July 2, 2025
Les lecteurs de ce journal pensent sans doute que je suis quelqu’un de très bavard… Pourtant, en réalité, je suis plutôt quelqu’un de peu loquace. C’est parce que, dans une conversation, je cherche à saisir non seulement les mots en surface, mais aussi les émotions et les valeurs qui se cachent derrière. J’aime découvrir qui est réellement la personne en face de moi. Et ce que je recherche avant tout, c’est l’enseignement que je peux tirer de chaque rencontre.
J’adore réfléchir dans ma tête. C’est pourquoi, après avoir parlé avec quelqu’un, je commence pendant un moment une conversation avec moi-même au sujet de cette discussion. Et ce moment-là est pour moi un plaisir inestimable.
Bien sûr, lorsque je parle avec un ami cher, il m’arrive d’exprimer un peu plus mes opinions. Mais même dans ces échanges précieux, j’éprouve toujours une préférence pour l’écoute.
Et pourtant, on me dit souvent : « Tu m’as donné de l’énergie ! »
C’est étrange, n’est-ce pas ? Moi qui n’ai presque rien dit…
L’écoute
Les lecteurs de ce journal pensent sans doute que je suis quelqu’un de très bavard… Pourtant, en réalité, je suis plutôt quelqu’un de peu loquace.
C’est parce que, dans une conversation, je cherche à saisir non seulement les mots en surface, mais aussi les émotions et les valeurs qui se cachent derrière.
Je suis un peu gêné par ce début de phrase en "c'est parce que". C'est un peu disgracieux par rapport au reste de votre texte.
Vous pourriez éventuellement remplacer cette formulation par "La raison de mon mutisme s'explique par le fait que ", mais c'est peut être un peu poussif.
Peut être quelque chose comme cela : "En fait, dans une conversation je cherche à saisir non seulement les mots en surface, mais aussi les émotions et les valeurs qui se cachent derrière, et cela accapare toute mon attention et tout mon intérêt." ?
J’aime découvrir qui est réellement la personne en face de moi.
Et ce que je recherche avant tout, c’est l’enseignement que je peux tirer de chaque rencontre.
J’adore réfléchir dans ma tête.
En français on ne dit pas vraiment "réfléchir dans sa tête", réfléchir est un acte que l'on fait systématiquement dans sa tête.
Cela dit je vois parfaitement ce que vous voulez dire, je pense même que nous avons une expression pour cela mais elle ne me vient pas spontanément dans l'instant... Tout ce qui me vient serait "méditer" ou bien "réfléchir en silence"... Je vais continuer d'y réfléchir.
Cela dit j'ai l'impression que dans le cas de ce texte, ce que vous mettez en avant c'est très spécifiquement l'analyse des discussions.
C’est pourquoi, après avoir parlé avec quelqu’un, je commence pendant un moment une conversation avec moi-même au sujet de cette discussion.
Je pinaille, mais je crois que c'est ce que vous attendez de moi :
- De la même manière, "conversation avec soi même", cela peut se dire mais c'est assez rare, généralement en philosophie ou dans des contextes où une veritable discussion a lieu entre deux parties de soi même qui déroulent chacune leur argument.
- "Commencer" : vous faites plus que cela, vous l'avez entièrement, cette discussion... En fait, le début de votre phrase "après avoir parlé" est vague dans le temps, cela peut être 2 secondes après avoir dit au revoir à votre interlocuteur, ou 2 ans après. Si vous le remplacez par quelque chose comme "C'est pourquoi, immédiatement après avoir parlé avec quelqu'un, je commence ..." : on place la seconde partie de la phrase dans une fenêtre de temps restreinte, dans laquelle il est effectivement possible de "commencer" quelque chose.
"C'est pourquoi, immédiatement après chaque conversation que j'ai avec quelqu’un, je me livre à une analyse détaillée de la conversation que je viens d'avoir."
Et ce moment-là est pour moi un plaisir inestimable.
Bien sûr, lorsque je parle avec un ami cher, il m’arrive d’exprimer un peu plus mes opinions.
