March 6, 2024
Il y avait un temps où on pouvait ignorer les enjeux environnementaux, où ceux-ci étaient classifiés de questions secondaires dans le débat public. Pas aujourd’hui ; le changement climatique est devenu l’un des principaux défis pour l’humanité, et la plupart des gens, au moins en Europe, accepte ce propos. Cependant, il y a notamment moins d’accord sur la question de comment y faire face. Grossièrement, si on est de gauche on pense que le gouvernement devrait mettre en place des règles, des impôts et des lois pour dissuader la pollution, et utiliser des fonds publics pour soutenir la transition à une société plus durable ; de droit, en revanche, il est plus courant de croire que la transition soit la responsabilité des individus, et que l’intervention publique doive se limiter à l’investissement dans les recherches. Même si on accepte le rôle des autorités publiques, il est difficile d’éviter le sentiment que la transition avance trop lent, et que on doit faire tout ce que on puisse pour l’aider.
Le plus simple, en matière d’émissions des gaz à effet de serre, est réduire son utilisation directe des combustibles fossiles. Par exemple, on peut rouler moins en voiture (si on n’a pas de voiture électrique). Pour chaque kilomètre qu’on ne conduit pas, le carbone va rester dans le réservoir d’essence. Deuxièmement, mais aussi assez simple, sont les émissions indirectes d’énergie ; c’est-à-dire les émissions causées par la combustion du gaz, du pétrole ou du charbon pour générer de l’électricité. La difficulté se produit quand on arrive à la troisième catégorie ; celles-ci sont des émissions intégrées dans les biens et les services qu’on utilise. Il y a deux problèmes principaux. Tout d’abord, il faut toujours avoir conscience que, même si on ne consomme pas un produit, cela existe déjà, et le carbone est déjà dans l’atmosphère. Plus difficile encore est la question d’information ; dans la plupart des cas, on manque des informations correctes et fiables par rapport a la durabilité des produits, surtout si on considère les chaînes d’approvisionnement super-longues qui traversent la moitié du monde.
Les individus peuvent donc faire des choix de consommation durable, mais le gouvernement a une responsabilité de faire le choix durable le choix plus facile à faire.
Est-il possible de mener une vie écologique ?
Il y avaifut un temps où on pouvait ignorer les enjeux environnementaux, où ceux-ci étaient classifiés de questions secondaires dans le débat public.
Alternative : être reléguer au second plan. Ex : Les enjeux environnementaux étaient relégués au second plan.
Pas aujourd’hui ; le changement climatique est devenu l’un des principaux défis pourde l’humanité, et la plupart des gens, au moins en Europe, accepte ce propos.
"Défi pour l'humanité" est également correct mais j'ai l'impression que l'on dira plus rapidement "défi de l'humanité". Sur Google, "défi de l'humanité" donne plus de résultats que "défi pour l'humanité".
Cependant, il y a notamment moins d’accords sur la question de comment y faire face.
Alternative : il n'y a pas d'unanimité sur la question.
Grossièrement, si on est de gauche on pense que le gouvernement devrait mettre en place des règles, des impôts et des lois pour dissuader la pollution, et utiliser des fonds publics pour soutenir la transition àvers une société plus durable ; deà la droite, en revanche, il est plus courant de croire que la transition relève de/soit de la responsabilité des individus, et que l’intervention publique doivet se limiter à l’investissement dans lesa recherches.
Même si on accepte le rôle des autorités publiques, il est difficile d’éviter le sentiment que la transition avance trop lentement, et que 'on doit faire tout ce que on puisse pour l’aider.i est possible de faire pour faciliter (la transition).
Le plus simple, en matière d’émissions des gaz à effet de serre, est de réduire son l'utilisation directe des combustibles fossiles.
Pour chaque kilomètre qu’on ne conduit pas, le carbone va rester dans le réservoir d’essence.
Deuxièmement, mais aussitout aussezi simple, ce sont les émissions indirectes d’(liées à la production d'énergie ); c’est-à-dire les émissions causées par la combustion du'un gaz, du pétrole ou du charbon pour générer de l’électricité.
"émissions indirectes d'énergie" : on comprend ici que ce sont des émissions d'énergie qui sont faites de manière indirecte.
La difficulté se produapparait quand on arrive à la troisième catégorie ; celles-ci sont des émissions intégrées dans les biens et les services qu’on utilise.
