Sept. 19, 2021
Mon témoignage :
J'ai fait anglais pendant trois ans et demie comme mon "deuxième" langue, quand j'avais environ 21 ans dans une école de langues privée. Après tous ces années, j'ai toujours honte et peur de parler. C'est une langue que je n'aime pas beaucoup et c'est pour cette raison que je l'ai quittée pour tous ce temps.
Avec le français (je suis encore une débutante), la situation n'est pas trop diverse.... j'adore la langue mais je sens que je ne fais pas des progrès. Je cherche de chanter tous les jours quelque chose avec les paroles devant moi. Je pourrais dire que toutes les règles s'embrouillent dans ma tête. Je peux plutôt lire très bien en français mais je me paralyse quand je dois pratiquer la partie active de la langue, c'est-à-dire, parler et écrire ! Je suis incapable de prendre la parole dans cette langue (encore !!!!).
La situations est un peu meilleure avec l'italien parce que c'est la deuxième langue plus facile de parler pour moi après l'espagnol. Je peux parler italien sans bloquer même si je commets des fautes. Je n'ai pas peur ou honte de parler cette belle langue. Le problème est mon accent pour certaines mots : je parle avec un accent du portugais.
Je n'ai pas de problèmes pour parler l'espagnol.
Je n'ai pas étudié aucune de ces langues dans ma école régulier ou même sur l'université. Ils ne m'ont pas enseigné rien de neuf car j'y suis arrivée avec des connaissances de base ou intermédiaires.
Alors, je pense que c'est plutôt une question d'amour ou de proximité avec une langue que nous fait bloquer ou "booster" notre connaissance ou avoir peur / honte de parler une langue étranger. Si nous pensons aussi que pour parler une langue il faut beaucoup de temps passés en écoutant la langue, c'est un process plus que naturel éviter de parler , au moins, quand nous sommes encore au début de l'apprentissage.
Pensons aussi en quatre situations un peu diverses : paraitre ridicule, se trouver en état d'infériorité, faire des fautes et ne pas pouvoir exprimée ses idées (c'est le partie la plus difficile !).... Nous somes des héros parce que la plus part des gens quittent avant de commencer !
Pourquoi a-t-on peur de parler une langue étrangère ?
Mon témoignage :
J'ai fait anglais pendant trois ans et demie comme mon "« deuxième" » langue, quand j'avais environ 21 ans, dans une école de langues privée.
«Langue» est féminin en français, comme tous les mots apparentés dans les autres langues latines («lengua» etc)
Après toutes ces années, j'ai toujours honte et peur de parler.
C'est une langue que je n'aime pas beaucoup et c'est pour cette raison que je l'ai quittée pourarrêtée/laissée tomber depuis toust ce temps.
On peut quitter un lieu, on peut quitter quelqu'un (rompre une relation amoureuse) mais ce verbe a toujours besoin d'un COD en français
Sinon, vous pouvez utiliser «arrêter»
Avec le français (je suis encore (une) débutante), la situation n'est pas trop diversfférente.... jJ'adore la langue mais je sens que je ne fais pas des progrès.
Je cherche deà chanter tous les jours quelque chose avec les paroles devant moi.
Je pourrais dire que toutes les règles s'embrouillent dans ma tête.
Je peuxsais lire plutôt lire très bien en français mais je me paralyse quand je dois pratiquer la partie active de la langue, c'est-à-dire, parler et écrire !
Les capacités qui demandent une forme de connaissance prennent en général le verbe «savoir»
Ex Je sais nager => parce qu'on m'a enseigné comment faire
Je peux nager => parce qu'on m'autorise, parce que j'ai les capacités physiques etc
Je suis (encore !!!!) incapable de prendre la parole dans cette langue (encore !!!! ).
Je pense qu'un francophone aurait tendance à comprendre un «encore» en fin de phrase comme «une fois de plus» et pas comme un «toujours», mais c'est un détail
La situations est un peu meilleure avec l'italien parce que c'est la deuxième langue plus facile deà parler pour moi après l'espagnol.
Je peux parler italien sans bloquer même si je commets des fautes.
Je n'ai pas peur ou honte de parler cette belle langue.
Le problème est mon accent pour certaines mots : je parle avec un accent du portugais.
Je n'ai pas de problèmes pour parler l'espagnol.
Je n'ai pas étudié aucune de ces langues dans maà mon école régulier ouère, ni même surà l'université.
«ne/aucun» est suffisant pour construire la négation
Ils ne m'ont pasrien enseigné rien de neuf, car j'y suis arrivée avec des connaissances de baseélémentaires ou intermédiaires.
Là encore, «ne/rien» est suffisant («ne+pas+rien» est en fait une double négation, qui exprime le contraire de ce que vous voulez dire)
Alors, je pense que c'est plutôt une question d'amour ou de proximité avec une langue quei nous fait bloquer ou "au contraire booster" notre connaissance ou avoir, et qui détermine si on a peur / /honte de parler une langue étrangèrer.
SAussi, si nous pensons aussi que pour parler une langue, il faut passer beaucoup de temps passés en écoutant laà écouter cette langue, c'est un processe démarche plus que naturel le que d'éviter de parler , au moins, quand nous sommes encore au début de l'apprentissage.
