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leeekayi

Feb. 28, 2023

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28 février 2023 - un autre point de vue du Petit Prince

Moi, j’étais un renard comme des millions de renards au monde, nous chassions des poules et les hommes nous chassaient, tous les jours avaient été comme ça.
Un jour, j’ai perçu un petit garçon loin de moi et dont les cheveux avaient le même couleur d’or des blés. Il n’avait guerre signe de faim ni de soif et il se semblait pas enfant des chasseurs alors je me suis approché un peu: Derrière un pommier, je l’observais. Ses yeux étaient vraiment beaux, mais malheureux. Son regard était loin. Mon coeur battait vite. Il m’attirait beaucoup et tout à coup, je lui a dit: « bonjours ». Il a tourné la tête et a répondu poliment « bonjours » mais il ne m’a aperçu pas.
- je suis là, sous le pommier.
- qui es-tu? Tu es bien joli.
Mon petit bonhomme, tu es plus joli que moi, pensais-je. Il semblait d’avoir des miles y millions de papillons dans mon estomac. Mais je restait calm en surface en lui m’introduisant.
- je suis un renard.
- viens jouer avec moi, je suis tellement triste.
Il m’a demandé de jouer avec lui ! J’ai bien voulu mais il faudrait qu’on se liait d’abord. Cependant, il n’a compris pas du tout ce que ça signifiait « apprivoiser ». Il avait tellement de choses dont il ne comprenait pas. Mais comme il était encore petit.
Peu à peu, je lui expliquais ce qui signifiaient « apprivoiser » et « rite » et on s’est promit de se voir chaque jour dans la même heure pour créer le lien. C’est important ça, le rite, sinon je ne sais pas à quelle heure m’habille mon coeur.
Pendant toute la semaine, déjà à 14h, j’ai commencé d’être heureux à l’idée de le voir dans deux heures. À 15h, j’attendais avec impatient dans les arbres. Enfin à 16h, j’ai vu d’abord ses cheveux d’or roulant dans l’air et puis son petit corp marchant ver moi. Il s’assoit dans l’herbe, loins de moi dans le périmer jour et après il s’assoit de plus en plus proche de moi. Il m’a regardé avec curiosité et je l’ai regardé timidement. Ensemble, on contemplait le coucher du soleil (qui avait également le même couleur de ses cheveux). Je voulais vraiment que le temps s’arrêtait à cet instant et le temps de depart ne viendrait pas. Quelle beauté !
Mais il avait sa rose à voir, je ne pouvais pas lui tarder à chercheur son bonheur. Mon petit homme, je voulais que tu sois heureux, alors je t’ai dit un secret. Vas chercher ton rose, tu l’aimes profondément. Tu ne seras jamais te pardonner si tu la laisse mourir seule dans ta planète. Je voulais bien t’accompagner mais ta planète est si loin de moi. Prends-soin de toi… Je ne t’oublieras jamais parce que tu es dans les blés, dans le coucher du soleil et dans mon coeur.
Dès cet instant, je ne suis pas un renard ordinaire mais un renard qui a été apprivoisé par le Petit Prince.

Corrections

28 février 2023 - un autre point de vue duans le roman « Le Petit Prince »

Il est mieux de préciser que tu parles ici du roman, non du personnage

Moi, j’étais un renard comme des millions de renards audans le monde, ; nous chassions dles poules et les hommes nous chassaient, tous les jours avaientet ça avait toujours été comme ça.

Encore mieux => et c'était ainsi depuis la nuit des temps

Un jour, j’ai aperçu un petit garçon loin de moi et dont les cheveux avaient le même couleur d’or des blésaux cheveux d'or au loin.

percevoir = recevoir des informations via les sens ; apercevoir = voir rapidement, indistinctement
Soit tu prends la métaphore des blés, soit celle de l'or, mais on ne peut pas trop mélanger
En outre, tu peux faire un groupe prépositionnel avec ça, qui fonctionne comme un adjectif => un garçon aux cheveux d'or

Il n’ave donnait guerère signe de faim niou de soif, et il sne semblait pas être un enfant des chasseurs, alors je me suis approché un peu : Dderrière un pommier, je l’observais.

guerre = quand deux armées s'affrontent ; guère = beaucoup (donc «ne/guère» = pas beaucoup = peu)
On ne met pas de majuscule après les deux-points

Ses yeux étaient vraiment beaux, mais malheureux.

SonIl regard était au loin.

