June 22, 2021
Je l'étudie en semaine, c'est-à-dire cinq jours sur sept. Car je ne travaille plus, plus précisément je suis en congé sabbatique de trois ans, donc je peux l'apprendre n'importe quel moment si je veux. Cependant, je n'arrive pas à employer le même moyen tout le temps parce que ça m'ennuie et je ne peux plus me concentrer au bout d'un certain temps. Par conséquent, ça baisse l'efficacité d'étude (au moins il me le semble). Pour briser cette monotonie, il faut que je m'engage dans plusieurs moyens d'étudier le français.
D'abord j'utilise YouTube : je regarde des vidéos YouTube en français pour me changer les idées. Portant il faut faire attention parce que c'est une épée à double tranchement. Si je commence à regarder des vidéo de humoristes japonais je finirais par passer trois heures à regarder seulement ça sans écouter le français. Même si je commence à en reproduire, je dois me resituer et regarde des vidéos française. Cela dit, j'ai besoin quand même de regarder des contenus en japonais pour me remettre de la situation dans laquelle mon cerveau ne tient plus le français (ça m'arrive).
Je regarde les infos en continu aussi à la télé. Ce qui est bon avec les infos, ils passent peu importe mon intention, alors je ne dois pas réfléchir quoi regarder. À part les infos, j'aime bien les documentaires, alors je me sens chanceuse quand ils y passent. Pour ceux, il y a même des sous-titres, ce qui m'aide beaucoup à augmenter mon vocabulaire. Par contre, le narrator parle toujours très clairement comme ils ont été déjà enregistrés, alors ça ne fait pas toujours un bon entraînement pour ma compréhension orale.
Peut-être il s'agitait presque tout du français aux yeux des certains finalement, et j'avoue que ce soit vrai. J'ai un sentiment de culpabilité le jour où je n'étudie pas vraiment le français, parce que je n'ai pas d'autre activités à faire en semaine. Je ne me sens pas triste (je suis introvertie) mais parfois je crains que ça finisse mal si je continue comme ça (par exemple je finis par détester la langue française).
La fréquence quà laquelle j'étudie le français
Faire quelque chose À une (certaine) fréquence => la fréquence À LAQUELLE j'étudie
Je l'étudie en semaine, c'est-à-dire cinq jours sur sept, car je ne travaille plus, ou plus précisément, j'ai pris un congé sabbatique de trois ans, donc je peux l'apprendre absolument n'importe quand/quand je veux.
Sauf cas exceptionnels, on ne sépare pas par un point deux propositions séparées par une conjonction de coordination ("car") car elles sont très liées sémantiquement.
Car je ne travaille plus, plus précisément je suis en congé sabbatique de trois ans, donc je peux l'apprendre n'importe quel moment si je veux.
Cependant, je n'arrive pas à employer le même moyen tout le tempstout le temps apprendre/étudier de la même façon, parce que ça m'ennuie et que je ne peux plus me concentrer, au bout d'un certain temps.
Par conséquent, ça baisse l'je perds en efficacité (d'étude (au moins, il me le semble).
ici, «perdre en efficacité» = être moins efficace
Pour briser cette monotonie, il faut que je m'engage dans plusieurs moyens d''ais recours à/j'emploie plusieurs méthodes pour étudier le français.
«s'engager dans» n'est pas tout à fait synonyme d'«employer»: ça signifie plutôt prendre la décision d'entrer dans un domaine ou un secteur.
«méthode» serait ici plus précis que «moyen»: un moyen, c'est un outil, alors qu'une méthode, c'est une manière de faire, un ensemble de démarches, une mise en application concrète.
Ici, j'insisterais sur l'expression du but, donc «pour étudier»
D'abord j'utilise YouTube : je regarde des vidéos YouTube en français pour me changer les idées.
Pourtant, il faut faire attention, parce que c'est une épée à double tranchemeant.
