne peut pas être séparée de son enfant.

Tout d'abord, peu des pères divorcés demandent entièrement la gardla garde exclusive des enfants.

De plus, du fait de l'absence du droit de garde depuis 1993, il s'agice sont dles parents qui doivent prendre dles décisions concernant les conséquences de leur séparation et la garde de leurs enfants.

Autrement dit, audans le cas où les deux parties auront la disputene seraient pas d'accord sur ce problème, le juge peut intervenir pour le résoudre.

Les pères sont en difficultés lorsqu'ils n'ont pas la chance pourde rencontrer leurs enfants ou les voient très peu.

"en difficultés" n'est pas une faute, mais moins fréquent et ce n'est pas l'écriture privilégiée par les dictionnaires.

Et ce pPour protéger les droits des pères, plusieurs mesures sont proposées et sont mises en oeuvres par les magistrats, notamment "la résidence alternée".