Aug. 31, 2020
À son apogée, l’Empire romain était incontestablement vaste ! Pour mettre cela en perspective, les provinces aussi variées que la Dacie trajane, la Judée, la Maurétanie tingitane étaient tous à la merci de lui. Il me fait songer à une pieuvre géante dont les tentacules atteignaient les extrémités méditerranéennes. Son immense territoire non seulement témoignait de sa grandeur, mais aussi lui permettait d’exploiter tant de ressources provenant de chacune de ses provinces. Cette immensité équivalait toutefois aussi à un nombré élevé de frontières à protéger, soulèvements à réprimer, et ennemis à vaincre. La Bretagne (Britannia) fut à cet égard la meilleure candidate pour la province constituant le plus gros casse-tête. Très loin du noyau de l’Empire, la terre romaine la plus nord était sous la menace constante des autochtones sauvages se nichant dans des marais ténébreux.
Dans Journey to Britannia: From the Heart of Rome to Hadrian's Wall, AD 130, Bronwen Riley reconstitue avec brio le voyage de l’an 130 de Sextus Julius Sévère, le nouveau gouverneur de la Bretagne. Le voyage, qui débute en plein cœur de Rome, nous invite à pénétrer en Gaule romaine, traverser le périlleux Oceanus Britannicus, et s’aventurer au sein de la Bretagne jusqu’au mur d’Hadrien, le point le plus septentrional de l’Empire. Quoique inhabituelle, je trouve que la méthode de narration a été bien choisie. À titre d’exemple, la décision de baser le livre sur le voyage d’un gratin romain nous permet d’explorer une foule d’expériences authentiques dont les gens du peuple n’étaient même pas capables de rêver. De même, les villes et les monuments qu’Hadrien avait envisagés au cours de sa visite huit ans avant ont déjà été établis. Ainsi, nous sommes conduits à imaginer la Bretagne dans sa meilleure forme. Vu que la route commerciale entre Rome et la Bretagne s’épanouissait à cette époque, nous avons également l’occasion de constater la romanisation qui s’y est produite. Bien qu’il me semble déplacé au départ que Riley mette en jeu Rome et Gaul, cela nous aide en fait à appréhender la situation dans son ensemble en mettant en parallèle la Bretagne, son colonisateur et une autre colonie. Cela va de soi que le socle de cette œuvre est bien ficelé. Chapeau !
Malgré ma connaissance superficielle sur la culture romaine, je trouve que les contenus du livre ne sont pas du tout ésotériques. Ils demeurent globalement aisés à comprendre car l’autrice s’attache à détailler les petites choses que les autres négligeraient. Par exemple, elle met en évidence le fait qu’on voyait rarement les Bretons et leurs marchandises à Rome, contrairement à, disons, les Gaulois et les Grecs qui s’y installaient en masse. Leur absence dans la Ville Éternelle signifie qu’ils ne pouvaient ni confirmer ou déboulonner les rumeurs qui allaient bon train, ce qui nous porte à comprendre pourquoi la Bretagne était tellement méconnue. Encore un exemple, je suis aussi ébahi d’apprendre l’interdit sur certains types d’aliments dans les quartiers portuaires romains de peur du danger d’incendie. Bien qu’il semble rudimentaire, ce genre d’information donne une saveur particulière à l’ouvrage. De plus, Riley a réussi à éviter la peau de banane en uniquement contournant les villes à l’instar d’Eboracum (York) qui auraient plus d’histoires à raconter dans les siècles qui ont suivi et en se focalisant sur les lieux importants qui n’existent ou fleurissent plus de nos jours. Étant aficionado de langues, j’apprécie l’histoire d’Hadrien qui s’est appliqué à perfectionner son latin après avoir été rabaissé. Je m’intéresse également à la mention de l’apprentissage du latin pour les officiers bretons qui bénéficiait de cahiers bilingues. Néanmoins, je regrette que les langues locales soient à peine couvertes. Oui, bien que je ne puisse pas ergoter pour le manque de la facette bretonne dans un livre sur les Romains, j’ai l’impression que tout ce qui a trait aux tribus indigènes est péniblement sous-représenté. Ce dont je me souviens, ce n’est que la description sur les Pictes qui avaient le don de fomenter des troubles et Caratacus, le chef militaire breton qui s’émerveillait de la splendeur de Rome. Puisque j’aime les rencontres entre deux cultures différentes, le livre ne répond pas à mes attentes initiales. Quoi qu’il en soit, les explications détaillées pallient tous les défauts. Enfin, j’ai entendu dire que Bronwen Riley était en train de rédiger un nouveau livre intitulé Journey to Jerusalem. Compte tenu de mon engouement pour l’Histoire et l’hébreu, je sais bien que lorsqu’il aura été disponible, je m’empresserai à l’acheter.
