Dans trois articles datant de 2016, un spécialiste de l’entreprise et deux journalistes des quotidiens “Les Échos” et “L’Express” abordent dule thème de l’économie de partage.

Selon les résultats constatés, on remarque que ce type d’économie a enclenché une véritable mutation du monde des affaires.

Note : le «on remarque que» est redondant avec «selon» et «constatés».
Alternative : d'après les résultats constatés [...].

ÉL'économie de partage, autrement ditssi appelée économie collaborative, consiste tout d’abord en le développement des échanges entre pairs plutôt qu’entre organisations hiérarchiques.

Note : «aussi appelée» permet de donner un deuxième nom, «autrement dit» permet de donner une reformulation (et donc de faire avancer le discours).
Note : consister en + [...].
Note : je pense que «tout d'abord» est de trop. Je m'attendrai à trouver un «et ensuite» plus tard.

De plus, l’économie mondiale connaît depuis de moins 5 ans connaît une nouvelle révolution appréciable du fait de la progression des plateformes collaboratives sur Internet : de nouveaux services, des solutions innovantes, des prix raisonnables et attractifs, tout cela satisfait davantage des besoins variés des clients.

Note : stylistiquement, j'aurais coupé cette phrase en deux. Je le trouve un petit peu longue (c'est personnel).

En matière dPour les entreprises, ce type d’économie permet également de profiter des actifs dormants et des biens qui semblent être indisponibles.

Note : je ne vais pas réussir à expliquer pourquoi, mais «en matière de» ne sonne pas juste ici. Ou alors peut-être «en matière d'entreprises [...]» ? C'est subtil, je ne suis pas sûre de moi.

Les secteurs deu transport, de l’hébergement et de la finance font partie des principaux segments de l’économie collaborative qui devraient atteindre 570 milliards euros d’ici à 2025.

En outre, la France devient le champion des pays créateurs de start-up dans ce domain, te. Tout cela exprime que cette économie a le vent en poupe.

Les entreprises traditionnelles devraientvont devoir changer leur système afin de s’adapter, au risque de disparaître.

Note : quand tu utilises «devraient» ici, tu leur donnes un conseil. Je ne pense pas que c'était ton intention.

Les conditions de travail et le respect des réglementations nationales deveniennent un problème qui suscite unde grandes polémiques de nos jours.

Il s’agit seulement des entrepreneurs qui bénéficient de lce succès, en appliquant des méthodes capitalistes en contradiction avec l’esprit de partage.

Dans trois articles datant de 2016, un spécialiste de l’entreprise et deux journalistes des quotidiens “Les Échos” et “L’Express” abordent dule thème d’e l'économie de partage.

ÉL'économie de partage, autrement dit l'économie collaborative, consiste tout d’abord leau développement des échanges entre pairs plutôt qu’entre organisations hiérarchiques.

De plus, l’économie mondiale depuis deau moins 5 ans connaît une nouvelle révolution appréciable du fait de la progression de plateformes collaboratives sur Internet: de nouveaux services, des solutions innovantes, des prix raisonnables et attractifs, tout cela satisfait davantage dles besoins variés des clients.

En matièreAu niveau des entreprises, ce type d’économie permet également de profiter des actif dormants et des biens qui semblaient être indisponibles.

Les secteurs deu transport, d’e l'hébergement et de la finance font partie des principaux segments de l’économie collaborative qui devraient atteindre 570 milliards euros d’ici à 2025.

En outre, la France devient lea championne des pays créateurs de start-up dans ce domaine, tout cela exprimmontre que cette économie a le vent en poupe.

Les conditions de travail et le respect des réglementations nationales deveniennent undes problèmes qui suscite unnt, de nos jours, de grandes polémique de nos jours.

Il s’agit seulement des entrepreneurs qui bénéficient de leu succès appliquant des méthodes capitalistes en contradiction avec l’esprit de partage.