anouk's avatar
anouk

Dec. 10, 2022

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# I

Assise, son épaule touchante quelle d'un homme que lui semble l'observer toujours, les vêtements lui resserrent les jambes: malheuresement, ça n'est pas le jour du mois où son corps ne lui donne pas des problèmes. Donc, même sans pouvoir le regarder, elle est sûre que l'oeil tombe dégoûté sur les formes de son corps. Et tous ces pensées se fixent dans le cerveau quand l'homme, en approchant la sortie, rencontre avec les yeux la femme; et ce signe qui n'est pas
remarqué même pas par tout le monde, pour elle répresente une révélation.
Hèlas, que coeur et que émotions! Et même les amis qui remplissent ses meilleurs souvenirs, si ils pussent ressentir ce qu'elle éprouve dans ne serait-ce qu'un voyage en bus!
Femme douée de sentiments si forts et éprouvants que un parmi ses jours contient toute la tristesse et la felicité du monde, elle descende du bus, le nez rougi par le froid.

Corrections

Assise, son épaule touchante qu celle d'un homme quei lui semble l'observer toujourscontinuellement, lses vêtements lui (res)serrent les jambes : malheureusement, çace n'est pas le jour du mois où son corps ne lui donncause pas des problèmes.

Le participe présent est toujours -ant, ce sont seulement les adjectifs tirés des participes qui prennent des formes féminines
Il semble à la femme (objet indirect) que l'homme (sujet) l'observe. Pour répéter homme, on a donc besoin du pronom relatif sujet => qui
« resserrent » veut dire que ses vêtements rapprochent ses jambes l'une de l'autre ; « serrent » veut dire qu'elle a l'impression que ses jambes sont prisonnières de ses vêtements. Je ne sais pas lequel tu voulais utiliser
On « cause » ou on « pose » des problèmes à quelqu'un

Donc, même sans pouvoir le regarder cet homme, elle est sûre que l'oeil tombeson regard glisse, dégoûté, sur les formes de son corps.

Le contexte n'était pas spécialement obscur, mais j'ai préféré changer la phrase pour qu'on comprenne bien qui fait quoi
Mieux vaut ajouter des virgules pour un adjectif en incise comme « dégoûté »

Et toutes ces pensées se fixent dans le cerveauson esprit quand l'homme, en s'approchant de la sortie, rencontre avec les yeux la femme; ela croise du regard ; ce geste, qui n'est même pas remarqué par tout cle signe qui n'est pasmonde, représente pour elle une révélation.

Rencontrer avec les yeux = croiser du regard
Faire l'effort de devenir physiquement plus près de quelque chose, c'est « s'approcher »
« signe » voudrait dire que ce regard est vraiment porteur de sens (et que ce n'est pas juste une interprétation de la femme). « Geste » est plus neutre (cela veut juste dire « mouvement »)
Un peu plus formel => ce geste, qui n'est même pas remarqué DE TOUS, [...]

remarqué même pas par tout le monde, pour elle répresente une révélation.

Hèélas, que coede cœur et que d'émotions !

« que » tout seul ne marche pas avec des noms. On utilise « quel(le) » pour cela
En revanche, il existe « que de », qui correspond à peu près à « quanto/-i/quanta/-e X »)

Et même les amis qui remplissent ses meilleurs souvenirs, si 'ils pussouvaient ressentir ce qu'elle éprouve dans ne serait-ce qu'unurant un simple voyage en bus !

L'imparfait du subjonctif (« pussent » ) est un temps hautement littéraire et obsolète en français. Tu peux bien sûr l'utiliser, mais ton style vieillira beaucoup d'un seul coup ! Le temps standard pour les subordonnées en « si » est l'imparfait
« un simple » est bien moins lourd que « ne serait-ce que », donc j'ai préféré alléger dans une phrase déjà assez complexe

Femme douée de sentiments si forts et éprouvants que un parmi'une seule de ses journées contient toute la tristesse et la feélicité du monde, elle descende du bus, le nez rougi par le froid.

« éprouvant » ici voudrait dire « fatigant » (je veux juste m'assurer que tu aies le bon mot)
« la félicité » est assez littéraire, ça convient bien ici ; le terme français plus neutre et plus commun est « le bonheur »

anouk's avatar
anouk

Dec. 11, 2022

0

Merci beaucoup par les corrections; pour t'assurer, tous le choix littéraires sont exprès parce que j'aime ce style

Monsieur_Elephant's avatar
Monsieur_Elephant

Dec. 11, 2022

43

*pour (« par » c'est très souvent « da »)
Je dois dire que même dans un style littéraire moderne, l'imparfait du subjonctif serait vraiment très très formel, mais tu peux l'employer si tu le souhaites !