LA BRETAGNE À TRAVERS LA LORGNETTE ROMAINE
À son apogée, l’Empire romain était incontestablement vaste !
Pour mettre cela en perspectivÀ titre d'exemple, ldes provinces aussi variées que la Dacie trajane, la Judée, la Maurétanie tingitane étaient toutes à lsa merci de lui.
Je trouve qu'une mise en perspective aurait sous-entendu une comparaison avec un élément extérieur. Je trouve également «à sa merci» un peu fort, mais ce n'est pas inexact.
Il me fait songer à une pieuvre géante dont les tentacules atteignaient les extrémitéstout le pourtour méditerranéennes.
SNon seulement son immense territoire non seulement témoignait de sa grandeur, mais aussil lui permettait également d’exploiter taénormément de ressources provenant de chacune de ses provinces.
CToutefois, cette immensité équivalait toutefoissignifiait aussi à un nombré élevé de frontières à protéger, de soulèvements à réprimer, et d'ennemis à vaincre.
La Bretagne (Britannia) fut à cet égard la meilleure candidate pour lae titre de province constituant le plus gros casse-tête.
Votre phrase aurait voulu dire: la Bretagne était la meilleure candidate pour [la province qui constituait le plus gros casse-tête] (pour celle-là et pas une autre)
Très loin du noyaucœur de l’Empire, la terre romaine la plus au nord était sous la menace constante des autochtones sauvages se nichant dans des marais ténébreux.
Le «core» se traduit généralement par «le cœur» ou «le centre», à l'exception notable du domaine atomique ou effectivement, on parle de noyau; «les barbares autochtones» fonctionnerait très bien aussi ici, puisque nous parlons de l'Empire romain
Dans «Journey to Britannia: From the Heart of Rome to Hadrian's Wall, AD 130», Bronwen Riley reconstitue avec brio le voyage de l’an 130 de Sextus Julius Sévère, le nouveau gouverneur de la Bretagne, en l'an 130.
Le voyage, qui débute en plein cœur de Rome, nous invite à pénétrer en Gaule romaine, traverser le périlleux Oceanus Britannicus, et s’nous aventurer au sein de la Bretagne jusqu’au mur d’Hadrien, le point le plus septentrional de l’Empire.
Quoique inhabituelle, je trouve que la méthode de narration a été bien choisie.
À titre d’exemple, la décision de baser le livre sur le voyage d’'un gratinmembre de l'élite romaine nous permet d’explaborder une foule d’expérienceévénements authentiques dontauxquels les gens du peuple n’ét'auraient même pas capables de rêvpas pu ne serait-ce que songer à assister.
«Le gratin» est un peu familier, s'emploie toujours avec l'article défini et décrit toujours un groupe de personne puisqu'en fait, c'est un équivalent familier de «l'élite».
De même, les villes et les monuments qu’Hadrien avait envisagés au cours de sa visite huit ans avant ouparavant avaient déjà été établiconstruits.
Ainsi, nous sommes conduitamenés à imaginer la Bretagne dans sa meilleure formeau sommet de son développement.
«dans sa meilleure forme» fait bizarre, pour une société.
Vu que la route commercialee rendu possible par les routes entre Rome et la Bretagne s’épanouissait à cette époque, nous avons également l’occasion de constater la romanisation qui s’y esétait produite.
Pareil, une route ne peut pas vraiment «s'épanouir», mais un commerce ou une société, oui. Ce verbe nécessite un sujet un peu dynamique.
Bien qu’il me semble déplacé au déde la part qude Riley mette en jeud'avoir d'abord parlé de Rome et de la Gaule, cela nous aide en fait à appréhender la situation dans son ensemble en mettant en parallèle la Bretagne, son colonisateures conquérants et une autre coloninquête.
J'ai reformulé pour que le phrase soit plus naturelle, mais dans tous les cas, «il me semble» est suivi de l'indicatif, car la subjectivité est déjà marquée par le pronom; «mettre en jeu» signifie «parier», je ne sais pas trop ce que vous avez voulu dire ici; je crois que ce sont seulement les villes que les Romains considéraient comme des colonies, pas les territoires de manière générale.
