Dans deux articles datant lde 2012, deux journalistes d’unu quotidien “Le Figaro santé” et d’unu site iIntituléernet “Le Huffington Post” ont abordé le thème du bilinguisme en précisant à la fois ses impacts négatifs et positifs.

ces journalistes écrivent pour les deux journaux à la fois ?
le site intitulé : formulation lourde et inutile ici.

Selon les chercheurs, la définition du bilinguisme est basée non seulement sur la flexibilité que le bilingue a recçu danès son jeune âge mais aussi sur leur utilisation fréquente dans la vie quotidiennea fréquence d'utilisation de la langue au quotidien par ce dernier.

. fréquence d'utilisation plutôt que utilisation fréquente
. dans la vie quotidienne (un peu lourd)
. est basée sur le/la ... et sur le/la

Celui-citte aptitude est largement répandue dans les pays bilingues ou multilingues telles que Suisse, l'Inde, y compris mais également en France où 25% des Ffrancçais ont appris une autre langue depuis leur enfancseconde langue à travers les conversations avec leurs parents et ce depuis leur enfance.

Celui-ci en debut de phrase prête a confusion. aussi c'est "la Suisse", et du coup c'est mieux de dire la France.

D’après lces articles, le bilinguisme offre plusieurs avantages.

Tout d’abord, celui-ci permet de renforcer les performances du cerveau des enfants, ce quien favorise effectivementant par exemple le niveau de concentration, d’attention, etc.

De plus, le fait d’apprendre une ou plusieurs langues étrangères constitue une bonne matière d’éviter quelquesprotection pour éviter certaines maladies comme la maladie d'Alzheimer par exemple.

Il s'agit d'aAutres effets positifs comme, à travers l'imprégnation de plusieurs cultures ou, le bilingue est capable de faire le tri entre des différents sons dans un environnement bruyant.

cette phrase est un peu difficile à placer

PourtCependant, les chercheurs expriment aussi leurs inquiétudes sur les conséquences négatifves de cet apprentissage bilinguisme : des difficultés pour maîtriser tous les langues, un risque d’avoir un accent étranger suite àau déséquilibre de l’apprentissage entre les deux langues ou des troubles du langage, etc.

C’est pourquoi, certainePour ces raisons, certains chercheurs préconisent que lesaux parents devraient l'abandonner d'une des langues de l’enfant etet de prioriser la langue dominante tand. Mais il n'y a pas de consensus puis que d’autres montrent quchercheurs réfutent le lien entre le bilinguisme et le trouble du langage ne sont pas liés.

Dans deux articles datant lde 2012, deux journalistes d’un quotidien “Le Figaro santé” et d’un site intitulé “Le Huffington Post” ont abordé le thème du bilinguisme en précisant à la fois ses impacts négatifs et positifs.

Selon les chercheurs, la définition du bilinguisme est basée non seulement sur la flexibilité que le bilingue a recçu pendanst son jeune âge mais aussi sur leurson utilisation fréquente dans la vie quotidienne.

Celui-ci est largement répandu dans les pays bilingues ou multilingues telles que la Suisse, l'Inde, y comprisou la France où 25% des Francçais ont appris une autre langue depuis leur enfance à travers ldes conversations avec leurs parents.

Tout d’abord, celui-ci permet de renforcer les performances du cerveau des enfants, ce qui favorise effectivement favorise le niveau de concentration, d’attention, etc.

De plus, le fait d’apprendre une ou plusieurs langues étrangères constitue une bonne matière d’éviter quelques maladie concernant le moyen de réduire le risque d'une maladie du cerveau.

Pourtant, les chercheurs expriment leurs inquiétudes sur les conséquences négatifs de cet apprentissage: des difficultés pour maîtriser toutes les langues, un risque d’avoir un accent étranger suite à un déséquilibre de l’apprentissage entre les deux langues ou des troubles du langage, etc.

C’est pourquoi, certaines personnes préconisent que les parents devraient abandonner une des langues deapprises par l’enfant et prioriser la langue dominante tandis que d’autres personnes montrent que le bilinguisme et le trouble du langage ne sont pas liés.