April 12, 2023
Comment puis-je vous présenter des événements si compliqués ? Je considère même le mot plus beau pas du tout suffisant pour décrire un pareil garçon ; et ainsi je voudrais cracher sur les mots que je viens d'écrire. Et j'ai vous parlé de ce parce que je vous prie de ne pas analyser chaque mot, mais de laisser même l'idée plus bête se promener, parce que vous la considérerez ainsi seulement par ces mauvais mots. Mais j'ai déjà trop parlé ; voilà:
« Cher cahier, peux-tu te souvenir que j'ai te parlé, il y a peut-être deux ou trois mois, de mon élévation ? Hélas, je hais quand les chaînes physiques semblent l'empêcher ! Elle me détestent !
Je ne peux plus dormir : chaque nuit mon lit semble ne pas me vouloir, et la dimension métaphysique semble s'éloigner sans un mot . Mais elle m'a toujours parlé ! Même quand l'encre ou les livres semblaient se rire de moi, même quand tout le monde était prêt à cracher sur moi, hélas, le sommeil était toujours prêt à m'aider ! Ils me caressent et je semblais oublier tout. Dans le sommeil je n'étais ni heureux ni triste, ni beau ni moche, ni intelligent ni bête : dans le sommeil l'être semblait remplir mon essence, et il n'y avait donc pas d'espace pour pleurer ou penser, pas d'espace que pour éprouver.
Qu'est-ce que dois-je faire? La seule chose qui était douce maintenant me montre les épaules et s'éloigne : elle ne veut plus me parler.
Je ne peux plus supporter tout ça. J'ai déjà pensé à me tuer ; d'ailleurs ceci me semble le seul moyen de fuir tout ce qui cause mes problèmes. ».
! (IX)
Comment puis-je vous présenter des événements si compliqués ?
Je considère même le mot le plus beau pas du tout suffisant pour décrire un pareil garçon ; et ainsi je voudrais cracher sur les mots que je viens d'écrire.
Et j'aie vous parlée de ceça parce que je vous prie de ne pas analyser chaque mot, mais de laisser même l'idée la plus bête se promener, parce que vous ne la considérerez ainsi plus seulement que par ces mauvais mots.
Mais j'ai déjà trop parlé ; voilà:
Hélas, je hais quand les chaînes physiques semblent l'empêcher !
« Cher cahier, peux-tu te souvenir que j'ai tede ce dont je t'ai parlé, il y a peut-être deux ou trois mois, de mon élévation ?
Elles me détestent !
Je ne peux plus dormir : chaque nuit mon lit semble ne pas me vouloir, et la dimension métaphysique semble s'éloigner sans un mot .
Mais elle m'a toujours parlé !
Même quand l'encre ou les livres semblaient se rire de moi, même quand tout le monde était prêt à cracher sur moi, hélas, le sommeil était toujours prêt à m'aider !
Ils me caressent et je semblais tout oublier tout.
Dans le sommeil je n'étais ni heureux ni triste, ni beau ni moche, ni intelligent ni bête : dans le sommeil l'être semblait remplir mon essence, et il n'y avait donc pas d'espace pour pleurer ou penser, pas d'espace que pour éprouver.
Qu'est-ce que dois-je faire?
La seule chose qui était douce maintenant me montre les épauletourne le dos et s'éloigne : elle ne veut plus me parler.
Je ne peux plus supporter tout ça.
J'ai déjà pensé à me tuer ; d'ailleurs ceci me semble le seul moyen de fuir tout ce qui me cause mes problèmes.
».
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Je considère même le mot plus beau pas du tout suffisant pour décrire un pareil garçon ; et ainsi je voudrais cracher sur les mots que je viens d'écrire. Je considère même le mot le plus beau pas du tout suffisant pour décrire un pareil garçon ; et ainsi je voudrais cracher sur les mots que je viens d'écrire. |
Et j'ai vous parlé de ce parce que je vous prie de ne pas analyser chaque mot, mais de laisser même l'idée plus bête se promener, parce que vous la considérerez ainsi seulement par ces mauvais mots. Et j |
Mais j'ai déjà trop parlé ; voilà: « Cher cahier, peux-tu te souvenir que j'ai te parlé, il y a peut-être deux ou trois mois, de mon élévation ? |
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Elle me détestent ! Elles me détestent ! |
Je ne peux plus dormir : chaque nuit mon lit semble ne pas me vouloir, et la dimension métaphysique semble s'éloigner sans un mot . This sentence has been marked as perfect! |
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Ils me caressent et je semblais oublier tout. Ils me caressent et je semblais tout oublier |
Dans le sommeil je n'étais ni heureux ni triste, ni beau ni moche, ni intelligent ni bête : dans le sommeil l'être semblait remplir mon essence, et il n'y avait donc pas d'espace pour pleurer ou penser, pas d'espace que pour éprouver. Dans le sommeil je n'étais ni heureux ni triste, ni beau ni moche, ni intelligent ni bête : dans le sommeil l'être semblait remplir mon essence, et il n'y avait donc pas d'espace pour pleurer ou penser, pas d'espace |
Qu'est-ce que dois-je faire? Qu |
La seule chose qui était douce maintenant me montre les épaules et s'éloigne : elle ne veut plus me parler. La seule chose qui était douce maintenant me |
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J'ai déjà pensé à me tuer ; d'ailleurs ceci me semble le seul moyen de fuir tout ce qui cause mes problèmes. J'ai déjà pensé à me tuer ; d'ailleurs ceci me semble le seul moyen de fuir tout ce qui me cause |
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« Cher cahier, peux-tu te souvenir que j'ai te parlé, il y a peut-être deux ou trois mois, de mon élévation ? « Cher cahier, peux-tu te souvenir |
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