CelaIl va de soi que le socle da base historique sur laquelle repose cette œoeuvre est bien ficelésolide.
Là encore, je n'ai pas exactement compris, mais je crois avoir bien deviné.
Chapeau !
Malgré ma connaissance superficielle surde la culture romaine, je trouve que les contenus du livre ne son'est pas du tout ésotériques.
Ici je parlerais «du» contenu général (donc singulier)
Ils demeurent globalement aisés à comprendre car l’autrice s’attache à détailler les petites choses que les d'autres négligeraient.
Par exemple, elle met en évidence le fait qu’on voyait rarement les Bretons et leurs marchandises à Rome, contrairement à, disons, les Gaulois et les Grecs qui s’y installaient en masse.
Leur absence dans la Ville Éternelle signifie qu’ils ne pouvaient ni confirmer ou déboulonnni infirmer les rumeurs qui allaient bon train, ce qui nous portaide à comprendre pourquoi la Bretagne érestait tellement méconnue.
Encore un exemple, je suis'ai été aussi ébahi d’apprendre l’interdit surque certains types d’aliments dans les quartiers portuaires romains deétaient interdits, par peur du danger d’incendie.
Bien qu’ile cela semble rudimentairetrivial, ce genre d’information donne une saveur particulière à l’ouvrage.
«rudimentaire» n'irait pas trop car cela signifie «peu développé»; or au contraire, vous dites que l'autrice développe beaucoup, mais elle développe des informations qui peuvent paraître triviales (= banales).
De plus, Riley a réussi à éviter la peau de banane en uniquementfacilité, juste en contournant les villes à l’instar d’comme Eboracum (York) qui auraient eu plus d’histoires à raconter dans les siècles qui ont suivi, et en se focalisant sur les lieux importants qui n’e sont plus importants ou n'existent tou fleurisst simplement plus de nos jours.
«Éviter la peau de banane» signifierait «éviter la gaffe, le ridicule», or ici il me semble qu'elle évite juste la facilité. «A l'instar de» signifie à la manière de et on nous apprend souvent (à nous, petits écoliers français) que son emploi doit être évité. Je ne suis pas spécialement d'accord mais beaucoup de gens l'emploient à contresens.
Étant un aficionado de langues, j’ai apprécieé l’histoire d’Hadrien qui s’est appliqué à perfectionner son latin après l'avoir été rabdélaissé.
«Aficionado» n'existe que comme nom commun, me semble, en tous cas son utilisation comme adjectif (à la manière d'«amateur») est rare, d'où le «un».
Je m’intéresse également à lLa mention de l’apprentissage du latin pour les officiers bretons qui bénéficiaient de cahiers bilingues a également suscité mon intérêt.
J'ai mis «suciter» et «intéresser» au passé car ce sont des actions très contextuelles: cela vous a intéressé quand vous l'avez lu, durant votre expérience de lecture.
Néanmoins, je regrette que les langues locales soaient été à peine couvertes.
Oui, bien que je ne puisse pas ergoter posur le manque de la facette'éléments bretonnes dans un livre sur les Romains, j’ai l’impression que tout ce qui a trait aux tribus indigènes est pénibltristement sous-représenté.
«péniblement» aurait voulu dire qu'on a eu de la peine à sous-représenter.
CTout ce dont je me souviens, ce n’est que'est la description sur ldes Pictes qui avaient le don de fomenter des troubles et Caratacus, le chef militaire breton qui s’émerveillait de la splendeur de Rome.
Puisque j’aime les rencontres entre deux Vu que ce sont particulièrement les aspects multiculturels différentesqui m'intéressent, le livre ne répond pas à mes attentes initiales.
Quoi qu’il en soit, les explications détaillées de ce livre pallient tous lses défauts.
Enfin, j’ai entendu dire que Bronwen Riley était en train de rédiger un nouveau livre intitulé «Journey to Jerusalem».
Compte tenu de mon engouement pour l’Histoire et l’hébreu, je sais bien que lorsdès qu’'il aura étésera disponible, je m’empresserai àde l’acheter.
Feedback
La grammaire est très maîtrisée, le style est littéraire et ça se lit bien - ce sont principalement vos figures de style (et leur enchaînement) qui posent problème parfois en gênant un peu la compréhension. Si vous travaillez là-dessus, vous aurez un français quasiment parfait !
