Aug. 12, 2024
Depuis longtemps j'ai pensé que c'est totalement avoir un chien, un chat ou tout autre animal dans sa maison, jusqu'à quelques semaines d'avant. Je n'ai jamais eu un animal domestique mais un collègue de mon travail a un petit chien, et il m'a proposé de faire de la promenade avec lui et son chien.
J'ai bien sûr fait cela aupavarant avec des autres gens, mais cette fois quand je soutenait l'appareil pour orienter l'animal je me sentais diffèrent. Ces êtres vivants n'ont pas de la liberté et moins les sorties avec son maître, sa vie s'agite d'être emprisonné chez quelqu'un. C'est pire pour les animaux comment les chats, que n'ont pas besoin de sortir, ou par exemple les animaux que sont utilisés pour le travail, comment les chiens de la police.
Ici c'est le débat : est-ce que l'affection d'un personne et les bonnes conditions de vie sont suffisantes en échange de la dépendance totale et la disparition de la libertad et naturalité ?
DepuisJ'ai longtemps j'ai pensé que c'est totalement'il n'y avait rien de mal à avoir un chien, un chat ou tout autre animal dans sa maison, jusqu'à il y a quelques semaines d'avant.
Si quieres insistir en las conseguencias de una acción terminada, hay que omitir «depuis», que funciona sobre todo con el imparfait, ya que habla de una duración
Me parece que un adjetivo faltaba en tu frase. He cambiado la formulación
hace (en el sentido del inglés «ago») = il y a (funciona como un adverbio)
Alternativas => jusqu'à récemment
Je n'ai jamais eu un d'animal domestique mais un collègue de (mon) travail a un petit chien, et il m'a proposé de faire de laune promenade avec lui et son chien.
Negación absoluta => pas de
«mon» no es necesario
faire UNE promenade («de la promenade» como partitivo nunca no se usa)
J'ai bien sûr fait cela aupavarravant avec des 'autres gens, mais cette fois quand je soutenaits l'appareil pour orienter l'animal, je me sentais diffèrent.
«des autres gens» sería más colloquial, pero en un texto formal es estilísticamente mejor escribir «de» antes de [adjetivo+nombre]
Ces êtres vivants n'ont pas de la liberté et moinsà part les sorties avec sonleur maître, sa vie s'agiteils tournent en rond d'être emprisonnés chez quelqu'un.
aparte, excepto = à part, excepté, sauf (formal)
Varias personas posesando varias cosas = leur (posesivo de «ils»)
No he entendido bien el fin, he escrito: «dan vueltas cuando están encarcelados [...]
C'est pire pour les animaux comment les chats, quei n'ont pas besoin de sortir, ou par exemple les animaux quei sont utilisés pour le travail, comment les chiens de la policeiers.
Similtud = comme
«comMENT» es el «como» que pregunta la manera
Les chats (subjeto) n'ont pas besoin = «qui», pronombre relativo subjeto => les chats, QUI n'ont pas besoin [...]
Se dice casi siempre «chien policier»
Ici c'Voilà la question/Là est le débat : est-ce que l'affection d'une personne et lesde bonnes conditions de vie sont suffisantes en échange de la'une dépendance totale et la dispari, d'une perte/privation de la libertadé et de naturalité ?
Formulación más natural
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Grande question, en effet, car il y a des milliers de façons d'élever un animal. Cependant, un animal heureux, ça se ressent. Au cours de l'évolution, ce seraient d'ailleurs les loups eux-mêmes qui auraient fini par se laisser approcher par les Hommes et échanger un peu de liberté contre de bien meilleures conditions de vie.
Je suis cependant d'avis qu'il faut laisser les chats sortir. Nous, nous laissons toujours les nôtres se promener. Un chat enfermé (surtout dans un appartement !) finit par dépérir.
Avoir un animal domestique |
Depuis longtemps j'ai pensé que c'est totalement avoir un chien, un chat ou tout autre animal dans sa maison, jusqu'à quelques semaines d'avant.
Si quieres insistir en las conseguencias de una acción terminada, hay que omitir «depuis», que funciona sobre todo con el imparfait, ya que habla de una duración Me parece que un adjetivo faltaba en tu frase. He cambiado la formulación hace (en el sentido del inglés «ago») = il y a (funciona como un adverbio) Alternativas => jusqu'à récemment |
Je n'ai jamais eu un animal domestique mais un collègue de mon travail a un petit chien, et il m'a proposé de faire de la promenade avec lui et son chien. Je n'ai jamais eu Negación absoluta => pas de «mon» no es necesario faire UNE promenade («de la promenade» como partitivo nunca no se usa) |
J'ai bien sûr fait cela aupavarant avec des autres gens, mais cette fois quand je soutenait l'appareil pour orienter l'animal je me sentais diffèrent. J'ai bien sûr fait cela aupa «des autres gens» sería más colloquial, pero en un texto formal es estilísticamente mejor escribir «de» antes de [adjetivo+nombre] |
Ces êtres vivants n'ont pas de la liberté et moins les sorties avec son maître, sa vie s'agite d'être emprisonné chez quelqu'un. Ces êtres vivants n'ont pas de aparte, excepto = à part, excepté, sauf (formal) Varias personas posesando varias cosas = leur (posesivo de «ils») No he entendido bien el fin, he escrito: «dan vueltas cuando están encarcelados [...] |
C'est pire pour les animaux comment les chats, que n'ont pas besoin de sortir, ou par exemple les animaux que sont utilisés pour le travail, comment les chiens de la police. C'est pire pour les animaux comme Similtud = comme «comMENT» es el «como» que pregunta la manera Les chats (subjeto) n'ont pas besoin = «qui», pronombre relativo subjeto => les chats, QUI n'ont pas besoin [...] Se dice casi siempre «chien policier» |
Ici c'est le débat : est-ce que l'affection d'un personne et les bonnes conditions de vie sont suffisantes en échange de la dépendance totale et la disparition de la libertad et naturalité ?
Formulación más natural |
Ici c'est le débat : est-ce que l'affection d'un personne et les bonnes conditions de vie sont suffisantes pour en échange de la dépendance totale ? |
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