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anouk

Sept. 5, 2023

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Délires (VII)

« Je me suis éloigné de moi-même, j'ai oublié tout ce qu'était pour moi important ; j'ai tué moi-même, et donc je suis mort ! Et j'ai fait tout ça seulement pour les autres ! Je voulais les comprendre, parler avec tous et rire de tout ce qui est pour moi si drôle. Oh, je ris souvent, mais toujours seul ; mon rire se perd et il ne trouve jamais un garçon, une fille, ou même une pierre avec lesquelles rire. Donc, après avoir parlé et ri avec moi-même pour des années et des années, j'ai décidé de tuer tout ce que je suis pour renaître dans les autres : maintenant je cherche à ressusciter dans les yeux des autres, à m'emballer avec leurs sourires et à vivre dans ceux-là. Je voudrais les faire miens ! Ceci est mavérité ! Je voudrais être les autres et que les autres étaient moi : je voudrais cette vie commune dans laquelle le sourire d'un est le sourire de tous. Oh, mon Dieu, être heureux quand il, elle, ou encore la pierre tout à l'heure, sont heureux, ne serait-ce pas très doux ? Sourire parce que le vent chatouille cette pierre, parce qu'elle donc rit, se bouge, parce qu'elle cherche à fuir ce vent ami qui adore l'ennuyer ! Et je suis heureux de l'amitié entre ce vent et cette pierre ! Je me suis éloigné du ridicule de remarquer tout ça, et donc mes yeux peuvent le voir, voir cette amitié ! Et l'amour entre l'herbe et le vent, ou entre la terre et le feu ?! Oh, je suis ivre de tout ça ! Je ne suis personne, je suis mort, et je vas renaître dans tout ce que j'aime, dans tout ce que je vois avec les yeux de celui qu'on ne peut que définir « heureux de vivre ». »

Corrections

Délires (VII)

« Je me suis éloigné de moi-même, j'ai oublié tout ce qu'i était pour moi important ; j'aie me suis tué moi-même, et donc je suis mort !

Et j'ai fait tout ça seulement pour les autres !

Je voulais les comprendre, parler avec tous et rire de tout ce qui est pour moi si drôle.

Oh, je ris souvent, mais toujours seul ; mon rire se perd et il ne trouve jamais un garçon, une fille, ou même une pierre avec lesquelles rire.

Donc, après avoir parlé et ri avec moi-même pourendant des années et des années, j'ai décidé de tuer tout ce que je su'étais pour renaître dans les autres : maintenant je cherche à ressusciter dans les yeux des autres, à m'emballer avec leurs sourires et à vivre dans ceux-làen eux.

Je voudrais les faire miens !

Ceci est ma vérité !

Je voudrais être les autres et que les autres étasoient moi : je voudrais cette vie commune dans laquelle le sourire d'un est le sourire de tous.

Oh, mon Dieu, être heureux quand il, elle, ou encore la pierre de tout à l'heure, sont heureux, ne serait-ce pas très doux ?

Sourire parce que le vent chatouille cette pierre, parce qu'elle a donc rit, sea bougeé, parce qu'elle cherche à fuir ce vent amical qui adore l'ennuymbêter !

Et je suis heureux de l'amitié entre cle vent et cette pierre !

Je me suis éloigné du ridicule de remarquer tout ça, et donc mes yeux peuvent le voir, voir cette amitié !

Et l'amour entre l'herbe et le vent, ou entre la terre et le feu ?

!

Oh, je suis ivre de tout ça !

Je ne suis personne, je suis mort, et je vais renaître dans tout ce que j'aime, dans tout ce que je vois, avec les yeux de celui qu'on ne peut que définir « heureux de vivre ».

»

Délires (VII)


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« Je me suis éloigné de moi-même, j'ai oublié tout ce qu'était pour moi important ; j'ai tué moi-même, et donc je suis mort !


« Je me suis éloigné de moi-même, j'ai oublié tout ce qu'i était pour moi important ; j'aie me suis tué moi-même, et donc je suis mort !

Et j'ai fait tout ça seulement pour les autres !


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Je voulais les comprendre, parler avec tous et rire de tout ce qui est pour moi si drôle.


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Oh, je ris souvent, mais toujours seul ; mon rire se perd et il ne trouve jamais un garçon, une fille, ou même une pierre avec lesquelles rire.


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Donc, après avoir parlé et ri avec moi-même pour des années et des années, j'ai décidé de tuer tout ce que je suis pour renaître dans les autres : maintenant je cherche à ressusciter dans les yeux des autres, à m'emballer avec leurs sourires et à vivre dans ceux-là.


Donc, après avoir parlé et ri avec moi-même pourendant des années et des années, j'ai décidé de tuer tout ce que je su'étais pour renaître dans les autres : maintenant je cherche à ressusciter dans les yeux des autres, à m'emballer avec leurs sourires et à vivre dans ceux-làen eux.

Je voudrais les faire miens !


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Ceci est mavérité !


Ceci est ma vérité !

Je voudrais être les autres et que les autres étaient moi : je voudrais cette vie commune dans laquelle le sourire d'un est le sourire de tous.


Je voudrais être les autres et que les autres étasoient moi : je voudrais cette vie commune dans laquelle le sourire d'un est le sourire de tous.

Oh, mon Dieu, être heureux quand il, elle, ou encore la pierre tout à l'heure, sont heureux, ne serait-ce pas très doux ?


Oh, mon Dieu, être heureux quand il, elle, ou encore la pierre de tout à l'heure, sont heureux, ne serait-ce pas très doux ?

Sourire parce que le vent chatouille cette pierre, parce qu'elle donc rit, se bouge, parce qu'elle cherche à fuir ce vent ami qui adore l'ennuyer !


Sourire parce que le vent chatouille cette pierre, parce qu'elle a donc rit, sea bougeé, parce qu'elle cherche à fuir ce vent amical qui adore l'ennuymbêter !

Et je suis heureux de l'amitié entre ce vent et cette pierre !


Et je suis heureux de l'amitié entre cle vent et cette pierre !

Je me suis éloigné du ridicule de remarquer tout ça, et donc mes yeux peuvent le voir, voir cette amitié !


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Et l'amour entre l'herbe et le vent, ou entre la terre et le feu ?


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!


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Oh, je suis ivre de tout ça !


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Je ne suis personne, je suis mort, et je vas renaître dans tout ce que j'aime, dans tout ce que je vois avec les yeux de celui qu'on ne peut que définir « heureux de vivre ».


Je ne suis personne, je suis mort, et je vais renaître dans tout ce que j'aime, dans tout ce que je vois, avec les yeux de celui qu'on ne peut que définir « heureux de vivre ».

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