July 14, 2025
Le hêtre (Fagus) connaît un cycle de grande abondance environ tous les cinq ans, au cours duquel il produit une quantité exceptionnelle de glands. C’est un phénomène bien connu dans la nature : les petits animaux comme les écureuils adaptent leur population à la quantité de ces fruits. Et lorsqu’une année, les glands tombent en trop grande quantité pour être consommés, ils les enterrent un peu partout. C’est là une stratégie d’une remarquable intelligence de la part de la plante.
J’aime transposer cette stratégie à ma propre vie. Car ce que l’on ne peut pas accomplir en un an ou deux, on peut l’accumuler, patiemment, sans relâche, pendant cinq ans… et finir par atteindre une certaine masse de savoirs, d’expériences, une forme de plénitude. Quand je me lance dans un nouveau défi, je ne me laisse jamais emporter par l’impatience. Car j’ai en tête ce cycle de cinq ans.
Aujourd’hui, cela fait un an et neuf mois que j’apprends le français. Et je crois sincèrement qu’avec encore trois années de persévérance, une grande saison d’abondance m’attend.
Cinq ans
Le hêtre (Fagus) connaît un cycle période de grande abondance environ tous les cinq ans, au cours duquel il produit une quantité exceptionnelle de glands.
« cycle » décrit l’ensemble du processus, à la fois les moments d’abondance, mais aussi les périodes de famine.
C’est un phénomène bien connu dans la nature : les petits animaux comme les écureuils adaptent leur population à la quantité de ces fruits.
« population » semble un peu étrange dans ce contexte. C’est un terme très global, alors qu’on s’attendrait à un comportement individuel de l’écureuil. « les écureuils adaptent leur comportement » semble plus logique.
Et lorsqu’une année, les glands tombent en trop grande quantité pour être consommés, ils les enterrent un peu partout.
« Et » en début de phrase est correct mais n’est pas très formel.
C’est là une stratégie d’une remarquable intelligence de la part de la plante.
J’aime transposer cette stratégie à ma propre vie.
Car ce que l’on ne peut pas accomplir en un an ou deux, on peut l’accumuler, patiemment, sans relâche, pendant cinq ans… et finir par atteindre une certaine masse de savoirs, d’expériences, une forme de plénitude.
Quand je me lance dans un nouveau défi, je ne me laisse jamais emporter par l’impatience.
Car j’ai en tête ce cycle de cinq ans.
Aujourd’hui, cela fait un an et neuf mois que j’apprends le français.
Et je crois sincèrement qu’avec encoree dans trois années de persévérance, une grande saison d’abondance m’attend.
La construction la plus naturelle est « Quelque chose m’attend quelque part ». Votre phrase peut laisser penser que dans trois ans, la saison commencera à attendre, alors que vous voulez dire qu’elle est actuellement en train d’attendre au « point » des trois ans.
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Texte très naturel comme toujours, je cherche vraiment les petits détails ! Vous avez un niveau très impressionnant pour moins de deux ans de français. Voir quelqu’un progresser aussi vite est très inspirant.
Le hêtre (Fagus) connaît un cycle de grande abondance environ tous les cinq ans, au cours duquel il produit une quantité exceptionnelle de glands.
- Il me semble que le fruit du hêtre est la "faine" (ou "faîne"), et non le gland qui, lui, est le fruit du chêne. Mais honnêtement, je ne suis pas certain que le français moyen connaisse même l'existence du mot faine.
- On comprend très bien votre phrase, mais formellement il y a un petit soucis avec l'emploi du mot cycle. Le cycle c'est ce qui dure cinq années, mais ce dont vous parlez c'est de l'année d'abondance qui a lieu tous les cinq ans.
C’est un phénomène bien connu dans la nature : les petits animaux comme les écureuils adaptent leur population à la quantité de ces fruits.
Et lorsqu’une année, les glands tombent en trop grande quantité pour être consommés, ils les enterrent un peu partout.
C’est là une stratégie d’une remarquable intelligence de la part de la plante.
J’aime transposer cette stratégie à ma propre vie.
Car ce que l’on ne peut pas accomplir en un an ou deux, on peut l’accumuler, patiemment, sans relâche, pendant cinq ans… et finir par atteindre une certaine masse de savoirs, d’expériences, une forme de plénitude.
Quand je me lance dans un nouveau défi, je ne me laisse jamais emporter par l’impatience.
Car j’ai en tête ce cycle de cinq ans.
Aujourd’hui, cela fait un an et neuf mois que j’apprends le français.
Et je crois sincèrement qu’avec encore trois années de persévérance, une grande saison d’abondance m’attend.
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Vu ce que vous avez déjà accumulé en moins de deux ans, je ne sais pas s'il vous restera quoi que ce soit à apprendre dans cinq ans !
Cinq ans This sentence has been marked as perfect! |
Le hêtre (Fagus) connaît un cycle de grande abondance environ tous les cinq ans, au cours duquel il produit une quantité exceptionnelle de glands. Le hêtre (Fagus) connaît un cycle de grande abondance environ tous les cinq ans, au cours duquel il produit une quantité exceptionnelle de glands. - Il me semble que le fruit du hêtre est la "faine" (ou "faîne"), et non le gland qui, lui, est le fruit du chêne. Mais honnêtement, je ne suis pas certain que le français moyen connaisse même l'existence du mot faine. - On comprend très bien votre phrase, mais formellement il y a un petit soucis avec l'emploi du mot cycle. Le cycle c'est ce qui dure cinq années, mais ce dont vous parlez c'est de l'année d'abondance qui a lieu tous les cinq ans. Le hêtre (Fagus) connaît un « cycle » décrit l’ensemble du processus, à la fois les moments d’abondance, mais aussi les périodes de famine. |
C’est un phénomène bien connu dans la nature : les petits animaux comme les écureuils adaptent leur population à la quantité de ces fruits. This sentence has been marked as perfect! C’est un phénomène bien connu dans la nature : les petits animaux comme les écureuils adaptent leur population à la quantité de ces fruits. « population » semble un peu étrange dans ce contexte. C’est un terme très global, alors qu’on s’attendrait à un comportement individuel de l’écureuil. « les écureuils adaptent leur comportement » semble plus logique. |
Et lorsqu’une année, les glands tombent en trop grande quantité pour être consommés, ils les enterrent un peu partout. This sentence has been marked as perfect! Et lorsqu’une année, les glands tombent en trop grande quantité pour être consommés, ils les enterrent un peu partout. « Et » en début de phrase est correct mais n’est pas très formel. |
C’est là une stratégie d’une remarquable intelligence de la part de la plante. This sentence has been marked as perfect! This sentence has been marked as perfect! |
J’aime transposer cette stratégie à ma propre vie. This sentence has been marked as perfect! This sentence has been marked as perfect! |
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Et je crois sincèrement qu’avec encore trois années de persévérance, une grande saison d’abondance m’attend. This sentence has been marked as perfect! Et je crois sincèrement qu La construction la plus naturelle est « Quelque chose m’attend quelque part ». Votre phrase peut laisser penser que dans trois ans, la saison commencera à attendre, alors que vous voulez dire qu’elle est actuellement en train d’attendre au « point » des trois ans. |
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