Dec. 12, 2022
Dans cette seconde partie, on va analyser la relation entre l'Enfant et le monde autour de lui, hors sa mère. Le lien de la poésie est https://fleursdumal.org/poem/100.
Donc, de la huitième en la dixième strophe l'Enfant est initialement décrit comme en paix avec la nature, mais puis en conflit contre les autres hommes. La clé de cettes vers est l'expression "s'enhardissant de sa tranquillité; en fait "tous ceux qu'il veut aimer" ont besoin de marcher dessus lui, ses cœurs sont plongés dans le Mal et ils ne peuvent pas sortir de leur condition. Par contre l'Enfant est pur e il peut vivre en paix avec tout et tous; son cœur est tellement pur et vierge, plongé dans le Bon, qu'il ne comprende pas le motif ou la gravité de la situation. La susdite expression est donc la clé par ce qui concerne la relation entre le deux sujets: l'Enfant est déjà sur le piédestal baudelairien et il n'a pas besoin de s'élever ou de demontrer sa condition de supériorité; par contre les autres hommes essayent toujours et désespérément de salir sur le piédestal.
En ésperant que j'ai vous fait comprendre mon analyse, on va s'éloigner de la poésie pour essayer de comprendre les raisons de cettes idées. Bien que je non pense que ça est la seule cause, ça que suit peut-être très interessant pour mieux comprendre Baudelaire en tout. Je vais faire référence à une phrase de Sartre sur le poète analysé:
"tous les efforts de Baudelaire étaient pour cacher à lui-même cettes idées fâcheuses" (traduction de "the whole of baudelaire's efforts were devoted to hiding these unpleasant thoughts from himself)
Donc sa sensibilité force Baudelaire à ériger le piédestal: il doit s'élever au dessus des autres hommes parce qu'il comprende le monde autour de lui trop bien pour pouvoir en résister.
Sa sensibilité est donc un canon de verrre; très fort mais également fragile; le piédestal baudelairien et son dandysme sont donc protections pour cet cannon, essentiels pour survivre.
Baudelaire analyse I.II
Dans cette seconde partie, on vanous allons analyser la relation entre l'Enfant et le monde autour de lui, horsmis à part sa mère.
« hors sa mère » serait tout à fait juste, mais un peu vieilli. Il est plus commun d'utiliser d'autres choses, comme « mis à part » (grammaticalisé comme adverbe, malgré le participe passé originel « mis »)
Le lien de la poésie est https://fleursdumal.org/poem/100.
Donc, de la huitième enà la dixième strophe, l'Enfant est initialement décrit comme (étant) en paix avec la nature, mais puisensuite en conflit contreavec les autres hommes.
« mais puis » ne se dit pas (je suppose que tu voulais dire "poi")
La clé de cettes vers est l'expression "« s'enhardissant de sa tranquillité » ; en fait/en réalité, « "tous ceux qu'il veut aimer" ont besoin de marcher dessus lui, se » ne peuvent s'empêcher de le persécuter, leurs cœurs sont plongés dansremplis par le Mal et ils ne peuvent pas sort'extraire de leur condition.
« dessus » n'est quasiment jamais utilisé comme préposition en français moderne ; on l'utilise comme adverbe, et le pronom concerné est l'objet indirect de la phrase. De toutes façons, cette expression serait un peu trop familière pour un tel texte. « Persécuter » me paraît bien ici, vu qu'il s'agit de quelque chose de continuel.
Peu importe que le possessif soit réfléchi, dans tous les cas: I LORO cuori = LEURS coeurs (attention, en français le possessif s'accorde en nombre)
On dit souvent « s'extraire de sa condition » (c'est souvent utilisé au sens social, mais pas uniquement)
Par contreEn revanche, l'Enfant est pur, et il peut vivre en paix avec tout et toust le monde ; son cœur est tellement pur et vierge, plongé dans le Binnocent et bon, qu'il ne comprende pas le motif ou la gravité de la'une situation.
« par contre » serait trop familier/oral ici
« tout et tout le monde » est plus naturel
« innocent » pour éviter de répéter « pur ». L'inverse du Mal (au sens éthique) est le Bien, mais si tu veux garder « bon », tu peux bien sûr lier cet adjectif à « cœur ».
La susdite 'expression est donc la clé par ce qui concerneci-dessus est donc essentielle pour saisir la relation entre les deux sujets : l'Enfant est déjà sur le piédestal baudelairien et il n'a pas besoin de s'élever ou de deémontrer sa condition de supériorité; par contresupériorité. Néanmoins, les autres hommes essayent toujours et désespérément de salir sur le piédestal'y monter.