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LA BRETAGNE À TRAVERS LA LORGNETTE ROMAINE This sentence has been marked as perfect! |
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À son apogée, l’Empire romain était incontestablement vaste ! This sentence has been marked as perfect! |
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Pour mettre cela en perspective, les provinces aussi variées que la Dacie trajane, la Judée, la Maurétanie tingitane étaient tous à la merci de lui.
Je trouve qu'une mise en perspective aurait sous-entendu une comparaison avec un élément extérieur. Je trouve également «à sa merci» un peu fort, mais ce n'est pas inexact. |
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Il me fait songer à une pieuvre géante dont les tentacules atteignaient les extrémités méditerranéennes. Il me fait songer à une pieuvre géante dont les tentacules atteignaient |
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Son immense territoire non seulement témoignait de sa grandeur, mais aussi lui permettait d’exploiter tant de ressources provenant de chacune de ses provinces.
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Cette immensité équivalait toutefois aussi à un nombré élevé de frontières à protéger, soulèvements à réprimer, et ennemis à vaincre.
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La Bretagne (Britannia) fut à cet égard la meilleure candidate pour la province constituant le plus gros casse-tête. La Bretagne (Britannia) fut à cet égard la meilleure candidate pour l Votre phrase aurait voulu dire: la Bretagne était la meilleure candidate pour [la province qui constituait le plus gros casse-tête] (pour celle-là et pas une autre) |
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Très loin du noyau de l’Empire, la terre romaine la plus nord était sous la menace constante des autochtones sauvages se nichant dans des marais ténébreux. Très loin du Le «core» se traduit généralement par «le cœur» ou «le centre», à l'exception notable du domaine atomique ou effectivement, on parle de noyau; «les barbares autochtones» fonctionnerait très bien aussi ici, puisque nous parlons de l'Empire romain |
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Dans Journey to Britannia: From the Heart of Rome to Hadrian's Wall, AD 130, Bronwen Riley reconstitue avec brio le voyage de l’an 130 de Sextus Julius Sévère, le nouveau gouverneur de la Bretagne. Dans «Journey to Britannia: From the Heart of Rome to Hadrian's Wall, AD 130», Bronwen Riley reconstitue avec brio le voyage de |
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Le voyage, qui débute en plein cœur de Rome, nous invite à pénétrer en Gaule romaine, traverser le périlleux Oceanus Britannicus, et s’aventurer au sein de la Bretagne jusqu’au mur d’Hadrien, le point le plus septentrional de l’Empire. Le voyage, qui débute en plein cœur de Rome, nous invite à pénétrer en Gaule romaine, traverser le périlleux Oceanus Britannicus, et |
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Quoique inhabituelle, je trouve que la méthode de narration a été bien choisie. This sentence has been marked as perfect! |
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À titre d’exemple, la décision de baser le livre sur le voyage d’un gratin romain nous permet d’explorer une foule d’expériences authentiques dont les gens du peuple n’étaient même pas capables de rêver. À titre d’exemple, la décision de baser le livre sur le voyage d «Le gratin» est un peu familier, s'emploie toujours avec l'article défini et décrit toujours un groupe de personne puisqu'en fait, c'est un équivalent familier de «l'élite». |
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De même, les villes et les monuments qu’Hadrien avait envisagés au cours de sa visite huit ans avant ont déjà été établis. De même, les villes et les monuments qu’Hadrien avait envisagés au cours de sa visite huit ans a |
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Ainsi, nous sommes conduits à imaginer la Bretagne dans sa meilleure forme. Ainsi, nous sommes «dans sa meilleure forme» fait bizarre, pour une société. |
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Vu que la route commerciale entre Rome et la Bretagne s’épanouissait à cette époque, nous avons également l’occasion de constater la romanisation qui s’y est produite. Vu que l Pareil, une route ne peut pas vraiment «s'épanouir», mais un commerce ou une société, oui. Ce verbe nécessite un sujet un peu dynamique. |
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Bien qu’il me semble déplacé au départ que Riley mette en jeu Rome et Gaul, cela nous aide en fait à appréhender la situation dans son ensemble en mettant en parallèle la Bretagne, son colonisateur et une autre colonie. Bien qu’il me semble déplacé J'ai reformulé pour que le phrase soit plus naturelle, mais dans tous les cas, «il me semble» est suivi de l'indicatif, car la subjectivité est déjà marquée par le pronom; «mettre en jeu» signifie «parier», je ne sais pas trop ce que vous avez voulu dire ici; je crois que ce sont seulement les villes que les Romains considéraient comme des colonies, pas les territoires de manière générale. |
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Cela va de soi que le socle de cette œuvre est bien ficelé.