# I


Assise, son épaule touchante quelle d'un homme que lui semble l'observer toujours, les vêtements lui resserrent les jambes: malheuresement, ça n'est pas le jour du mois où son corps ne lui donne pas des problèmes.


Assise, son épaule touchante qu celle d'un homme quei lui semble l'observer toujourscontinuellement, lses vêtements lui (res)serrent les jambes : malheureusement, çace n'est pas le jour du mois où son corps ne lui donncause pas des problèmes.

Le participe présent est toujours -ant, ce sont seulement les adjectifs tirés des participes qui prennent des formes féminines Il semble à la femme (objet indirect) que l'homme (sujet) l'observe. Pour répéter homme, on a donc besoin du pronom relatif sujet => qui « resserrent » veut dire que ses vêtements rapprochent ses jambes l'une de l'autre ; « serrent » veut dire qu'elle a l'impression que ses jambes sont prisonnières de ses vêtements. Je ne sais pas lequel tu voulais utiliser On « cause » ou on « pose » des problèmes à quelqu'un

Donc, même sans pouvoir le regarder, elle est sûre que l'oeil tombe dégoûté sur les formes de son corps.


Donc, même sans pouvoir le regarder cet homme, elle est sûre que l'oeil tombeson regard glisse, dégoûté, sur les formes de son corps.

Le contexte n'était pas spécialement obscur, mais j'ai préféré changer la phrase pour qu'on comprenne bien qui fait quoi Mieux vaut ajouter des virgules pour un adjectif en incise comme « dégoûté »

Et tous ces pensées se fixent dans le cerveau quand l'homme, en approchant la sortie, rencontre avec les yeux la femme; et ce signe qui n'est pas


Et toutes ces pensées se fixent dans le cerveauson esprit quand l'homme, en s'approchant de la sortie, rencontre avec les yeux la femme; ela croise du regard ; ce geste, qui n'est même pas remarqué par tout cle signe qui n'est pasmonde, représente pour elle une révélation.

Rencontrer avec les yeux = croiser du regard Faire l'effort de devenir physiquement plus près de quelque chose, c'est « s'approcher » « signe » voudrait dire que ce regard est vraiment porteur de sens (et que ce n'est pas juste une interprétation de la femme). « Geste » est plus neutre (cela veut juste dire « mouvement ») Un peu plus formel => ce geste, qui n'est même pas remarqué DE TOUS, [...]

remarqué même pas par tout le monde, pour elle répresente une révélation.


remarqué même pas par tout le monde, pour elle répresente une révélation.

Hèlas, que coeur et que émotions!


Hèélas, que coede cœur et que d'émotions !

« que » tout seul ne marche pas avec des noms. On utilise « quel(le) » pour cela En revanche, il existe « que de », qui correspond à peu près à « quanto/-i/quanta/-e X »)

Et même les amis qui remplissent ses meilleurs souvenirs, si ils pussent ressentir ce qu'elle éprouve dans ne serait-ce qu'un voyage en bus!


Et même les amis qui remplissent ses meilleurs souvenirs, si 'ils pussouvaient ressentir ce qu'elle éprouve dans ne serait-ce qu'unurant un simple voyage en bus !

L'imparfait du subjonctif (« pussent » ) est un temps hautement littéraire et obsolète en français. Tu peux bien sûr l'utiliser, mais ton style vieillira beaucoup d'un seul coup ! Le temps standard pour les subordonnées en « si » est l'imparfait « un simple » est bien moins lourd que « ne serait-ce que », donc j'ai préféré alléger dans une phrase déjà assez complexe

Femme douée de sentiments si forts et éprouvants que un parmi ses jours contient toute la tristesse et la felicité du monde, elle descende du bus, le nez rougi par le froid.


Femme douée de sentiments si forts et éprouvants que un parmi'une seule de ses journées contient toute la tristesse et la feélicité du monde, elle descende du bus, le nez rougi par le froid.

« éprouvant » ici voudrait dire « fatigant » (je veux juste m'assurer que tu aies le bon mot) « la félicité » est assez littéraire, ça convient bien ici ; le terme français plus neutre et plus commun est « le bonheur »

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