« son regard était loin » voudrait dire que ses yeux sont situés loin de son corps :)
Une alternative qui irait très bien ici => ses yeux étaient hagards
hagard = troublé, qui témoigne d'une certaine nervosité (des « yeux hagards » ne sont en général pas concentrés sur un objet précis, ils regardent à droite, à gauche, au loin...)

Mon coeœur battait vitla chamade.

« battre la chamade » est quasiment l'expression consacrée pour faire un texte un peu littéraire/de style soutenu

Il m’attirait beaucoup et tout à coup, je lui ai dit : « bonjours ».

Dans « bon jour », tu souhaites que le jour actuel soit bon pour la personne en face de toi, donc pas besoin de pluriel

Il a tourné la tête et a répondu poliment répondu « bonjours », mais ilui ne m’a 'aperçu pascevait pas/mais sans m'apercevoir.

- j« Je suis là, sous le pommier.

On commence un dialogue = on ouvre les guillemets (et on met une majuscule puisqu'on commence une nouvelle phrase)

- q— Qui es-tu ?

Tu es bien joli. »

Fin de dialogue, fermeture des guillemets

« Mon petit bonhomme, tu es plus joli que moi », pensais-je/me suis-je pensé.

Phrase entre guillemets (citation/pensée personnelle)

Il semblaitJ'avais l'impression d'avoir des millions et des y millions de papillons dans mon estomacle ventre.

L'expression consacrée est « avoir des papillons dans le ventre »
Puisqu'il s'agit ici de quelque chose que le renard ressent, et non d'une chose qui a objectivement une certaine apparence vue de l'extérieur, j'utiliserais « avoir l'impression de », qui serait un peu plus adaptée et un peu plus naturelle, mais « sembler » n'est pas non plus faux (juste un peu maladroit)

Mais je restaits calme en surface en lui m’introduisantme présentant à lui.

Un faux ami
to introduce oneself to someone = se présenter à quelqu'un
« introduire quelqu'un » veut dire « présenter une autre personne »
-t n'est jamais une terminaison de la première personne du présent

- j« Je suis un renard.

Même remarque que précédemment sur le début de dialogue (les tirets sont utilisés quand quelqu'un d'autre parle)

- v— Viens jouer avec moi, je suis tellement triste. »

Fin de dialogue, fermeture des guillemets

Il m’a demandé de jouer avec lui !

J’ai bien voulu, mais il faudrait qu’on se liaite d’abord.

« fallait » (indiquant deux actions simultanées) serait également juste
À la fin, on utilise le subjonctif présent, vu que l'imparfait du subjonctif est un temps totalement obsolète

Cependant, il n’a compris pas du tout compris ce que ça signifiait, « apprivoiser ».

Il y avait tellement de choses dont qu'il ne comprenait pas.

il y avait = there was/were ; il avait = he had
Il ne comprenait pas beaucoup de choses (objet direct) = pronom relatif objet, «que» => beaucoup de choses QU'IL ne comprenait pas

[Mais comme il était encore petit. ?]

Tu as ici une subordonnée sans proposition principale : un oubli, certainement ?

Peu à peu, jJe lui ai expliquaisé ce qui signifiaient « apprivoiser » et « rite », et on s’est promits de se voir chaque jour dansà la même heure pour crétisser leun lien.

« peu à peu » serait vraiment très progressif ici (on aurait l'impression que le renard a pris plusieurs jours pour lui donner la définition)
À une heure

C’est important ça, le rite, sinon je ne sais pas à quelle heure m’habille mon coer le cœur.

C'est la même syntaxe que « SE laver les mains » : le possesseur est indiqué par le pronom, et ensuite on met un article défini

Pendant toute la semaine, déjà à 14h, j’ai commencé d’à 14 h (seulement), je commençais déjà à me réjouir/à être heureux à l’idée de le voir dans deux heures.

À 15 h, j’attendais avec impatientce dans les arbres.

« dans » veut dire dans les branches, au-dessus ; sinon, « entre/parmi »
impatience (nom) ; impatient (adjectif)

Enfin à 16h, j’ai vu d’abord vu ses cheveux d’or roulflottant dans l’aire vent, et puis son petit corps/sa frêle silhouette marchant vers moi.

On flotte dans l'eau, le vent ou les airs, on n'y roule pas
« son petit corps » sonne un peu.. étrange. Pas péjoratif, mais étrange. « sa frêle silhouette » serait bien mieux
frêle = fragile
silhouette = la figure de quelqu'un (comme si on le dessinais en croquis)

Il s’assoit'est assis dans l’herbe, loins de moi [dans le périmer jour et après il s’assoit de plus en plus ?] puis il s’est rapproche é (de moi).

