De nos jours, on a tendance à favoriser l’apprentissage à la maison.

il manquait un verbe après 'avoir tendance à'

À maAprès réflexion/En y réfléchissant, je suis d’accord pour l’instruction dans la famille.

Certains se posent la question,demandent si les enfants qui apprennent sans l’école, ont des difficultés d’pour acquérir des connaissances comme le font les enfants qui étudient à l’école.

Pour moi, l’instruction au sein de la famille permet aux enfants d’apprendre à leurs rythmes et selon leurs besoins.

Mon cousin est un exemple d’apprentissage'un enfant instruit chez lui.

Il s’intéresse à la biologie et passe la plupart de temps à rechercher des connaissancesavoirs liées à la biologie, au lieu d’apprendre beaucoup de métiers en classe, qu’il n’aime pas.

De plus, un problème est mis en placese pose: “Est-ce que les enfants qui suivent l’apprentissage chez eux sont difficile deu mal à se faire des amis ?” Il est clair que les amis ne se font pas uniquement dans le cadre scolaire.

Ils peuvent se faire des amis quand ils font du sport, partent en randonnée ou participent à des activités,... De mon point de vue, ils peuvent se rencontrer/se faire plus d’amis que les enfants étudieant à l’école.

Leurs amis peuvent être dans de nombreux domaines différents, par exemple dans le domaine sportif ou culturel,... C’est notamment une bonne chanceoccasion pour eux de gagner'acquérir plus des connaissances dans beaucoup de domaines.

Je réécrirais le début de cette phrase: "On peut se lier d'amitié dans de nombreux environnements différents, par exemple..."

Certains indiquent un désavantage/point faisable d’apprentissage en famille.

Est-ce que l’apprentissage peut avoir lieu, dans ce cas, où les parents n’ont pas assez dle niveau pour instruire/enseigner à leurs enfants ?