Il y a deux problèmes principaux.
Tout d’abord, il faut toujours avoir conscience que, même si on ne consomme pas un produit, celaui-ci existe déjà, et le carbone (associé à sa production) est déjà dans l’atmosphère.
Plus difficile encore est la question d’e l'information ; dans la plupart des cas, on manque des 'informations correctes et fiables par rapport aà la durabilité des produits, surtout si on considère les chaînes d’approvisionnement super/ultra-longues qui traversent la moitié du monde.
Les individus peuvent donc faire des choix de consommation durable, mais le gouvernement a unela responsabilité de fairendre le choix durable le choix plus facile à faire.
Alternative : rendre l'option durable la plus viable/intéressante/inévitable.
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Il y avait un temps où on pouvait ignorer les enjeux environnementaux, où ceux-ci étaient classifiés de questions secondaires dans le débat public. Il Alternative : être reléguer au second plan. Ex : Les enjeux environnementaux étaient relégués au second plan. |
Pas aujourd’hui ; le changement climatique est devenu l’un des principaux défis pour l’humanité, et la plupart des gens, au moins en Europe, accepte ce propos. Pas aujourd’hui ; le changement climatique est devenu l’un des principaux défis "Défi pour l'humanité" est également correct mais j'ai l'impression que l'on dira plus rapidement "défi de l'humanité". Sur Google, "défi de l'humanité" donne plus de résultats que "défi pour l'humanité". |
Cependant, il y a notamment moins d’accord sur la question de comment y faire face. Cependant, il y a notamment moins d’accords sur la question de comment y faire face. Alternative : il n'y a pas d'unanimité sur la question. |
Même si on accepte le rôle des autorités publiques, il est difficile d’éviter le sentiment que la transition avance trop lent, et que on doit faire tout ce que on puisse pour l’aider. Même si on accepte le rôle des autorités publiques, il est difficile d’éviter le sentiment que la transition avance trop lentement, et qu |
Le plus simple, en matière d’émissions des gaz à effet de serre, est réduire son utilisation directe des combustibles fossiles. Le plus simple, en matière d’émissions des gaz à effet de serre, est de réduire |
Grossièrement, si on est de gauche on pense que le gouvernement devrait mettre en place des règles, des impôts et des lois pour dissuader la pollution, et utiliser des fonds publics pour soutenir la transition à une société plus durable ; de droit, en revanche, il est plus courant de croire que la transition soit la responsabilité des individus, et que l’intervention publique doive se limiter à l’investissement dans les recherches. Grossièrement, si on est de gauche on pense que le gouvernement devrait mettre en place des règles, des impôts et des lois pour dissuader la pollution, et utiliser des fonds publics pour soutenir la transition |
Par exemple, on peut rouler moins en voiture (si on n’a pas de voiture électrique). |
Pour chaque kilomètre qu’on ne conduit pas, le carbone va rester dans le réservoir d’essence. Pour chaque kilomètre qu’on ne conduit pas, le carbone |
Deuxièmement, mais aussi assez simple, sont les émissions indirectes d’énergie ; c’est-à-dire les émissions causées par la combustion du gaz, du pétrole ou du charbon pour générer de l’électricité. Deuxièmement, mais "émissions indirectes d'énergie" : on comprend ici que ce sont des émissions d'énergie qui sont faites de manière indirecte. |
La difficulté se produit quand on arrive à la troisième catégorie ; celles-ci sont des émissions intégrées dans les biens et les services qu’on utilise. La difficulté |
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Tout d’abord, il faut toujours avoir conscience que, même si on ne consomme pas un produit, cela existe déjà, et le carbone est déjà dans l’atmosphère. Tout d’abord, il faut toujours avoir conscience que, même si on ne consomme pas un produit, cel |
Plus difficile encore est la question d’information ; dans la plupart des cas, on manque des informations correctes et fiables par rapport a la durabilité des produits, surtout si on considère les chaînes d’approvisionnement super-longues qui traversent la moitié du monde. Plus difficile encore est la question d |
Les individus peuvent donc faire des choix de consommation durable, mais le gouvernement a une responsabilité de faire le choix durable le choix plus facile à faire. Les individus peuvent donc faire des choix de consommation durable, mais le gouvernement a Alternative : rendre l'option durable la plus viable/intéressante/inévitable. |
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