Mais même dans ces échanges précieux, j’éprouve toujours une préférence pour l’écoute.
Et pourtant, on me dit souvent : « Tu m’as donné de l’énergie !
» C’est étrange, n’est-ce pas ?
Moi qui n’ai presque rien dit…
Feedback
Cela ne m'étonne pas en fait. Il suffit d'avoir trouvé les bons mots.
On m'a souvent dit que j'avais une bonne capacité d'écoute. Cela passe souvent par la capacité à poser les bonnes questions, celles qui feront avancer l'interlocuteur, plutôt que sur la capacité à donner des réponses toutes faites.
L’écoute
Les lecteurs de ce journal pensent sans doute que je suis quelqu’un de très bavard… Pourtant, en réalité, je suis plutôt quelqu’un de peu loquace.
C’est parce que, dans une conversation, je cherche à saisir non seulement les mots en surface, mais aussi les émotions et les valeurs qui se cachent derrière.
J’aime découvrir qui est réellement la personne en face de moi.
Et ce que je recherche avant tout, c’est l’enseignement que je peux tirer de chaque rencontre.
J’adore réfléchir dans ma tête.
« réfléchir dans sa tête » est une tautologie
C’est pourquoi, après avoir parlé avec quelqu’un, je commence pendant un moment une conversation avec moi-même au sujet de cette discussion.
Vous pouvez dire « je commence une conversation avec moi-même qui dure un moment au sujet de [...] » pour clarifier, mais le contexte est assez clair, je dirais qu'il n'y a aucun risque qu'on comprenne que c'est le commencement qui dure un moment
Et ce moment-là est pour moi un plaisir inestimable.
Bien sûr, lorsque je parle avec un ami cher, il m’arrive d’exprimer un peu plus mes opinions.
Mais même dans ces échanges précieux, j’éprouve toujours une préférence pour l’écoute.
Et pourtant, on me dit souvent : « Tu m’as donné de l’énergie !
» C’est étrange, n’est-ce pas ?
Moi qui n’aie dis presque rien dit…
Ici encore, vous parlez d'une habitude générale, alors je trouverais le présent meilleur, même si le passé composé serait toléré, pour des raisons de style
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Intéressant ! Pour ma part, que je sois laconique ou au contraire loquace dépend beaucoup de mon interlocuteur, de l'alchimie que j'ai avec lui, de comment je le « sens », de l'impression qu'il me donne, des intentions que je crois déceler, de toutes ces choses-là. Si je suis loquace, enjoué, à l'aise, communicatif, souriant et enclin à plaisanter, c'est très bon signe pour l'interlocuteur en question, ça veut dire que le courant passe bien ! :-D
L’écoute This sentence has been marked as perfect! This sentence has been marked as perfect! |
J’adore réfléchir dans ma tête. J’adore réfléchir « réfléchir dans sa tête » est une tautologie J’adore réfléchir dans ma tête. En français on ne dit pas vraiment "réfléchir dans sa tête", réfléchir est un acte que l'on fait systématiquement dans sa tête. Cela dit je vois parfaitement ce que vous voulez dire, je pense même que nous avons une expression pour cela mais elle ne me vient pas spontanément dans l'instant... Tout ce qui me vient serait "méditer" ou bien "réfléchir en silence"... Je vais continuer d'y réfléchir. Cela dit j'ai l'impression que dans le cas de ce texte, ce que vous mettez en avant c'est très spécifiquement l'analyse des discussions. |
Et ce moment-là est pour moi un plaisir inestimable. This sentence has been marked as perfect! This sentence has been marked as perfect! |
» C’est étrange, n’est-ce pas ? This sentence has been marked as perfect! This sentence has been marked as perfect! |
Moi qui n’ai presque rien dit… Moi qui n Ici encore, vous parlez d'une habitude générale, alors je trouverais le présent meilleur, même si le passé composé serait toléré, pour des raisons de style This sentence has been marked as perfect! |
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Bien sûr, lorsque je parle avec un ami cher, il m’arrive d’exprimer un peu plus mes opinions. This sentence has been marked as perfect! This sentence has been marked as perfect! |
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