Tous les écrivains utilisent … comme imagerie, personnification et métaphores pour décrire New York d’une manière appropriée pour que le lecteur comprenne la raison de la migration.

Les trois petits points sont les éléments concrets qu'utilisent les écrivains ?

Il y’ a les expressions comme « j’ai été confondu par y’sa beauté », « ton sourire de givre » sSenghor utilise la personnification, il décrit le pays comme une personne qui e l'on rencontre pour la première fois; presque tous les autres extraits c’est quelque chose nouvelle pour les migrants tandis qu’ils essayent découvrir la terre.

Je n comprends pas ce que tu veux dire là : "presque tous les autres extraits c’est quelque chose nouvelle pour les migrants tandis qu’ils essayent découvrir la terre."

« Nuits d’insomnie ô nuits de Manhattan », « proches et lointaines, tissent un nouveau ciel » le nouvel endroit est étrange ; il y’ a donc un sentiment de d’inconfort et d’égarement si il. Cela peut être difficileur de se coucher, de parler, de faire un et se promenader seul parce q. Que c’'est dur pour lesd'être un étrangers.

je ne comprends pas ce que tu cherche à dire : "S'il peut être difficile de coucher, de parler, de faire une promenade seul parce que c’est dur pour les étrangers."

Sans se contreditre, l’espoir coule à travers les extraits, pourtant l’inquiétude empoisonne l’espoir.

j'ai du mal à comprendre ce que tu cherches à développer

« des graves splendeurs célestes … maintenant inquiets » Dans ce scénario le lecteur peut voire que les gens vaulent mieux, ils déménagent pour obtenir plus dans ses vies mais il existe aussi la possibilité d’échec.

Les histoires circulent, la première apparition de New York aide de l’idéà voir cette idéjà créée, les bâtiments, les spectacles, la nature plus vite,qui a un rythme rapide : dans tout cela on voit un moyenn/exemple de réussite.

Ainsi les extraits montrent New York deà travers la perspective des étrangers avec. Ceux-ci ont leurs espoirs, leurs peurs et bonleurs bonnes intentions.