Là encore, je n'ai pas exactement compris, mais je crois avoir bien deviné. |
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Chapeau ! This sentence has been marked as perfect! |
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Malgré ma connaissance superficielle sur la culture romaine, je trouve que les contenus du livre ne sont pas du tout ésotériques. Malgré ma connaissance superficielle Ici je parlerais «du» contenu général (donc singulier) |
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Ils demeurent globalement aisés à comprendre car l’autrice s’attache à détailler les petites choses que les autres négligeraient. Il |
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Par exemple, elle met en évidence le fait qu’on voyait rarement les Bretons et leurs marchandises à Rome, contrairement à, disons, les Gaulois et les Grecs qui s’y installaient en masse. This sentence has been marked as perfect! |
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Leur absence dans la Ville Éternelle signifie qu’ils ne pouvaient ni confirmer ou déboulonner les rumeurs qui allaient bon train, ce qui nous porte à comprendre pourquoi la Bretagne était tellement méconnue. Leur absence dans la Ville Éternelle signifie qu’ils ne pouvaient ni confirmer |
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Encore un exemple, je suis aussi ébahi d’apprendre l’interdit sur certains types d’aliments dans les quartiers portuaires romains de peur du danger d’incendie. Encore un exemple, j |
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Bien qu’il semble rudimentaire, ce genre d’information donne une saveur particulière à l’ouvrage. Bien qu «rudimentaire» n'irait pas trop car cela signifie «peu développé»; or au contraire, vous dites que l'autrice développe beaucoup, mais elle développe des informations qui peuvent paraître triviales (= banales). |
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De plus, Riley a réussi à éviter la peau de banane en uniquement contournant les villes à l’instar d’Eboracum (York) qui auraient plus d’histoires à raconter dans les siècles qui ont suivi et en se focalisant sur les lieux importants qui n’existent ou fleurissent plus de nos jours. De plus, Riley a réussi à éviter la «Éviter la peau de banane» signifierait «éviter la gaffe, le ridicule», or ici il me semble qu'elle évite juste la facilité. «A l'instar de» signifie à la manière de et on nous apprend souvent (à nous, petits écoliers français) que son emploi doit être évité. Je ne suis pas spécialement d'accord mais beaucoup de gens l'emploient à contresens. |
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Étant aficionado de langues, j’apprécie l’histoire d’Hadrien qui s’est appliqué à perfectionner son latin après avoir été rabaissé. Étant un aficionado de langues, j’ai appréci «Aficionado» n'existe que comme nom commun, me semble, en tous cas son utilisation comme adjectif (à la manière d'«amateur») est rare, d'où le «un». |
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Je m’intéresse également à la mention de l’apprentissage du latin pour les officiers bretons qui bénéficiait de cahiers bilingues.
J'ai mis «suciter» et «intéresser» au passé car ce sont des actions très contextuelles: cela vous a intéressé quand vous l'avez lu, durant votre expérience de lecture. |
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Néanmoins, je regrette que les langues locales soient à peine couvertes. Néanmoins, je regrette que les langues locales |
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Oui, bien que je ne puisse pas ergoter pour le manque de la facette bretonne dans un livre sur les Romains, j’ai l’impression que tout ce qui a trait aux tribus indigènes est péniblement sous-représenté. Oui, bien que je ne puisse pas ergoter «péniblement» aurait voulu dire qu'on a eu de la peine à sous-représenter. |
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Ce dont je me souviens, ce n’est que la description sur les Pictes qui avaient le don de fomenter des troubles et Caratacus, le chef militaire breton qui s’émerveillait de la splendeur de Rome.
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Puisque j’aime les rencontres entre deux cultures différentes, le livre ne répond pas à mes attentes initiales.
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Quoi qu’il en soit, les explications détaillées pallient tous les défauts. Quoi qu’il en soit, les explications détaillées de ce livre pallient tous |
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Enfin, j’ai entendu dire que Bronwen Riley était en train de rédiger un nouveau livre intitulé Journey to Jerusalem. Enfin, j’ai entendu dire que Bronwen Riley était en train de rédiger un nouveau livre intitulé «Journey to Jerusalem». |
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Compte tenu de mon engouement pour l’Histoire et l’hébreu, je sais bien que lorsqu’il aura été disponible, je m’empresserai à l’acheter. Compte tenu de mon engouement pour l’Histoire et l’hébreu, je sais bien que |
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