« susdit » fait très... formel et administratif. J'ai changé un peu la suite pour éviter les répétitions
« condition de » n'est pas nécessaire ici
Un point pour éviter l'abus de points-virgules
« y » ("ci") pour éviter les répétitions. Même remarque que dans le précédent texte sur le faux ami "salire", qui est « monter » en français
En éespeérant que j'ai vousvous avoir fait comprendre monnotre analyse, on va s'nous allons nous éloigner de la poésie pour essayer de comprendre les raisons de cettes idées.
Devant <ss>, <sp>, <st> et toutes les combinaisons en <s>, <e> est toujours prononcé /s/ donc tu n'as jamais besoin d'accent à cet endroit
Le sujet est clair donc structure à l'infinitif => vous avoir fait comprendre
Si tu veux utiliser le « nous » de modestie, il faut accorder les démonstratifs (« notre ») et les verbes pronominaux à l'infinitif (« NOUS éloigner »)
Bien que je none pense que ça espas que ce soit la seule cause, çace quei suit peut- être très inteéressant pour mieux comprendre Baudelaire en toutdans sa globalité.
Utiliser « ne » tout seul (sans « pas ») est possible, mais très daté et très littéraire
Les verbes d'avis nécessitent le subjonctif dans les tournures négatives (on nie une réalité, en fait)
ciò que = ce qui (sujet), ce que (objet)
peut-être (avec tiret) = forse ; peut être = può essere
Je vais faires référence à une phrase de Sartre sur le poète analysé :
On utiliserait le présent ici
"« tous les efforts de Baudelaire étvisaient pourà se cacher à lui-même cettes idées fâcheuses" (traduction de ces idées désagréables à lui-même » ("the whole of baudelaire's efforts were devoted to hiding these unpleasant thoughts from himself)
J'ai essayé de fournir la meilleure traduction possible ; je pense qu'on pourrait aller jusqu'à « douloureuses » pour les idées "displeasant", vu qu'il a souffert toute sa vie, néanmoins, je ne suis pas spécialiste de cet auteur, donc mieux vaut rester prudent...
Donc sa sensibilité force Baudelaire à ériger le piédestal : il doit s'élever au -dessus des autres hommes parce qu'il comprende trop bien le monde autour de lui trop bien pour pouvoir enpour lui résister.
S'il ne résiste pas AU MONDE => lui
S'il ne peut résister au fait de s'élever => pour Y résister
SaCette sensibilité est donc un canon de verrre;géant aux pieds d'argile : très fort, mais également fragile; l. Le piédestal baudelairien et son dandysme sont donc des protections pour cet cannon, essentielles pour que ce géant survivre.
Je pense qu'en dehors du public rôliste/fan de JV, la métaphore du « canon de verre » paraîtra bizarre :)
En français, on utilise plutôt « géant/colosse aux pieds d'argile » pour parler d'une chose puissance mais dont les fondations sont en réalité fragiles (je crois qu'en italien ça existe aussi, "colosso dai piedi di argilla" non ?)
Je pensais que le dandysme était un peu anachronique, mais après recherches, certains connaisseurs décrivent Baudelaire comme un « dandy », alors pourquoi pas...
Feedback
Peu d'erreurs sérieuses. La majorité de tes fautes concernent des tournures maladroites, des expressions qui ne se disent pas vraiment, ou alors ce sont des soucis de style (registre un peu inadapté, répétitions etc), mais rien de gravissime. Je ne m'inquiète pas : avec du temps et de la pratique, tout ça va s'améliorer. Plus tu seras exposé à ta langue cible (en l'occurrence, le français), plus ces choses viendront naturellement !