«on» irait mieux ici (c'est un pronom plus impersonnel, mieux adapté pour les vérités générales) mais «nous» n'est pas faux du tout
Pensons aussi enà quatre situations un peu diversfférentes : paraitre ridicule, se trouver en étatposition d'infériorité, faire des fautes et ne pas pouvoir expriméer ses idées (c'est lea partie la plus difficile !)....
Nous sommes des héros parce que la plus part des gens quittabandonnent avant de commencer !
Feedback
La proximidad entre lenguas también puede revelarse engañosa. Muchos alumnos franceses que no quieren mucho las lenguas generalmente aprenden el español por defecto, pensando que hablar francés con -o y -a al fin de las palabras es suficiente para tener un buen nivel de español. Es inútil decir que un día, estan muy sorprendidos... Siempre me he esforzado por luchar contra esta tendencía de hablar español desde el francés, de usar galicismos (palabras que suenan "españoles" ¡pero que solo son palabras francesas "hispanizadas"!) y ¡a pesar de eso, todavía hago tales errores!
Pues, con el ruso no tengo este problema de proximidad engañosa :-D
Pourquoi a-t-on peur de parler une langue étrangère ? |
Mon témoignage : |
J'ai fait anglais pendant trois ans et demie comme mon "deuxième" langue, quand j'avais environ 21 ans dans une école de langues privée. J'ai fait anglais pendant trois ans et demi «Langue» est féminin en français, comme tous les mots apparentés dans les autres langues latines («lengua» etc)
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Après tous ces années, j'ai toujours honte et peur de parler. Après toutes ces années, j'ai toujours honte et peur de parler. |
C'est une langue que je n'aime pas beaucoup et c'est pour cette raison que je l'ai quittée pour tous ce temps. C'est une langue que je n'aime pas beaucoup et c'est pour cette raison que je l'ai On peut quitter un lieu, on peut quitter quelqu'un (rompre une relation amoureuse) mais ce verbe a toujours besoin d'un COD en français
Sinon, vous pouvez utiliser «arrêter» |
Avec le français (je suis encore une débutante), la situation n'est pas trop diverse.... j'adore la langue mais je sens que je ne fais pas des progrès. Avec le français (je suis encore (une) débutante), la situation n'est pas trop di |
Je cherche de chanter tous les jours quelque chose avec les paroles devant moi. Je cherche |
Je pourrais dire que toutes les règles s'embrouillent dans ma tête. |
Je peux plutôt lire très bien en français mais je me paralyse quand je dois pratiquer la partie active de la langue, c'est-à-dire, parler et écrire ! Je Les capacités qui demandent une forme de connaissance prennent en général le verbe «savoir»
Ex Je sais nager => parce qu'on m'a enseigné comment faire Je peux nager => parce qu'on m'autorise, parce que j'ai les capacités physiques etc |
Je suis incapable de prendre la parole dans cette langue (encore !!!! ). Je suis (encore !!!!) incapable de prendre la parole dans cette langue Je pense qu'un francophone aurait tendance à comprendre un «encore» en fin de phrase comme «une fois de plus» et pas comme un «toujours», mais c'est un détail
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La situations est un peu meilleure avec l'italien parce que c'est la deuxième langue plus facile de parler pour moi après l'espagnol. La situation |
Je peux parler italien sans bloquer même si je commets des fautes. |
Je n'ai pas peur ou honte de parler cette belle langue. |
Le problème est mon accent pour certaines mots : je parle avec un accent du portugais. Le problème est mon accent pour certain |
Je n'ai pas de problèmes pour parler l'espagnol. |
Je n'ai pas étudié aucune de ces langues dans ma école régulier ou même sur l'université. Je n'ai «ne/aucun» est suffisant pour construire la négation
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Ils ne m'ont pas enseigné rien de neuf car j'y suis arrivée avec des connaissances de base ou intermédiaires. Ils ne m'ont Là encore, «ne/rien» est suffisant («ne+pas+rien» est en fait une double négation, qui exprime le contraire de ce que vous voulez dire)
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Alors, je pense que c'est plutôt une question d'amour ou de proximité avec une langue que nous fait bloquer ou "booster" notre connaissance ou avoir peur / honte de parler une langue étranger. Alors, je pense que c'est plutôt une question d'amour ou de proximité avec une langue qu |
Si nous pensons aussi que pour parler une langue il faut beaucoup de temps passés en écoutant la langue, c'est un process plus que naturel éviter de parler , au moins, quand nous sommes encore au début de l'apprentissage.
«on» irait mieux ici (c'est un pronom plus impersonnel, mieux adapté pour les vérités générales) mais «nous» n'est pas faux du tout
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Pensons aussi en quatre situations un peu diverses : paraitre ridicule, se trouver en état d'infériorité, faire des fautes et ne pas pouvoir exprimée ses idées (c'est le partie la plus difficile !).... Pensons aussi |
Nous somes des héros parce que la plus part des gens quittent avant de commencer ! Nous sommes des héros parce que la plu |
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