En France, avec « lLa Presse » par d'Émile de Girardin ou « lLe Siècle » par d'Armand Dutacq, les quotidiens, un nouveau média, ontle quotidien, a vu le jour en 1836.

On utilise « de » pour indiquer un auteur ; « par » suggère une interprétation, surtout dans le milieu de la musique ou du théâtre. Par exemple, vous pouvez écouter « Les Variations Goldberg » DE Bach PAR Glenn Gould.

On dit d'abord de quoi il est question en général (« un nouveau média ») avant de préciser de quoi on parle précisément (« le quotidien »). Le singulier permet en outre d'éviter la dissonance de nombre qu'il y aurait entre « UN nouveau média » (singulier) et « LES quotidiens » (pluriel). Ici, le singulier marche, dans la mesure où vous parlez presque du quotidien comme concept, chose générale

Comme les quotidiens étaient financés par l’abonnement, ils recouraient/ont recouru aux roman-feuilletons pour attirer les abonnés.

Les deux temps du passé seraient juste ici, chacun soulignant un aspect différent de l'action

Leur procédé, « la suite au prochain numéro », a constitueé le prototype des séries télévisées de nos jours.

Action passée => a constitué (c'est ça qui a formé ce prototype)

Alexandre Dumas était un des ténormaîtres desu feuilletons, comme Honoré de Balzac, Eugène Sue et Frédéric Soulié.

Un ténor est un musicien ; l'utilisation du terme au sens figuré fait donc un peu sourire ici, même si c'est plus une affaire de style que de sens :)

On utilise souvent le singulier dans ce cas-là (abstraction, chose générale) => les maîtres DU suspense, les maîtres DU fantastique, les maîtres DE L'horreur...