Temps passé => il s'est assis
Je n'ai pas compris la partie entre crochets
« puis/ensuite » seraient stylistiquement bien meilleur
j'ai proposé une alternative à la fin pour éviter les répétitions

Il m’a regardé avec curiosité et je l’ai regardé timidement.

Ensemble, on contemplait/a contemplé le coucher du soleil (qui avait également lela même couleur dque ses cheveux).

le/la même QUE quelque chose (tu n'as pas besoin d'« également », c'est sous-entendu dans cette structure)

Je voulais vraiment que le temps s’arrêtaite à cet instant et que le temps de departs adieux ne viendraitne pas.

Même chose, subjonctif présent (« vouloir que » + subjonctif) pour éviter l'imparfait du subjonctif (« s'arrêtât », tu peux le mettre mais ce serait vraiment très littéraire)

Quelle beauté !

Mais il avait sa rose à voir, je ne pouvais pas lui e retarder àd'aller chercheur son bonheur.

« retarder de » + verbe est assez vieilli (c'est néanmoins possible), la principale structure en français moderne étant « retarder quelqu'un DANS quelque chose », ce qui donnerait « je ne voulais pas le retarder dans sa quête/sa recherche du bonheur »

Mon petit homme, je voulais que tu sois heureux, alors je t’ai dit un secret.

« Vas chercher tona rose, tu l’aimes profondément.

Discours direct, citation du renard => guillemets

Tu ne seauras/pourras jamais te pardonner si tu la laisses mourir seule danssur ta planète. »

Une planète est une sphère, et nous vivons sur la surface => SUR ta planète

Je voul'aurais bien voulu t’accompagner, mais ta planète est si loin de moi/éloignée.

Hypothèse non réalisée dans le passé = conditionnel passé => j'aurais voulu
Le « de moi » serait superflu ici

Prends-soin de toi… Je ne t’oublierasi jamais, parce que tu es dans les blés, dans le coucher du soleil et dans mon coeœur.

Dès cet instant, je ne suis pas'ai plus été un renard ordinaire mais un renard (qui avait été) apprivoisé par le Petit Prince.

« dès que » au passé indique un point de départ dans le passé, donc nécessité un temps passé ; il y a donc une petite différence avec « depuis », qui indique la concomitance de deux actions

Feedback

Certaines remarques sont d'ordre grammatical, d'autres sont d'ordre syntaxique, lexical ou purement stylistique. Ce n'est pas facile, un texte comme ça ! Et tu t'en es pas si mal sortie. Bravo !

leeekayi's avatar
leeekayi

March 6, 2023

0

Merci beaucoup !

28 février 2023 - un autre point de vue du Petit Prince


28 février 2023 - un autre point de vue duans le roman « Le Petit Prince »

Il est mieux de préciser que tu parles ici du roman, non du personnage

Moi, j’étais un renard comme des millions de renards au monde, nous chassions des poules et les hommes nous chassaient, tous les jours avaient été comme ça.


Moi, j’étais un renard comme des millions de renards audans le monde, ; nous chassions dles poules et les hommes nous chassaient, tous les jours avaientet ça avait toujours été comme ça.

Encore mieux => et c'était ainsi depuis la nuit des temps

Un jour, j’ai perçu un petit garçon loin de moi et dont les cheveux avaient le même couleur d’or des blés.


Un jour, j’ai aperçu un petit garçon loin de moi et dont les cheveux avaient le même couleur d’or des blésaux cheveux d'or au loin.

percevoir = recevoir des informations via les sens ; apercevoir = voir rapidement, indistinctement Soit tu prends la métaphore des blés, soit celle de l'or, mais on ne peut pas trop mélanger En outre, tu peux faire un groupe prépositionnel avec ça, qui fonctionne comme un adjectif => un garçon aux cheveux d'or

Il n’avait guerre signe de faim ni de soif et il se semblait pas enfant des chasseurs alors je me suis approché un peu: Derrière un pommier, je l’observais.


Il n’ave donnait guerère signe de faim niou de soif, et il sne semblait pas être un enfant des chasseurs, alors je me suis approché un peu : Dderrière un pommier, je l’observais.

guerre = quand deux armées s'affrontent ; guère = beaucoup (donc «ne/guère» = pas beaucoup = peu) On ne met pas de majuscule après les deux-points

Ses yeux étaient vraiment beaux, mais malheureux.


This sentence has been marked as perfect!

Son regard était loin.


SonIl regard était au loin.

« son regard était loin » voudrait dire que ses yeux sont situés loin de son corps :) Une alternative qui irait très bien ici => ses yeux étaient hagards hagard = troublé, qui témoigne d'une certaine nervosité (des « yeux hagards » ne sont en général pas concentrés sur un objet précis, ils regardent à droite, à gauche, au loin...)