Si je commence à regarder des vidéos de 'humoristes japonais, je finirais par passer trois heures à regarder seulement ça, sans écouter lde français.
Le <h> de «humoriste» ne se prononce pas, on considère donc que le mot commence par une voyelle; par conséquent, on utilise des formes contractées => d'
[Même si je commence à en reproduire ?], je dois me resituerreprendre mes esprits et regarder des vidéos françaises.
Je n'ai pas trop compris le début de la phrase
Cela dit, j'ai besoin quand même de regarder des contenus en japonais pour me remettre de la situation dans laquelle, quand mon cerveau ne tientsupporte plus le français (ça m'arrive).
Je regarde aussi les infos en continu aussi à la télé.
Ce qui est bon avec les infos, ils passent peu importe mon intentic'est qu'elles passent que je le veuille ou non, alors je ne dois'ai pas à réfléchir à quoi regarder.
La structure emphatique (mettre un élément en valeur dans la phrase) est toujours du type «ce que/c'est»
Ex «ce que j'aime dans l'architecture japonaise, ce sont les torii»
Pour dire «je ne suis pas obligée de», «je n'ai pas à» est mieux que «je ne dois pas»
À part les infos, j'aime bien les documentaires, alors je me sens chanceuse quand ils y en passent.
il passe DES documentaires => il EN passe
Pour ceux, il y aCertains ont même des sous-titres, ce qui m'aide beaucoup à augmenter mon vocabulaire.
Par contre, les narratoreurs parlent toujours très clairement, comme iles documentaires ont été déjà enregistrés, alors ça ne faitconstitue pas toujours un bon entraînement pour ma compréhension orale.
Le dernier élément cité de la phrase étant «narrateur», ça fait bizarre d'écrire «ils», on a l'impression que ce sont les narrateurs qui ont été enregistrés, même si évidemment, il est clair via le contexte que ce sont les documentaires^^
Peut-être il s'agitait presque tout du français aux yeux des certains finalement, et j'avoue que ce soit vrai.
Je n'ai pas du tout compris cette phrase, désolé.
J'ai un sentiment de culpabilitée me sens coupable les jours où je n'étudie pas vraiment le français, parce que je n'ai pas d'autre activités à faire en semaine.
Comme cela arrive (je suppose) plusieurs fois, il est mieux d'écrire «les jours»
Je ne me sens pas triste (je suis introvertie), mais parfois je crains que ça finisse mal si je continue comme ça (par exemple je crains de finisr par détester la langue française).
Je regarde les infos en continu aussi à la télé. Je regarde aussi les infos en continu |
Pour briser cette monotonie, il faut que je m'engage dans plusieurs moyens d'étudier le français. Pour briser cette monotonie, il faut que j «s'engager dans» n'est pas tout à fait synonyme d'«employer»: ça signifie plutôt prendre la décision d'entrer dans un domaine ou un secteur. «méthode» serait ici plus précis que «moyen»: un moyen, c'est un outil, alors qu'une méthode, c'est une manière de faire, un ensemble de démarches, une mise en application concrète. Ici, j'insisterais sur l'expression du but, donc «pour étudier» |
La fréquence que j'étudie le français La fréquence Faire quelque chose À une (certaine) fréquence => la fréquence À LAQUELLE j'étudie |
Je l'étudie en semaine, c'est-à-dire cinq jours sur sept. Je l'étudie en semaine, c'est-à-dire cinq jours sur sept, car je ne travaille plus, ou plus précisément, j'ai pris un congé sabbatique de trois ans, donc je peux l'apprendre absolument n'importe quand/quand je veux. Sauf cas exceptionnels, on ne sépare pas par un point deux propositions séparées par une conjonction de coordination ("car") car elles sont très liées sémantiquement. |
Car je ne travaille plus, plus précisément je suis en congé sabbatique de trois ans, donc je peux l'apprendre n'importe quel moment si je veux.
