cerise's avatar
cerise

May 26, 2024

1
Guerre de Troie

Ainsi, Ménélas a pu gagner ses anciens rivaux à sa cause, mais l’affaire remonte jusqu’à la lutte de prétendants d’Hélène. Son père, Tyndare, en pensant que n’importe qu’il choisit, il allait s’attirer le ressentiment, les a fait lui promettre d’aider son futur beau fils, quand celui-ci se retrouve dans l’embarras.

Corrections

Guerre de Troie

Ainsi, Ménélas a pu gagnrallier ses anciens rivaux à sa cause, mais l’affaire remonte (jusqu')à la lutterivalité des prétendants d’Hélène.

« la lutte » sous-entendrait fortement qu'il y a eu affrontement direct pour savoir qui épouserait Hélène

Son père, Tyndare, en pensant que n’importe qu’il choisit, il allait s’'il s'attirer leait du ressentiment, les a f peu importe qui il choisirait, luieur a fait promettre d’aider son futur gendre/beau -fils, quandsi celui-ci se retrouveait dans l’embarras.

Tyndare qui pensait = Tyndare, pensant... (quand vous pouvez remplacer par une relative en « qui », vous n'avez besoin que du participe présent)
« ressentiment » est en général considéré comme une quantité dans ce cas => DU ressentiment
faire promettre À quelqu'un (objet indirect) => il LEUR a fait promettre (pronom indirect de la troisième personne du pluriel)
À l'époque, Tyndare ne savait pas si son futur gendre se retrouverait dans l'embarras, c'était une hypothèse => si + imparfait

cerise's avatar
cerise

May 26, 2024

1

Merci beaucoup pour ces corrections comme toujours ^-^

Ainsi, Ménélas a pu gagner ses anciens rivaux à sa cause, mais l’affaire remonte jusqu’à la lutte de prétendants d’Hélène.


Ainsi, Ménélas a pu gagnrallier ses anciens rivaux à sa cause, mais l’affaire remonte (jusqu')à la lutterivalité des prétendants d’Hélène.

« la lutte » sous-entendrait fortement qu'il y a eu affrontement direct pour savoir qui épouserait Hélène

Son père, Tyndare, en pensant que n’importe qu’il choisit, il allait s’attirer le ressentiment, les a fait lui promettre d’aider son futur beau fils, quand celui-ci se retrouve dans l’embarras.


Son père, Tyndare, en pensant que n’importe qu’il choisit, il allait s’'il s'attirer leait du ressentiment, les a f peu importe qui il choisirait, luieur a fait promettre d’aider son futur gendre/beau -fils, quandsi celui-ci se retrouveait dans l’embarras.

Tyndare qui pensait = Tyndare, pensant... (quand vous pouvez remplacer par une relative en « qui », vous n'avez besoin que du participe présent) « ressentiment » est en général considéré comme une quantité dans ce cas => DU ressentiment faire promettre À quelqu'un (objet indirect) => il LEUR a fait promettre (pronom indirect de la troisième personne du pluriel) À l'époque, Tyndare ne savait pas si son futur gendre se retrouverait dans l'embarras, c'était une hypothèse => si + imparfait

Guerre de Troie


This sentence has been marked as perfect!

You need LangCorrect Premium to access this feature.

Go Premium