Baudelaire analyse I.II This sentence has been marked as perfect! |
Dans cette seconde partie, on va analyser la relation entre l'Enfant et le monde autour de lui, hors sa mère. Dans cette seconde partie, « hors sa mère » serait tout à fait juste, mais un peu vieilli. Il est plus commun d'utiliser d'autres choses, comme « mis à part » (grammaticalisé comme adverbe, malgré le participe passé originel « mis ») |
Le lien de la poésie est https://fleursdumal.org/poem/100. This sentence has been marked as perfect! |
Donc, de la huitième en la dixième strophe l'Enfant est initialement décrit comme en paix avec la nature, mais puis en conflit contre les autres hommes. Donc, de la huitième « mais puis » ne se dit pas (je suppose que tu voulais dire "poi") |
La clé de cettes vers est l'expression "s'enhardissant de sa tranquillité; en fait "tous ceux qu'il veut aimer" ont besoin de marcher dessus lui, ses cœurs sont plongés dans le Mal et ils ne peuvent pas sortir de leur condition. La clé de ce « dessus » n'est quasiment jamais utilisé comme préposition en français moderne ; on l'utilise comme adverbe, et le pronom concerné est l'objet indirect de la phrase. De toutes façons, cette expression serait un peu trop familière pour un tel texte. « Persécuter » me paraît bien ici, vu qu'il s'agit de quelque chose de continuel. Peu importe que le possessif soit réfléchi, dans tous les cas: I LORO cuori = LEURS coeurs (attention, en français le possessif s'accorde en nombre) On dit souvent « s'extraire de sa condition » (c'est souvent utilisé au sens social, mais pas uniquement) |
Par contre l'Enfant est pur e il peut vivre en paix avec tout et tous; son cœur est tellement pur et vierge, plongé dans le Bon, qu'il ne comprendre pas le motif ou la gravité de la situation. |
La susdite expression est donc la clé par ce qui concerne la relation entre le deux sujets: l'Enfant est déjà sur le piédestal baudelairien et il n'a pas besoin de s'élever ou de demontrer sa condition de supériorité; par contre les autres hommes essayent toujours et désespérément de salir sur le piédestal. L « susdit » fait très... formel et administratif. J'ai changé un peu la suite pour éviter les répétitions « condition de » n'est pas nécessaire ici Un point pour éviter l'abus de points-virgules « y » ("ci") pour éviter les répétitions. Même remarque que dans le précédent texte sur le faux ami "salire", qui est « monter » en français |
En ésperant que j'ai vous fait comprendre mon analyse, on va s'éloigner de la poésie pour essayer de comprendre les raisons de cettes idées. En Devant <ss>, <sp>, <st> et toutes les combinaisons en <s>, <e> est toujours prononcé /s/ donc tu n'as jamais besoin d'accent à cet endroit Le sujet est clair donc structure à l'infinitif => vous avoir fait comprendre Si tu veux utiliser le « nous » de modestie, il faut accorder les démonstratifs (« notre ») et les verbes pronominaux à l'infinitif (« NOUS éloigner ») |
Bien que je non pense que ça est la seule cause, ça que suit peut-être très interessant pour mieux comprendre Baudelaire en tout. Bien que je n Utiliser « ne » tout seul (sans « pas ») est possible, mais très daté et très littéraire Les verbes d'avis nécessitent le subjonctif dans les tournures négatives (on nie une réalité, en fait) ciò que = ce qui (sujet), ce que (objet) peut-être (avec tiret) = forse ; peut être = può essere |
Je vais faire référence à une phrase de Sartre sur le poète analysé: Je On utiliserait le présent ici |
"tous les efforts de Baudelaire étaient pour cacher à lui-même cettes idées fâcheuses" (traduction de "the whole of baudelaire's efforts were devoted to hiding these unpleasant thoughts from himself)
J'ai essayé de fournir la meilleure traduction possible ; je pense qu'on pourrait aller jusqu'à « douloureuses » pour les idées "displeasant", vu qu'il a souffert toute sa vie, néanmoins, je ne suis pas spécialiste de cet auteur, donc mieux vaut rester prudent... |
Donc sa sensibilité force Baudelaire à ériger le piédestal: il doit d'élever au dessus des autres hommes parce qu'il comprendre le monde autour de lui trop bien pour pouvoir en résister. |
Sa sensibilité est donc un canon de verrre; très fort mais également fragile; le piédestal baudelairien et son dandysme sont donc protections pour cet cannon, essentiels pour survivre.
Je pense qu'en dehors du public rôliste/fan de JV, la métaphore du « canon de verre » paraîtra bizarre :) En français, on utilise plutôt « géant/colosse aux pieds d'argile » pour parler d'une chose puissance mais dont les fondations sont en réalité fragiles (je crois qu'en italien ça existe aussi, "colosso dai piedi di argilla" non ?) Je pensais que le dandysme était un peu anachronique, mais après recherches, certains connaisseurs décrivent Baudelaire comme un « dandy », alors pourquoi pas... |
Par contre l'Enfant est pur e il peut vivre en paix avec tout et tous; son cœur est tellement pur et vierge, plongé dans le Bon, qu'il ne comprende pas le motif ou la gravité de la situation.
« par contre » serait trop familier/oral ici « tout et tout le monde » est plus naturel « innocent » pour éviter de répéter « pur ». L'inverse du Mal (au sens éthique) est le Bien, mais si tu veux garder « bon », tu peux bien sûr lier cet adjectif à « cœur ». |
Donc sa sensibilité force Baudelaire à ériger le piédestal: il doit s'élever au dessus des autres hommes parce qu'il comprendre le monde autour de lui trop bien pour pouvoir en résister. |
Donc sa sensibilité force Baudelaire à ériger le piédestal: il doit s'élever au dessus des autres hommes parce qu'il comprende le monde autour de lui trop bien pour pouvoir en résister. Donc sa sensibilité force Baudelaire à ériger le piédestal : il doit s'élever au S'il ne résiste pas AU MONDE => lui S'il ne peut résister au fait de s'élever => pour Y résister |
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