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Cependant, je n'arrive pas à le faire parce que n'étudier qu'une seule sujet m'ennuie et je ne peux plus me concentrer au bout d'un certain temps. |
Par conséquent, ça baisse la efficacité d'étude (au moins il me le semble). |
Pour briser cette monotonie, il faut que je m'engage dans plusieurs choses dans ma vie quotidienne. |
D'abord j'utilise YouTube : je regarde des vidéos YouTube en français pour se changer les idées. |
Portant il faut faire attention parce que c'est une épée à double tranchement. Pourtant, il faut faire attention, parce que c'est une épée à double tranch |
Si je commence à regarder des vidéo de humoristes japonais je finirais par passer trois heures à regarder seulement ça sans étudier le français. |
Même si je commence à en reproduire, je dois me resituer et regarde des vidéos française. [Même si je commence à en reproduire ?], je dois Je n'ai pas trop compris le début de la phrase |
Cela dit, j'ai besoin quand même de regarder des contenus en japonais pour me remettre de la situation dans laquelle mon cerveau ne tient plus le français (ça m'arrive). Cela dit, j'ai besoin quand même de regarder des contenus en japonais pour me remettre |
Ce qui est bon avec les infos, ils passent peu importe mon intention, alors je ne dois pas réfléchir quoi regarder. Ce qui est bon avec les infos, La structure emphatique (mettre un élément en valeur dans la phrase) est toujours du type «ce que/c'est» Ex «ce que j'aime dans l'architecture japonaise, ce sont les torii» Pour dire «je ne suis pas obligée de», «je n'ai pas à» est mieux que «je ne dois pas» |
À part les infos, j'aime bien les documentaires, alors je me sens chanceuse quand ils y passent. À part les infos, j'aime bien les documentaires, alors je me sens chanceuse quand il il passe DES documentaires => il EN passe |
Pour ceux, il y a même des sous-titres, ce qui m'aide beaucoup à augmenter mon vocabulaire.
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Par contre, le narrator parle toujours très clairement comme ils ont été déjà enregistrés, alors ça ne fait pas toujours un bon entraînement pour ma compréhension orale. Par contre, les narrat Le dernier élément cité de la phrase étant «narrateur», ça fait bizarre d'écrire «ils», on a l'impression que ce sont les narrateurs qui ont été enregistrés, même si évidemment, il est clair via le contexte que ce sont les documentaires^^ |
Peut-être il s'agitait presque tout du français aux yeux des certains finalement, et j'avoue que ce soit vrai. Peut-être il s'agitait presque tout du français aux yeux des certains finalement, et j'avoue que ce soit vrai. Je n'ai pas du tout compris cette phrase, désolé. |
J'ai un sentiment de culpabilité le jour où je n'étudie pas vraiment le français, parce que je n'ai pas d'autre activités à faire en semaine. J Comme cela arrive (je suppose) plusieurs fois, il est mieux d'écrire «les jours» |
Je ne me sens pas triste (je suis introvertie) mais parfois je crains que ça finisse mal si je continue comme ça (par exemple je finis par détester la langue française). Je ne me sens pas triste (je suis introvertie), mais parfois je crains que ça finisse mal si je continue comme ça (par exemple je crains de fini |
Par conséquent, ça baisse l'efficacité d'étude (au moins il me le semble). Par conséquent, ici, «perdre en efficacité» = être moins efficace |
D'abord j'utilise YouTube : je regarde des vidéos YouTube en français pour me changer les idées. This sentence has been marked as perfect! |
Si je commence à regarder des vidéo de humoristes japonais je finirais par passer trois heures à regarder seulement ça sans écouter le français. Si je commence à regarder des vidéos d Le <h> de «humoriste» ne se prononce pas, on considère donc que le mot commence par une voyelle; par conséquent, on utilise des formes contractées => d' |
Cependant, je n'arrive pas à employer le même moyen tout le temps parce que ça m'ennuie et je ne peux plus me concentrer au bout d'un certain temps. Cependant, je n'arrive pas à |
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