Mon coeur battait vite.


Mon coeœur battait vitla chamade.

« battre la chamade » est quasiment l'expression consacrée pour faire un texte un peu littéraire/de style soutenu

Il m’attirait beaucoup et tout à coup, je lui a dit: « bonjours ».


Il m’attirait beaucoup et tout à coup, je lui ai dit : « bonjours ».

Dans « bon jour », tu souhaites que le jour actuel soit bon pour la personne en face de toi, donc pas besoin de pluriel

Il a tourné la tête et a répondu poliment « bonjours » mais il ne m’a aperçu pas.


Il a tourné la tête et a répondu poliment répondu « bonjours », mais ilui ne m’a 'aperçu pascevait pas/mais sans m'apercevoir.

- je suis là, sous le pommier.


- j« Je suis là, sous le pommier.

On commence un dialogue = on ouvre les guillemets (et on met une majuscule puisqu'on commence une nouvelle phrase)

- qui es-tu?


- q— Qui es-tu ?

Tu es bien joli.


Tu es bien joli. »

Fin de dialogue, fermeture des guillemets

Mon petit bonhomme, tu es plus joli que moi, pensais-je.


« Mon petit bonhomme, tu es plus joli que moi », pensais-je/me suis-je pensé.

Phrase entre guillemets (citation/pensée personnelle)

Il semblait d’avoir des miles y millions de papillons dans mon estomac.


Il semblaitJ'avais l'impression d'avoir des millions et des y millions de papillons dans mon estomacle ventre.

L'expression consacrée est « avoir des papillons dans le ventre » Puisqu'il s'agit ici de quelque chose que le renard ressent, et non d'une chose qui a objectivement une certaine apparence vue de l'extérieur, j'utiliserais « avoir l'impression de », qui serait un peu plus adaptée et un peu plus naturelle, mais « sembler » n'est pas non plus faux (juste un peu maladroit)

Mais je restait calm en surface en lui m’introduisant.


Mais je restaits calme en surface en lui m’introduisantme présentant à lui.

Un faux ami to introduce oneself to someone = se présenter à quelqu'un « introduire quelqu'un » veut dire « présenter une autre personne » -t n'est jamais une terminaison de la première personne du présent

- je suis un renard.


- j« Je suis un renard.

Même remarque que précédemment sur le début de dialogue (les tirets sont utilisés quand quelqu'un d'autre parle)

- viens jouer avec moi, je suis tellement triste.


- v— Viens jouer avec moi, je suis tellement triste. »

Fin de dialogue, fermeture des guillemets

Il m’a demandé de jouer avec lui !


This sentence has been marked as perfect!

J’ai bien voulu mais il faudrait qu’on se liait d’abord.


J’ai bien voulu, mais il faudrait qu’on se liaite d’abord.

« fallait » (indiquant deux actions simultanées) serait également juste À la fin, on utilise le subjonctif présent, vu que l'imparfait du subjonctif est un temps totalement obsolète

Cependant, il n’a compris pas du tout ce que ça signifiait « apprivoiser ».


Cependant, il n’a compris pas du tout compris ce que ça signifiait, « apprivoiser ».

Il avait tellement de choses dont il ne comprenait pas.


Il y avait tellement de choses dont qu'il ne comprenait pas.

il y avait = there was/were ; il avait = he had Il ne comprenait pas beaucoup de choses (objet direct) = pronom relatif objet, «que» => beaucoup de choses QU'IL ne comprenait pas

Mais comme il était encore petit.


[Mais comme il était encore petit. ?]

Tu as ici une subordonnée sans proposition principale : un oubli, certainement ?

Peu à peu, je lui expliquais ce qui signifiaient « apprivoiser » et « rite » et on s’est promit de se voir chaque jour dans la même heure pour créer le lien.


Peu à peu, jJe lui ai expliquaisé ce qui signifiaient « apprivoiser » et « rite », et on s’est promits de se voir chaque jour dansà la même heure pour crétisser leun lien.

« peu à peu » serait vraiment très progressif ici (on aurait l'impression que le renard a pris plusieurs jours pour lui donner la définition) À une heure

C’est important ça, le rite, sinon je ne sais pas à quelle heure m’habille mon coeur.


C’est important ça, le rite, sinon je ne sais pas à quelle heure m’habille mon coer le cœur.

C'est la même syntaxe que « SE laver les mains » : le possesseur est indiqué par le pronom, et ensuite on met un article défini

Pendant toute la semaine, déjà à 14h, j’ai commencé d’être heureux à l’idée de le voir dans deux heures.


Pendant toute la semaine, déjà à 14h, j’ai commencé d’à 14 h (seulement), je commençais déjà à me réjouir/à être heureux à l’idée de le voir dans deux heures.

À 15h, j’attendais avec impatient dans les arbres.


À 15 h, j’attendais avec impatientce dans les arbres.

« dans » veut dire dans les branches, au-dessus ; sinon, « entre/parmi » impatience (nom) ; impatient (adjectif)

Enfin à 16h, j’ai vu d’abord ses cheveux d’or roulant dans l’air et puis son petit corp marchant ver moi.


Enfin à 16h, j’ai vu d’abord vu ses cheveux d’or roulflottant dans l’aire vent, et puis son petit corps/sa frêle silhouette marchant vers moi.

On flotte dans l'eau, le vent ou les airs, on n'y roule pas « son petit corps » sonne un peu.. étrange. Pas péjoratif, mais étrange. « sa frêle silhouette » serait bien mieux frêle = fragile silhouette = la figure de quelqu'un (comme si on le dessinais en croquis)

Il s’assoit dans l’herbe, loins de moi dans le périmer jour et après il s’assoit de plus en plus proche de moi.


Il s’assoit'est assis dans l’herbe, loins de moi [dans le périmer jour et après il s’assoit de plus en plus ?] puis il s’est rapproche é (de moi).

Temps passé => il s'est assis Je n'ai pas compris la partie entre crochets « puis/ensuite » seraient stylistiquement bien meilleur j'ai proposé une alternative à la fin pour éviter les répétitions

Il m’a regardé avec curiosité et je l’ai regardé timidement.


This sentence has been marked as perfect!

Ensemble, on contemplait le coucher du soleil (qui avait également le même couleur de ses cheveux).


Ensemble, on contemplait/a contemplé le coucher du soleil (qui avait également lela même couleur dque ses cheveux).

le/la même QUE quelque chose (tu n'as pas besoin d'« également », c'est sous-entendu dans cette structure)

Je voulais vraiment que le temps s’arrêtait à cet instant et le temps de depart ne viendrait pas.


Je voulais vraiment que le temps s’arrêtaite à cet instant et que le temps de departs adieux ne viendraitne pas.

Même chose, subjonctif présent (« vouloir que » + subjonctif) pour éviter l'imparfait du subjonctif (« s'arrêtât », tu peux le mettre mais ce serait vraiment très littéraire)

Quelle beauté !


This sentence has been marked as perfect!

Mais il avait sa rose à voir, je ne pouvais pas lui tarder à chercheur son bonheur.


Mais il avait sa rose à voir, je ne pouvais pas lui e retarder àd'aller chercheur son bonheur.

« retarder de » + verbe est assez vieilli (c'est néanmoins possible), la principale structure en français moderne étant « retarder quelqu'un DANS quelque chose », ce qui donnerait « je ne voulais pas le retarder dans sa quête/sa recherche du bonheur »

Mon petit homme, je voulais que tu sois heureux, alors je t’ai dit un secret.


This sentence has been marked as perfect!

Vas chercher ton rose, tu l’aimes profondément.


« Vas chercher tona rose, tu l’aimes profondément.

Discours direct, citation du renard => guillemets

Tu ne seras jamais te pardonner si tu la laisse mourir seule dans ta planète.


Tu ne seauras/pourras jamais te pardonner si tu la laisses mourir seule danssur ta planète. »

Une planète est une sphère, et nous vivons sur la surface => SUR ta planète

Je voulais bien t’accompagner mais ta planète est si loin de moi.


Je voul'aurais bien voulu t’accompagner, mais ta planète est si loin de moi/éloignée.

Hypothèse non réalisée dans le passé = conditionnel passé => j'aurais voulu Le « de moi » serait superflu ici

Prends-soin de toi… Je ne t’oublieras jamais parce que tu es dans les blés, dans le coucher du soleil et dans mon coeur.


Prends-soin de toi… Je ne t’oublierasi jamais, parce que tu es dans les blés, dans le coucher du soleil et dans mon coeœur.

Dès cet instant, je ne suis pas un renard ordinaire mais un renard qui a été apprivoisé par le Petit Prince.


Dès cet instant, je ne suis pas'ai plus été un renard ordinaire mais un renard (qui avait été) apprivoisé par le Petit Prince.

« dès que » au passé indique un point de départ dans le passé, donc nécessité un temps passé ; il y a donc une petite différence avec « depuis », qui indique la concomitance de deux actions

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